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Lesservices de l'État en Polynésie française. Accueil > Actualités > Archives > 2015 > 28 juin 20145 - Infos médias MRCC - Les recherches sont restées infructueuses pour retrouver M. Laurent Bourgnon, disparu lors d’une plongée au niveau de l’atoll Toau
Retourau Sommaire : Kiosques à musique de A à E Kiosques à musique de F à L Kiosques à musique à partir de M Kiosques classés par Départements Kiosques à Musique — Petits Plus L'ISLE-EN-JOURDAIN - Le Kiosque et le Jardin public (GERS) L’unique représentation, encore que schématique, de la ville de l’Isle-Jourdain, avec ses fortifications encore debout est
Léquipage était composé de dix hommes, le SM2 radio volant Marc, Alexandre AUBERT, le SM2 (n° 10 – 2S.8) de l’escadrille 2S est repéré, par des guetteurs, tombant à la mer au large du cap Falcon. Les secours envoyés sur les lieux de l’accident ne trouvent aucun débris. L’appareil est porté disparu et son équipage, composé du MP pilote Marcel, Louis, Marie, André
auprince, si raffiné, si remarquablement intelligent. Celui dont il était ainsi question, enfoncé dans les coussins de sa voiture, regardait le jour décroître sur les bois assombris. Il avait donné l’ordre au cocher de ralentir l’ardeur des deux fougueux trotteurs, de telle sorte que l’équipage demeurât en arrière des autres. Près de lui, respectant son silence, était assis
ntUpyOI. 15 mai 1918 – Le QM canonnier élève pilote Georges, René, Louis PACATTE se tue dans la chute en mer d’un hydravion Donnet-Denhaut de l’école de pilotage du CAM de Fréjus – Saint-Raphaël Fréjus. 18 mai 1986 – Un Atlantic n° 19, de la flottille 21F, avait décollé de Djibouti pour un vol d’entraînement. Aux alentours de la montagne du Day, le moteur gauche est victime d’une avarie brutale provoquant un virage du même côté. Le relief est trop proche, l’appareil percute les contreforts de la montagne et se désintègre en tuant tous ses occupants. L’accident fait dix-neuf victimes Membres de l’équipage MP électronicien de bord Michel, Raymond, René BLANDIN, PM électronicien de bord André, Alain, Patrick CHAUMONT, SM navigateur Laurent, Michel FAUBET, Mt navigateur Daniel, Victor d’HULSTER, Mt électronicien de bord Eric, Hervé, Victor, Auguste MAUGARS, EV1 de réserve pilote Dominique, Jean MEUNIER, chef de bord, Mt mécanicien de bord Eric, Jean, Louis MONTET, SM électronicien de bord Pierre, Michel PUGI, QM1 mécanicien de bord Patrick, Henri SIMOND. PM mécanicien de bord Jacques, Marie, Franck TASSIN, PM pilote Christian, Louis, Aloïs de personnel technique au sol de la 21F QM1 mécanicien d’aéronautique Didier FORMET, MP électronicien d’aéronautique Michel, Charles, Paul PACATTE et PM électromécanicien d’aéronautique Dominique PY. 16 mai 1928 – A la suite de l’incendie d’un de ses moteurs et en tentant d’atterrir en urgence, un Farman 65 Goliath de l’escadrille 4B2 basée à Karouba, s’écrase au sol à Bordj Poil, à 8 kilomètres au nord d’El Ariana, près de Tunis. L’équipage composé du Mot2 arrimeur pilote Jean, Albert, Marcel ARROUAYS, de l’Asp de réserve observateur Jean-Louis, Marie, André BÉZARD, chef de bord, du QM radio volant Henri, Joseph GOBERT, du SM mécanicien pilote Georges, Louis, René PAPIN et du QM mécanicien volant Paul ROHR, périt tout entier dans l’accident. 26 avril 1944 – Quelques minutes après son décollage du plan d’eau de Dakar-Bel-Air, pour une mission de nuit d’escorte de convoi et alors qu’il vient de survoler l’île de Gorée, un Short Sunderland III s/n DV985 – I de la flottille 7FE, est victime d’une explosion interne et s’écrase en flamme. Le lendemain, seuls trois corps seront retrouvés parmi les débris flottants à la surface. L’équipage était composé de l’EV1 de réserve observateur George BONDON, chef de bord, l’EV1 de réserve Paul, Edouard, Etienne BOUVEYRON, observateur, le QM1 mécanicien volant Germain, René, Clément COSSET, le Mt mécanicien volant Théodore, Pierre, Armand GABOU, le SM2 pilote Gabriel, Bernard, Joseph, Léopold GIMAT, le QM2 radio volant René, Charles, Joseph GUILLOU, le QM mitrailleur bombardier Louis, Alexandre, Yves, Marie LE CORFEC, le SM mécanicien volant René, Marcel LE HENRY, le SM2 pilote Louis, Georges, Honoré LEROY, le Mot2 mitrailleur bombardier Roger, Sylvestre MARTIN, le Mt radio volant François, Marie OFFRET, le QM2 radio volant Gaston, Paul, Ernest PARA et le QM2 radio volant Maurice, Marcel RABIER. 17 juin 1929 – Au cours d’un vol d’entraînement en solo, le Caudron 59 du quartier-maître Albert PARANTHOËN, élève pilote à l’école de l’Aéronautique militaire d’Istres, entre en collision avec un appareil du même type. Les deux appareils emmêlés s’abattent sur le terrain. Le QM Paranthoën, gravement blessé, est transporté à l’hôpital Michel Lévy de Marseille où il décède quelques heures après son admission. 30 juillet 1918 – Quelques instants après avoir décollé pour une patrouille au large de Calais, un hydravion Donnet-Denhaut 200ch n° 921 – du PC de Calais, pique brutalement à la verticale et s’abat en mer à 300 mètres de la plage. Les corps des deux hommes de l’équipage, le QM fusilier pilote Yves, Marie PARANTHOËN et le Mot2 mécanicien observateur Laurent, Emile LE TYNEVEZ, sont retrouvés le 3 août, échoués sur une plage près de Calais. 26 septembre 1952 – Le QM2 élève pilote Henri PARÉ, en stage aux Etats-Unis, est mortellement blessé lorsque le North American SNJ-6 BuAer 112287 qu’il pilotait décroche en virage s’écrase au sol en finale d’atterrissage, à Saufley Field, aérodrome satellite de la NAS de Pensacola, Floride. 24 juin 1956 – Une formation de F4U-7 Corsair de la flottille effectue une mission de bombardement en semi-piqué dans la région de Fedj M’Zala, département de Constantine. Le pilote de l’un des appareils BuAer 133719 – l’EV1 Pierre, Jean-Marie PARENT, voulant probablement être plus précis dans son tir, ne redresse pas à temps et s’écrase près de l’objectif. Le corps est récupéré le lendemain par un hélicoptère et transporté à l’hôpital de Constantine. 15 mai 1985 – Pendant une séance d’entraînement à la voltige, un Mudry CAP 10B n° 112 de l’escadrille 51S, s’abat sur le terrain de Rochefort-Soubise. Ses deux occupants, le QM2 mécanicien, élève pilote Alain, Olivier, Yves LECOUVREUR, et le MP pilote Roland, Albin, Vincent PARLATO, sont tués sur le coup. 28 juin 1941 – Une formation de six Martin 167-A3 décolle de Madjaloun Liban. Elle est composée de trois appareil des l’escadrille 6B et trois autres de la 7B. La mission assignée est de bombarder deux cols qui dominent Palmyre Syrie, où la garnison française résiste aux attaques des troupes du Commonwealth. Le bombardement s’effectue normalement mais, au retour, la petite formation est interceptée par une vingtaine de Curtiss Tomahawk de la RAAF. Le combat est inégal et, l’un après l’autre, les bimoteurs français succombent avec, dans la plupart des cas, la mort de l’ensemble de leurs équipages. En quelques minutes, seize officiers, officiers mariniers et quartiers-maîtres vont périr et il n’y aura que quatre survivants. La composition des équipages était la suivante N° 41 – Mt mitrailleur bombardier Mathurin, Marie LE BOULAIRE, SM radio volant Louis, Joseph LE ROLLAND, EV1 pilote Marcellin GISBERT, faisant fonction d’observateur et LV pilote François, Xavier, Paul, Martial ZIEGLER, commandant l’escadrille 6B et chef de 93 – QM2 radio volant Ferdinand, Léon BIEVER, QM2 mitrailleur bombardier Henri LE MARRE, Mt pilote Paul, Simon, Nicolas MONJOIN et EV1 pilote Aymond, Marie, Jean, André PLAYE, chef de bord et 204 – SM1 pilote Lucien HELF, EV1 pilote Pierre, Jean LACOSTE, chef de bord et navigateur, SM2 radio volant Jean, Aimé LE DÛ, QM2 mitrailleur bombardier Eugène, Henri, Pierre, Marie 58 – QM1 radio volant Victor, François, Alain BOURHIS, SM2 pilote Robert, Gustave, Sylvain CÉRÉSUÉLA, OE2 pilote Georges, Corentin, Marie LE FRIANT, chef de bord et observateur et QM1 radio volant André, Yves, Marie 274 – QM1 mécanicien volant François, Marie LIBOUBAN, QM2 radio volant François, Henri, Victor PARMENTIER, sont tués en vol par les tirs des chasseurs australiens. Le LV Francis Lainé, pilote et chef de bord et l’EV1 Pierre Massicot, observateur, survivent, gravement blessés, à l’atterrissage forcé de leur 21 – LV pilote Joseph, Charles, Jean de GAIL, chef de bord et observateur et QM radio volant Louis, Alphonse THIOT. Deux membres de l’équipage, le MT pilote Raymond Sarrotte et le SM mitrailleur bombardier Clotaire Guéret, réussissent à sauter en parachute. 26 février 1917 – Un hydravion Donnet-Denhaut n° 60 – du CAM de Bizerte, est contraint à un amerrissage forcé à la suite d’une panne de moteur. La mer est forte et l’appareil capote au contact. Le pilote est sauvé par le youyou du torpilleur 274 mais le Mot1 mécanicien observateur Baptistin, Eugène, Fernand PARRIMOND coule à pic avant l’arrivée des sauveteurs. Son corps ne sera pas retrouvé. 3 mai 1918 – Quelques instants après avoir décollé du CAM de Boulogne-sur-Mer, un hydravion Tellier 200ch n° 136 – est victime d’un blocage des gouvernes et, malgré les efforts de son pilote, il s’abat en mer et capote. La mer est assez grosse mais l’hydravion sectionnaire parvient à amerrir correctement et sauve le pilote accroché à un flotteur mais l’observateur, l’EV2 Olivier, Jean, François, Marie de PARSCAU du PLESSIX, prisonnier de la coque retournée, disparaît avec elle lorsqu’elle coule. 19 mai 1940 – Les escadrilles de bombardement en piqué AB2 et AB4, basées à Berck Pas-de-Calais ont reçu pour mission d’attaquer un rassemblement de véhicules et de blindés au carrefour routier de Berlaimont dans le Nord. Lorsque les vingt Loire-Nieuport arrivent sur l’objectif, ils sont accueillis par les tirs nourris de la Flak légère qui vont provoquer de lourdes pertes. Sur les vingt pilotes engagés, neuf ne rentreront pas à leur base dont trois trouveront la mort. Le Mt pilote Louis, Jules, Gabriel PASCAL est tué sur le coup lorsque son LN 401 n° 11 – désemparé, s’écrase verticalement dans la pâture dite de Zulmar Cartignies, dans la commune de Landrecies Nord. Le Mt pilote Eloi, Raoul, Georges TÉOULET de l’AB4 est mortellement blessé en vol à bord de son LN 411 n° 3 – L’appareil se pose seul au lieu-dit Champ Garnier, dans la commune de Fontaine-au-Bois Nord. Le SM2 pilote Auguste François GOASGUEN qui a pu échapper au piège de la Flak, est abattu par erreur à Etreux Aisne par la DCA française. Son LN 411 n° 11 – s’écrase en feu sur une maison, le tuant sur le coup. 31 octobre 1919 – Un hydravion Tellier 200ch n° 54 – du CAM de Toulon, est accidenté à l’amerrissage en rade des Vignettes. Le QM mécanicien observateur Lucien, Fernand PATINGRE est tué sur le coup. Le pilote, blessé, est recueilli par les embarcations de secours. 28 novembre 1958 – En tentant de rejoindre le terrain de Télergma au retour d’une mission de reconnaissance armée, deux F4U-7 Corsair de la flottille pris sous la couche nuageuse, essaient de franchir le djebel Mesbaouda en pénétrant dans les nuages. Mais ils n’ont pas pris assez d’altitude et percutent le relief montagneux près de Z’Mala, à 12 km au NE de Corneille, près de Batna. Les deux pilotes, l’EV1 de réserve Pierre, Eugène, Joseph PATRIS F4U-7 BuAer 133723 – et le SM2 Guy, Ferdinand SAINT VANNE F4U-7 BuAer 133682 – sont tués sur le coup. Leurs corps, récupérés plus tard par des troupes au sol, seront ramenés à Télergma. 19 décembre 1943 – Un Vickers Wellington XIII s/n HZ710 – de l’escadrille 1B de la 2ème flottille de bombardement avait décollé du terrain de Dakar-Oukam pour un mission de protection de convoi. Les conditions météorologiques sont très mauvaises et, incapable d’assurer correctement sa mission, le chef de bord annonce par radio qu’il l’interrompt et rentre à sa base. Un autre message signale que les grenades ASM ont été larguées. Vers 14 heures, le Wellington est à la verticale de Ouakam et entame un long virage pour se présenter dans l’axe de la piste. Des témoins s’aperçoivent alors qu’un des moteurs émet une fumée noire. A 14 h 24, l’avion percute la mer et explose à deux milles de la côte. Des embarcations de pêcheurs puis des vedettes de la Royal Navy se portent immédiatement sur les lieux de l’accident mais ne trouvent aucun survivant. L’équipage était composé des QM1 radio volant Auguste, Joseph AQUADRO, EV1 pilote Victor, Louis, Henri CERINI, chef de bord, SM2 pilote Alexandre, Eugène, Célestin CRESTEL, QM2 radio volant Gaétan, Jean, Joseph DUCLOS, PM pilote Henri, Denis MICHEL, QM mécanicien volant Raymond PATUREAU et Asp de réserve Henri, Antoine PUCHOL, observateur. Les corps de Cerini, Michel et Patureau ne seront pas retrouvés. 21 décembre 1923. C’est cette nuit là que se produit la plus grave catastrophe de l’aéronautique militaire de notre pays. Le 18 décembre 1923, le dirigeable Dixmude, ex Zeppelin L-72 qui avait été remis à la France par l’Allemagne au titre des dommages de guerre, quitte sa base de Cuers-Pierrefeu pour un raid d’essai sans escale au-dessus du Sahara avec cinquante personnes à son bord. Il atteint In-Salah dans les délais prévus et entame son voyage de retour. Son dernier message le positionne au-dessus de la Tunisie et il n’y en aura pas d’autres. Vers 2 h 30 du matin, alors que le dirigeable passe au large de la Sicile, des pêcheurs aperçoivent dans le ciel les lueurs d’un vif incendie. Probablement frappé par la foudre qui a enflammé ses ballonnets d’hydrogène, le Dixmude et tout son équipage s’abîment en mer à quelques milles au large du petit port de Sciacca. Les recherches lancées par la Marine italienne et par des bâtiments français venus de Bizerte ne permettent pas de retrouver de survivants, ni même de corps. Ce n’est que le 26 qu’un pêcheur remonte dans ses filets le corps du commandant, le LV du Plessis de Grenédan. Un autre corps, celui du QM Guillaume sera retrouvé ultérieurement. Cette catastrophe a fait cinquante victimes – 40 membres de l’équipage Les Mot2 mécaniciens d’aéronautique Pierre, Casimir, Baptiste ALBAGNAC et Georges, Louis BAILLOUX, le SM mécanicien d’aéronautique Ange, Jean, Louis BOULLEAU, les Mot2 mécaniciens d’aéronautique Roger, Marius BOYER et Victorin, Louis BRUNIAS, le Mot arrimeur Maurice, Jules, Baptiste, Pierre CHARPENTIER, le SM mécanicien d’aéronautique Georges, Victor, Auguste CLAVEL, le QM arrimeur volant André CLOSVIROLA, le SM2 pilote de direction Joseph, Louis, Marie COLLET, le SM mécanicien volant Noël, Marie COROUGE, le QM mécanicien volant Marcel, Alexandre COUVÉ, le LV pilote de dirigeable Jean, Joseph, Anne, Marie, Julien du PLESSIS de GRENÉDAN, commandant, le Mot mécanicien d’aéronautique Raymond, Louis DUBOIS, les QM mécaniciens volants Jean, Constant FELON, Charles, Georges FOUCHET et Louis GALLET, le Mt mécanicien volant Charles, Jean GASPAILLARD, le QM radio volant Marie, Antoine, Emile GUILLAUME, le SM arrimeur Joseph GUILLEMOT, le Mt de manœuvre pilote de direction René, Félix, Marie HAMON, le Mot2 mécanicien d’aéronautique Louis, Jean IMBERT, le QM radio volant Pierre, Jean-Marie JAFFREZIC, le SM mécanicien volant François, Clément JAN, les QM arrimeurs Charles, Marcel KUBLER et Saint-Amand, Charles, Adolphe La FORGE, le SM mécanicien volant Jean, François, Aimé, Eugène LIZÉE, le QM mécanicien volant François, Auguste, Joseph, Mathurin MAINGUY, le LV pilote de dirigeable Sylvestre, Antoine MARCAGGI, le PM mécanicien volant René, Henri MOMBERT, le QM mécanicien volant Kléber, Eugène, Marie, Albert NAL, le SM radio volant Adrien, Jean-Baptiste PAUC, le QM mécanicien volant Charles, Joseph, René, Louis QUÉMERAIS, les QM arrimeurs volants Jean RICHARD et Géraud, François, Marie ROCHER, le Mot mécanicien volant Jean, Eugène, Edouard ROUDEN, le LV pilote de dirigeable Adrien, Aimé, Victor ROUSTAN, commandant en second, le Mot arrimeur Charles, Paul SÉDILLOT, le SM arrimeur volant Louis, Marie TARTIVEL et le QM mécanicien volant Jean, Léopold VINCENOT.– 10 passagers le CC Victor, Louis BERRETTA, les LV pilotes de dirigeable Pierre BOURDIER et Maurice, Gabriel CONVENTS, le CF pilote de dirigeable Georges, Léon, François, Jules HENNIQUE, commandant le CAM de Cuers-Pierrefeu, le LV pilote de dirigeable Serge, François, Roger GOISLARD de La DROITIÈRE, le CC pilote Henri, Jules LEFRANC, le LV observateur Georges, Etienne LEVESQUE, le Med1 Léopold, Henri PÉLISSIER, le CC pilote de dirigeable Georges, Paul RENON, le LV pilote de dirigeable Henri, Marcel, Aurélien ROUSTAN et, enfin, le CV Pierre, Edouard, Marie YVON, adjoint au Chef du Service central de l’Aéronautique. 2 septembre 1969 – Après avoir décollé du terrain d’Hyères pour un vol de nuit à basse altitude, un Étendard IVM n° 65 de la flottille 17F percute la mer au large. Son pilote, le PM Maurice, Ferdinand PAUGET, est porté disparu, présumé mort en mer. 23 mai 1940 – L’escadrille T2 a reçu l’ordre d’attaquer une colonne de blindés ennemis entre Samer et Boulogne-sur-Mer. Au moment où les Latécoère 298 entament leur piqué pour attaquer une batterie d’artillerie dans la région d’Hesdigneul Pas-de-Calais, ils sont interceptés par une formation de Messerschmitt Bf 109. Le Laté n° 93 est gravement touché mais, bien que blessé, son pilote parvient à amerrir d’urgence devant Boulogne-sur-Mer et se jette à l’eau ainsi que le radio navigant. Le troisième membre de l’équipage, le QM2 mécanicien volant Raymond COUCAL, probablement tué en vol, coule avec l’appareil. L’appareil n° 3 – du LV Lamiot, commandant l’escadrille, moteur en feu, est également obligé d’amerrir en catastrophe devant Boulogne-sur-Mer. Le SM mitrailleur bombardier Gabriel, Yves, François, Marie PAUL qui a été tué en vol par les rafales ennemies, coule avec l’hydravion. Un troisième appareil enfin n° 4 – également touché par les chasseurs, doit se poser, moteur arrêté, dans un champ sur le territoire de la commune de Boisjean Pas-de-Calais. L’un des membres de l’équipage, le QM mitrailleur bombardier Georges TASSEL, qui a été grièvement blessé par les tirs ennemis, meurt quelques minutes après avoir été dégagé de l’épave. 24 janvier 1955 – Alors qu’à l’issue d’un exercice de tir en vol, il se présente pour le break » sur le terrain annexe de Barin Field, un North American SNJ-5B BuAer 91038 de la NAS de Pensacola, Floride, quitte brutalement la formation, accentue son virage en perdant de l’altitude et s’écrase au sol. Son pilote, le Mot2 élève pilote André, Louis PAULHE, est tué dans l’accident. 12 avril 1954 – Alors qu’il arrivait pour bombarder des concentrations viêt minh autour du point d’appui Anne Marie» dans la cuvette de Diên Biên Phu, un PB4Y Privateer de la flottille BuAer 59774 – est atteint de plein fouet par les tirs de la DCA et s’écrase au sol. Les neuf membres de l’équipage, le SM2 armurier de bord Serge, Aimé BOURSON, le SM2 radio volant Marc, Christian CHAIGNE, le SM2 radio volant Jackie, Robert GIULIANO, le SM2 pilote Guy, Joseph, André GAUTHIEZ, le SM2 mécanicien de bord Charles ILTIS, l’EV1 pilote Alexis MANFANOVSKY, chef de bord, le SM2 armurier de bord Jean, Hyacinthe PAUMIER, le SM2 mécanicien de bord Pierre, Edmond PUYJALINET et le SM2 navigateur Hervé, Marie, Ernest RUELLO KERMELIN, sont portés disparus, présumés tués dans la chute de leur appareil. 19 décembre 1952 – Parti du terrain de Cat Bi Haïphong pour une mission de reconnaissance dans le Haut-Laos, un SB2C Helldiver de la flottille BuAer 89452 – percute le flanc d’une montagne près de Phou Noueï Cha, dans la région de Sam Neua. Les lieux de l’accident étant inaccessibles, l’équipage composé du Mt mécanicien volant André, Fernand, Henri LOTODÉ et de l’EV1 de réserve pilote Jacques, Lucien PAUNET, très certainement tué sur le coup, est porté disparu. 16 août 1932 – Un Farman 168 Goliath n° 88 – venait de décoller du lac de Bizerte pour un vol de nuit lorsqu’il est victime d’une baisse de puissance alors qu’il survole la terre. Contraint à un atterrissage de fortune, droit devant lui, sans que le pilote ne distingue le sol, l’appareil a la malchance de heurter de ses flotteurs une ligne électrique près d’El Azib. Déséquilibré, il bascule, touche le sol et prend feu. Ses quatre occupants, le SM radio volant Georges, Claude BERROCHE, le QM mécanicien volant Gabriel, Paul, Joseph DELAHAYE, le CC pilote Jean, Henri, Marie DESPORTES, commandant la 4ème Flottille de bombardement et le Mt mécanicien pilote Marcel, Julien, François PÉAN, périssent dans l’incendie. 2 février 1918 – Immédiatement après son décollage, un hydravion de chasse Hanriot HD 2 n° 201 – du CAM de Dunkerque, s’engage dans un virage très serré, décroche et s’abat dans un des bassins du port. Lorsque les secours parviennent à dégager le pilote, l’EV1 auxiliaire Daniel, Pierre PÉLICHET, il a cessé de vivre. 3 novembre 1949 – Un hydravion Sunderland III de la flottille s/n EJ163 – normalement basée à Dakar-Bel-Air était à Saint-Mandrier pour participer à un exercice de recherche ASM. Au décollage, par mer déjà formée, il entre en résonance avec la houle et, au troisième rebond, il se casse en deux au niveau du bord d’attaque de la voilure. La partie avant de la coque coule immédiatement. Cette accident coûte la vie à quatre membres de l’équipage, le PM pilote Jean, Paul, Jacques AYRAL, le Mt pilote Jean, Francis CAOUS, le SM1 mécanicien d’aéronautique François LICHOU et l’EV1 pilote Georges, Roch, Henri, Léon PÉLISSIER-COMBESCURE, chef de bord. L’EV1 Pélissier-Combescure, qui avait pu se dégager, avait plongé pour essayer de sauver les hommes prisonniers de l’épave. Les onze autres occupants de l’appareil, blessés pour la plupart, sont récupérés par les secours arrivés sur les lieux de l’accident. 28 juin 1941 – Une formation de six Martin 167-A3 décolle de Madjaloun Liban. Elle est composée de trois appareil des l’escadrille 6B et trois autres de la 7B. La mission assignée est de bombarder deux cols qui dominent Palmyre Syrie, où la garnison française résiste aux attaques des troupes du Commonwealth. Le bombardement s’effectue normalement mais, au retour, la petite formation est interceptée par une vingtaine de Curtiss Tomahawk de la RAAF. Le combat est inégal et, l’un après l’autre, les bimoteurs français succombent avec, dans la plupart des cas, la mort de l’ensemble de leurs équipages. En quelques minutes, seize officiers, officiers mariniers et quartiers-maîtres vont périr et il n’y aura que quatre survivants. La composition des équipages était la suivante N° 41 – Mt mitrailleur bombardier Mathurin, Marie LE BOULAIRE, SM radio volant Louis, Joseph LE ROLLAND, EV1 pilote Marcellin GISBERT, faisant fonction d’observateur et LV pilote François, Xavier, Paul, Martial ZIEGLER, commandant l’escadrille 6B et chef de 93 – QM2 radio volant Ferdinand, Léon BIEVER, QM2 mitrailleur bombardier Henri LE MARRE, Mt pilote Paul, Simon, Nicolas MONJOIN et EV1 pilote Aymond, Marie, Jean, André PLAYE, chef de bord et 204 – SM1 pilote Lucien HELF, EV1 pilote Pierre, Jean LACOSTE, chef de bord et navigateur, SM2 radio volant Jean, Aimé LE DÛ, QM2 mitrailleur bombardier Eugène, Henri, Pierre, Marie 58 – QM1 radio volant Victor, François, Alain BOURHIS, SM2 pilote Robert, Gustave, Sylvain CÉRÉSUÉLA, OE2 pilote Georges, Corentin, Marie LE FRIANT, chef de bord et observateur et QM1 radio volant André, Yves, Marie 274 – QM1 mécanicien volant François, Marie LIBOUBAN, QM2 radio volant François, Henri, Victor PARMENTIER, sont tués en vol par les tirs des chasseurs australiens. Le LV Francis Lainé, pilote et chef de bord et l’EV1 Pierre Massicot, observateur, survivent, gravement blessés, à l’atterrissage forcé de leur 21 – LV pilote Joseph, Charles, Jean de GAIL, chef de bord et observateur et QM radio volant Louis, Alphonse THIOT. Deux membres de l’équipage, le MT pilote Raymond Sarrotte et le SM mitrailleur bombardier Clotaire Guéret, réussissent à sauter en parachute. 4 septembre 1954 – Le SM2 pilote Louis, Albert, Henri PELLEREAU, aux commandes d’un F6F Hellcat de l’escadrille BuAer 78427 – effectue une séance de voltige relative. Après une vrille récupérée, le moteur se met à fumer avant de s’arrêter complètement à environ 150 m d’altitude. L’appareil s’écrase, presque à la verticale, près du village de Saint-Maur, à 20 kilomètres au SO de la BAN de Lartigue, provoquant la mort instantanée de son pilote. 26 août 1944 – Décollé d’Arzew Algérie pour une mission de surveillance, un Latécoère 298 n° 10 – de l’escadrille 2S est repéré, par des guetteurs, tombant à la mer au large du cap Falcon. Les secours envoyés sur les lieux de l’accident ne trouvent aucun débris. L’appareil est porté disparu et son équipage, composé du MP pilote Marcel, Louis, Marie, André HAMET, du SM1 radio volant Roger, Marcel MENOUX et du SM2 mécanicien volant Jean, Marie PELLETIER, présumé mort en mer. 21 juin 1941 – L’escadrille 5T, désignée pour servir au Sénégal, décolle de Berre pour Arzew en Algérie, première étape de son voyage. A 80 milles environ dans le 210° du cap Couronne Bouches-du-Rhône, la formation traverse un banc de brouillard. A sa sortie, un des Latécoère 298 n° 80 – a disparu. Les recherches ne donneront aucun indice et l’équipage de l’appareil, composé du SM1 radio volant Marius MOULY, du PM pilote Roger, Louis, Jules PELLOUIN et de l’OE2 observateur Jules, Victor, Marie QUINIO, chef de bord, est porté disparu, présumé mort en mer. 21 mai 1929 – L’EV1 de réserve pilote Jean, Joseph GENEST, et l’EV1 pilote Robert, Alexandre, Henri PELTIER effectuaient un vol d’entraînement à la voltige à bord d’un Morane Saulnier 130 n° 5 du cours de chasse du CAM Fréjus – Saint-Raphaël. A l’issue d’une vrille non récupérée, l’appareil s’écrase dans le quartier de Valescure, tuant ses deux occupants. 27 septembre 1933 – Alors qu’il s’apprêtait à atterrir sur le terrain d’Hyères, un Levasseur PL 10 n° 33 de la SEBA s’abat sur la plage au lieu-dit L’Ayguade. Ses deux occupants, le SM mécanicien pilote Henri LE GALL et le SM mitrailleur bombardier François, Marie PENNEC, sont tués sur le coup. 10 mars 1981 – Quelques instants après avoir décollé de l’aérodrome de Hahaya à Moroni dans l’archipel des Comores, un Atlantic n° 29 de la flottille 23F est victime d’un incendie de moteur. Hors de contrôle, il s’écrase près de la localité de M’Boudé, tuant ses dix-huit occupants. En plus de son équipage normal, l’appareil transportait une équipe technique d’entretien. L’équipage était composé du Mt électronicien de bord Patrick, Elie, Etienne BAUDOIN, de l’EV1 pilote Jean-Yves, Georges CISTAC, du PM électronicien de bord Alain, Henri, Jean-Baptiste DEMAISON, du Mt électronicien de bord Dominique, Jean, Etienne FAURE, du PM électronicien de bord Serge, Lucien LAPP, de l’EV1 navigateur aérien et coordonnateur tactique Olivier, Marie, Gérard, Henri de LASSUS SAINT-GENIÈS, du Mt électronicien de bord Dominique, Bernard, Marie MOISDON, du Mt navigateur Jean-Claude, Joseph MONTFORT, du LV pilote Philippe, René, Pierre MOUGENOT, commandant d’aéronef, du MP mécanicien de bord Eugène, Jean, Yves NORMANT, du Mt navigateur Eric, Claude, Daniel PÉRAUDEAU, du Mt mécanicien de bord Michel, Louis, Jacques RÉNIER, du SM2 électronicien de bord Patrick, Louis, Adrien, Henri ROUSSEAU et du SM2 radio de bord François-Xavier WINTERHALTER. L’équipe technique se composait du SM électromécanicien d’aéronautique Jean-Louis AUDREN, du PM mécanicien d’aéronautique Yves HENNEQUART, du QM1 électronicien d’aéronautique Bertrand, Pierre LION et du QM1 électronicien d’équipement Eric LOURENÇO. 20 juillet 1940 – Une section de deux Vought 156F de l’escadrille AB3 survole la mer à très basse altitude devant la ville de Bône. Le chef de la section descend trop bas et l’appareil de son ailier n° 39 – percute la surface de l’eau. Son pilote, le SM Xavier, Joseph, Jean PERDOMO, assommé par le choc, périt noyé à son poste, malgré les efforts de son équipier pour le dégager. 20 décembre 1951 – Au cours d’un atterrissage sur le terrain de Tan Son Nhut Cochinchine, un Consolidated P4Y Privateer de la flottille BuAer 59663 – est accidenté en bout de piste. L’équipage parvient à évacuer l’appareil par ses propres moyens sauf le SM2 pilote Edouard, André, Joseph PERRAULT qui est retrouvé inanimé dans l’épave par les sauveteurs. Evacué immédiatement vers l’hôpital Grall de Saigon, il décède pendant son transfert. 23 juin 1938 – Alors qu’il décolle de l’aérodrome de Beaumont-la-Ronce Indre-et-Loire, un Potez 540 n° 135 de la section de mouvements aériens de Villacoublay de l’armée de l’Air, est accidenté et entièrement détruit. Ses sept occupants sont tués sur le coup et, parmi eux, le LV pilote René, Clément, François PERRET, en poste au ministère de l’Air. 12 mars 1924 – Au décollage de la Charente à Rochefort, un hydravion Lioré et Olivier de l’Ecole du personnel volant d’Hourtin codé embarque un flotteur et capote. Le QM mécanicien d’aéronautique Roger GRELAUD est tué sur le coup. Les deux autres occupants, le QM mécanicien pilote Gabriel, Fernand CRETIN et le LV observateur François, Jean PERRICHON, commandant du CAM d’Hourtin, grièvement blessés sont transportés à l’hôpital maritime de Rochefort où le LV Perrichon décède quelques heures plus tard. Le QM Cretin survivra lui, jusqu’au 12 avril. 14 août 1929 – A l’issue d’un vol d’entraînement, un Latham 43 n° 25 – de l’escadrille 3E1, capote en amerrissant sur l’étang de Berre. Pris sous la coque retournée, ses trois hommes d’équipage, le Mt mécanicien volant Marcel, André, Adolphe, Yvon PERRIN, le QM mécanicien d’aéronautique Jean, François RAOUL et le SM mécanicien pilote Alexandre RODIER, périssent noyés. 17 avril 1934 – À l’issue d’un vol d’entraînement de nuit, un Farman 168 Goliath de l’escadrille 4B3 s’écrase au sol en tentant d’atterrir sur le terrain de Sidi-Ahmed près de Bizerte. Les cinq membres de l’équipage, les QM arrimeurs pilotes Henri, François, Emile BOURGOIS et Marcel, Joseph CHAVASSE-FRETTE, le Mt arrimeur pilote Camille, Hyacinthe, Yves, René, Marie LE LAY, le QM radio volant Raymond MATTEI et le QM mécanicien volant Louis, Gaston PERRINE, périssent dans l’accident. 20 août 1916 – Le SM électricien pilote Charles, Louis, Emile, Joseph, Marie PERRON et son observateur, le SM mécanicien Guesné, du CAM de Dunkerque, effectuent une reconnaissance du port d’Ostende. Leur hydravion FBA 150 ch n° 316 – est touché par des tirs venus de la côte et s’abat en mer. L’observateur, blessé, est capturé par les Allemands. Le corps de Perron sera retrouvé en mer le 6 septembre par un bâtiment de guerre néerlandais. 4 février 1970 – Quelques minutes après son décollage de la BAN de Lann Bihoué pour participer à un exercice tactique avec l’escadre de l’Atlantique, un P2V-7 Neptune BuAer 147571 de la flottille 25F se met en virage serré sur la gauche. Malgré semble-t-il, tous les efforts des pilotes pour le redresser, l’appareil s’écrase au sol dans la commune de Ploemeur, près du hameau de Kergantic Morbihan. Ses douze membres d’équipage, le Mt électronicien de bord Jacques, Clément, Auguste BIGOT, le PM navigateur aérien Michel, René BIOUX, le LV pilote Henri, Robert, Charles DEBRAY, commandant d’aéronef, le PM électronicien de bord Gérard, Gaston, Jean, Marie DONAGHY, le Mt radio de bord Jean, Pierre FRANGE, le Mt mécanicien de bord Jean, Marie, Alain FRISON, le PM pilote Louis, Michel JACQUEMARD, le PM mécanicien de bord Pierre, Joseph, Marie LE GUERROUÉ, les PM électroniciens de bord Achille, François LE RIBLAIR et René, François MILEWSKI, le PM mécanicien de bord Roger PERUCCHIETTI et l’EV2 navigateur Yvon, Simon SIVY, sont tous tués sur le coup dans l’accident. 5 mai 1927 – Un Farman 61 Goliath immatriculé F-ADFN parti de Dakar pour une traversée de l’Atlantique sud, disparaît au cours de la tentative. Un radeau formé d’une partie du train d’atterrissage est découvert quelques semaines plus tard près des côtes brésiliennes, laissant penser que l’appareil a bien traversé l’Atlantique mais a été contraint à un atterrissage forcé sur une partie désolée du pays. L’équipage était composé du LV pilote Hervé, Marcel MOUNEYRÈS, en congé de la Marine, du QM mécanicien volant Louis, Antoine, Jules PETIT, en permission de l’escadrille 5B2 et du Cne de réserve de l’Aéronautique militaire Jacques de SERRE de SAINT ROMAN. 19 mars 1929 – Un hydravion Latham 43 n° 18 de l’escadrille 3E1 est accidenté à l’amerrissage sur l’étang de Berre, provoquant la mort d’un des membres de son équipage, le SM arrimeur pilote Albert, Roland PETITDEMANGE . 31 janvier 1960 – Au cours d’un changement de formation en préparation à l’atterrissage sur le terrain de Port-Lyautey après un exercice de tir, un DH Vampire VB de l’escadrille n° 10176 – heurte en vol un des autres appareils et s’écrase en mer, à 12 milles dans le 010° de Méhédia. Son pilote, l’EV1 Germain, Louis PETOT, est porté disparu, présumé mort en mer. L’autre Vampire, légèrement endommagé, parvient à rejoindre sa base et à atterrir normalement. 1er octobre 1916 – Au cours d’un vol d’entraînement, un Breguet-Michelin n° 4 de l’escadrille BM118 de l’Aéronautique militaire, s’abat au sol à Vitry-le-François Haute-Marne. L’équipage, composé du Mot2 mécanicien observateur Jean, André PEYRISSON et du MdL pilote Alphonse VITRY, est tué sur le coup. 22 août 1916 – L’EV1 de réserve Théodore, Jean, Félix PHILIPPE, élève pilote au CAM de Fréjus – Saint-Raphaël effectuait un vol d’entraînement en solo à bord du FBA 100 ch codé 0 lorsque, pour une cause inconnue, son appareil tombe à la mer à trois milles dans le sud-est de Saint-Raphaël. La vedette de sauvetage, rapidement arrivée sur les lieux de la chute, ne trouve qu’un corps sans vie. 26 mai 1955 – Un F6F-5 Hellcat de l’escadrille basée à Khouribga BuAer 79825 – et piloté par le QM2 pilote Claude, Yves PICARD effectue des passes de tir simulé sur un convoi militaire qui circule sur la route qui va d’El Kelaa à Bouguerir Maroc. Au cours de la dernière passe, il s’engage dans un piqué trop accentué dont il ne peut sortir et s’écrase sur la route entre deux véhicules, tuant sur le coup son pilote et blessant deux personnes au sol. 5 décembre 1917 – Le QM mécanicien observateur Henri, Camille, Alfred, Désiré PICARD disparaît dans la chute dans l’étang d’Hourtin d’un hydravion FBA 100ch à bord duquel il était passager. Son corps ne sera retrouvé et identifié que le 26 avril 1918. 11 janvier 1933 – A la fin d’un vol d’exercice, un CAMS 55 de l’escadrille 4E1 n° 13 – 4 s’apprête à amerrir sur le lac de Bizerte lorsqu’il est pris par dans un grain violent. Déséquilibré par une forte rafale, il échappe au contrôle de son pilote et heurte d’une aile une falaise de la baie des Carrières et s’abat au sol. Quatre des occupants trouvent la mort dans cet accident le SM radio volant Jean, Lucien AUFFRAY, le QM mécanicien volant Jean, Yvon, Marie DOUÉRIN, le LV pilote Georges, Marie, Charles DUPUY, commandant en second de l’escadrille et de l’EV1 de réserve pilote Gilbert, Pierre, Henri, François PICHERY, chef de bord. 12 mai 1948 – Pendant un vol de réception par un équipage de l’ERC, au cours d’une manœuvre de retournement, la verrière d’un Bloch 175T n° 45 éclate. Le pilote, aveuglé par des éclats et blessé aux jambes donne l’ordre d’évacuation puis saute en parachute. Le radio le suit quelques secondes plus tard mais le Mt mécanicien volant Robert, Roger PICT, ne se dégage de son habitacle que beaucoup plus tard et trop bas pour permettre à son parachute de s’ouvrir normalement. Il tombe sur le territoire de la commune de Plou Cher et est tué sur le coup. 1er août 1939 – Un hydravion CAMS 37E n° 36, du cours d’application à la mer de Berre, est victime d’un accident alors qu’il effectue des amerrissages devant Bormes-les-Mimosas Var. L’un de ses trois occupants, le QM pilote Bernard, Yves CHESNEAU, est tué sur le coup. Les deux autres, le SM pilote Pierre, Charles, Jacques BOURGUET et le QM pilote René, Alfred, Ernest PIERRARD, grièvement blessés, sont évacués vers l’hôpital Sainte-Anne à Toulon où ils décèdent le lendemain de leur admission. 16 septembre 1949 – Un hydravion Sunderland III de la flottille s/n ML851 – a décollé du plan d’eau de la BAN de Dakar-Bel-Air pour un exercice de grenadage réel. Quelques instants plus tard, une explosion sourde est signalée à environ 17 milles dans le 273° du feu des Almadies et, au même instant, l’appareil cesse ses émissions radios. Les secours dépêchés immédiatement découvrent des débris épars au milieu desquels flottent des corps. Il n’y a bien entendu aucun survivant. L’hypothèse la plus vraisemblable est que l’une des grenades a explosé prématurément au contact avec l’eau alors que l’appareil volait à basse altitude. L’équipage était composé de dix hommes, le SM2 radio volant Marc, Alexandre AUBERT, le SM2 mitrailleur bombardier Jean, Auguste, Pierre BUSSIÈRES, le SM2 mécanicien volant Robert CORVAISIER, l’EV1 de réserve pilote Jean DUPIN, l’IM2 volant Jean GUÉNÉGUÈS, Mt pilote Léon, Marie HAMON, l’EV1 de réserve pilote Louis, Romain MARMONIER, commandant d’aéronef, le QM2 électricien d’aéronautique François, Jean MÉVEL, le QM2 mécanicien volant Raymond, Lucien, Joseph MOUGIN et le QM2 armurier d’aéronautique Lucien, André PIERRE. 12 août 1945 – En essayant de percer la couche nuageuse pour amerrir sur le lac de Constance, un Latécoère 298 de l’escadrille 3S n° 49 – percute une colline près de la localité d’Uhldingen à 12 kilomètres au nord-ouest d’Immenstaad Allemagne. Ses trois occupants, le SM2 pilote Joseph, Corentin, Marie GUICHAOUA le LV pilote Jacques, Marie PIERRET, commandant l’escadrille 3S, et le Mt mécanicien volant Guillaume, Nicolas, Jean-Marie SELLIN, trouvent la mort dans l’accident. 13 août 1917 – Au cours d’une ascension d’entraînement en captif dans la rade de Brest, l’EV2 observateur de captif, André, Léon, Gustave, Edmond PILET fait une chute de la nacelle. Recueilli et transporté sur le croiseur Montcalm, il meurt malgré les soins prodigués par le médecin du bord. 11 mars 1964 – Au cours d’un vol d’entraînement à la navigation de nuit, un Alizé n° 29 de la flottille 6F, percute une colline au lieu-dit Les Couffines, dans la commune de Collias Gard. Ses trois hommes d’équipage, l’Asp de réserve navigateur Bertrand, Marie PILLIARD l’ EV1 pilote François, Marie, Henri RENVOISÉ et le Mt radio de bord Jacques, Hippolyte, François SALAÜN, sont tués sur le coup. 6 décembre 1940 – Immédiatement après son décollage du terrain de Rabat, un Martin 167-A3 n° 148 – de l’escadrille 1B est victime d’une rupture de canalisation d’huile qui aveugle pratiquement le pilote et l’observateur. Malgré tous les efforts du pilote pour effectuer un atterrissage de fortune, l’appareil s’écrase à un kilomètre du terrain. L’EV1 pilote Georges, Yves PINGUET, chef de bord, qui se trouvait au poste avant est tué sur le coup. Deux autres membres de l’équipage, dont le pilote, sont gravement blessés mais survivront. 17 août 1917 – Le QM mécanicien élève pilote Victor, Laurent, Urbain PISANO est mortellement blessé dans la chute en mer d’un hydravion Donnet-Denhaut de l’école de pilotage du CAM de Fréjus – Saint-Raphaël. 12 avril 1919 – Le QM canonnier observateur Antoine, Elie IGONIN et l’EV1 de réserve pilote Marcel, Henri PISSIN, commandant du CAM de Casablanca, sont tués sur le coup lorsque leur hydravion, un Donnet-Denhaut 200ch, s’abat dans le port de Casablanca Maroc. 24 juin 1940 – Au cours d’une passe de mitraillage sur des troupes ennemies qui viennent d’occuper le fort du Chay à Royan Charente-Inférieure, un Morane-Saulnier 406 de l’escadrille AC5 est abattu par la Flak et s’écrase dans un des fossés du fort. Son pilote, le SM de réserve Henri, Charles PIVET, est tué sur le coup. 22 octobre 1957 – Au retour d’une mission d’entraînement au vol de nuit et en finale pour à atterrir à Oran-La Sénia, un Lockheed P2V-6 Neptune de la flottille BuAer 126539 – perd brutalement de l’altitude, percute le lac salé de la Sebkra, dans la commune de Valmy, et se désintègre complètement. Les huit hommes composant l’équipage, le SM2 pilote Pierre, Serge, Auguste, Jacques COURTEILLE, le Mt électronicien de bord Francis HOQUET, le Mt radio volant Roger, Joseph LE CLECH, le Mt mécanicien volant Alain LE PARC, le LV pilote Jacques, Paul, Max PIVET, commandant d’aéronef, le Mt radariste volant Marcel, Maurice, Gustave RENARD, le Mt armurier de bord Henri, Joachim, Marie ROGER et le SM2 navigateur aérien Pierre VIGER, sont tués sur le coup. 17 mai 1939 – Au moment où il se pose sur le porte-avions Béarn, en baie de Douarnenez, à quatre milles dans le 072° du cap de la Chèvre Finistère, un Levasseur PL 101 n° 74 – BA-11 de la SESBA heurte de l’aile un support d’antenne et, déséquilibré, tombe à la mer. Prisonnier de la mâture de l’aile supérieure écroulée, l’EV1 pilote Carl, Marie, Henri, Pierre PLAINE-LÉPINE, meurt noyé avant que les secours n’aient pu le dégager. Les deux autres membres d’équipage sont indemnes. 4 juin 1930 – Alors qu’il vient de décoller du terrain du Kouif, dans le département de Constantine, un Morane-Saulnier 230 de la SS de Sidi Ahmed se met en perte de vitesse et s’écrase en flammes. Ses deux occupants, le SM mécanicien pilote Gustave, Alfred PLAN et le SM arrimeur pilote Emile POLLARD, sont tués sur le coup. 19 juin 1923 – Sitôt après avoir décollé de la rade, un hydravion Georges Lévy 300ch, codé du CAM Cherbourg s’abat en mer. Les deux membres de l’équipage, le Mot2 mécanicien pilote Jean, Christian MONTANGUON et l’EV1 pilote Maurice, Jean, Henri PLANTIÉ, périssent dans la chute de leur appareil. 28 juin 1941 – Une formation de six Martin 167-A3 décolle de Madjaloun Liban. Elle est composée de trois appareil des l’escadrille 6B et trois autres de la 7B. La mission assignée est de bombarder deux cols qui dominent Palmyre Syrie, où la garnison française résiste aux attaques des troupes du Commonwealth. Le bombardement s’effectue normalement mais, au retour, la petite formation est interceptée par une vingtaine de Curtiss Tomahawk de la RAAF. Le combat est inégal et, l’un après l’autre, les bimoteurs français succombent avec, dans la plupart des cas, la mort de l’ensemble de leurs équipages. En quelques minutes, seize officiers, officiers mariniers et quartiers-maîtres vont périr et il n’y aura que quatre survivants. La composition des équipages était la suivante N° 41 – Mt mitrailleur bombardier Mathurin, Marie LE BOULAIRE, SM radio volant Louis, Joseph LE ROLLAND, EV1 pilote Marcellin GISBERT, faisant fonction d’observateur et LV pilote François, Xavier, Paul, Martial ZIEGLER, commandant l’escadrille 6B et chef de 93 – QM2 radio volant Ferdinand, Léon BIEVER, QM2 mitrailleur bombardier Henri LE MARRE, Mt pilote Paul, Simon, Nicolas MONJOIN et EV1 pilote Aymond, Marie, Jean, André PLAYE, chef de bord et 204 – SM1 pilote Lucien HELF, EV1 pilote Pierre, Jean LACOSTE, chef de bord et navigateur, SM2 radio volant Jean, Aimé LE DÛ, QM2 mitrailleur bombardier Eugène, Henri, Pierre, Marie 58 – QM1 radio volant Victor, François, Alain BOURHIS, SM2 pilote Robert, Gustave, Sylvain CÉRÉSUÉLA, OE2 pilote Georges, Corentin, Marie LE FRIANT, chef de bord et observateur et QM1 radio volant André, Yves, Marie 274 – QM1 mécanicien volant François, Marie LIBOUBAN, QM2 radio volant François, Henri, Victor PARMENTIER, sont tués en vol par les tirs des chasseurs australiens. Le LV Francis Lainé, pilote et chef de bord et l’EV1 Pierre Massicot, observateur, survivent, gravement blessés, à l’atterrissage forcé de leur 21 – LV pilote Joseph, Charles, Jean de GAIL, chef de bord et observateur et QM radio volant Louis, Alphonse THIOT. Deux membres de l’équipage, le MT pilote Raymond Sarrotte et le SM mitrailleur bombardier Clotaire Guéret, réussissent à sauter en parachute. 13 mars 1967 – Un P2V-7 Neptune BuAer 147565 de la flottille 24F avait décollé de la BAN de Lann Bihoué pour une mission de nuit de soutien ASM. Un dernier contact radar et radio avec l’escorteur d’escadre Surcouf vers 21 h 45, le situe en mer d’Iroise, à 40 milles environ dans le 235° du phare d’Ar-Men Finistère. L’appareil ne donne ensuite plus signe de vie. Les recherches intensives aériennes et maritimes menées les jours suivants permettent de retrouver un seul corps, celui de l’officier coordonnateur tactique. Les autres occupants de l’appareil sont portés disparus, présumés morts en mer. L’équipage était composé du PM électronicien de bord Léopold, Alfred CLAULIN, du PM mécanicien de bord François, Marie CONAN et Raymond, Léon, René COUTURIER, du SM2 mécanicien volant Louis, Yvon DELANNOY, du Mt électronicien de bord Bernard, François, Jean-Marie GUÉNÉGAN, de l’EV2 navigateur Jacques, Bruno, Yves GUILLEMETTE, du Mt électronicien de bord Joseph, Raymond, Alban HELLIOT, du LV de réserve navigateur Jean-François, Marie LUCAS, coordonnateur tactique, du Mt navigateur Michel, Jean MAURIN du Mt électronicien de bord Jean-Claude, Emile, Yves, Louis PLÉDEL, du Mt pilote Guy, Jean, Roger STIVALET, du LV pilote Thadée, Yves, Marie, François, Léopold TYL, commandant d’aéronef et du Mt électronicien de bord et Joseph, André, Jacques VANPEENE. 18 août 1917 – Le LV pilote Frantz, Victorin PLENNEAU est tué dans la chute en mer d’un hydravion Donnet-Denhaut du CAM de Fréjus – Saint-Raphaël. Porté disparu dans un premier temps, son corps n’est retrouvé que le 25. 10 août 1917 – Au retour d’une mission de surveillance, un Voisin Peugeot n° 2192 de l’escadrille côtière V485 s’abat au lieu-dit L’Hermitage, dans la commune d’Eu Seine-Inférieure. Ses deux occupants, le MdL d’artillerie pilote François LAFOURCADE et le QM canonnier observateur Auguste, Roland PLURIEN, sont tués sur le coup. 21 janvier 1982 – Un Douglas C-54 n° 49 148 de l’escadrille 9S basée sur l’aérodrome de La Tontouta, en Nouvelle Calédonie, effectuait un vol d’entraînement aux décollages et atterrissages de nuit. Pour une raison indéterminée, il s’écrase sur les flancs du mont Kokoreta, au lieu-dit Bangou, dans la commune de Païta. Il n’y a aucun survivant parmi les sept occupants de l’appareil. L’équipage était composé du LV pilote Guy, Alain, Marie CELTON, commandant d’aéronef, du MP pilote Marcel, Daniel, François, Denis CRUSSON, du PM électronicien de bord Jean, Daniel DECOUDU, du Mt mécanicien volant Paul, Léon GAVARD-PIVET, du PM mécanicien de bord Bernard, Louis, Joseph, Marie LE FURAUT, du MP mécanicien volant Monroë, Jacques PODLESNIK et du PM navigateur Claude, François WULLAERT. 5 juin 1918 – L’EV1 de réserve pilote Félix, Marie, Raymond POEYARRÉ du CAM de Fréjus – Saint-Raphaël, en stage de pilote de chasse à l’école d’aéronautique militaire de Biscarrosse, est mortellement blessé dans la chute sur la plage de son appareil en vrille. 18 juin 1930 – Un Lioré et Olivier H193 de la Section de servitude d’Hyères, effectue un vol d’entraînement le long de la côte est de la Méditerranée. Sans s’en apercevoir, l’équipage dépasse la frontière et se trouve devant Vintimille Italie lorsqu’une panne de moteur le contraint à un amerrissage forcé. Mais celui-ci, fait vent arrière, se passe mal et l’appareil capote. Les deux occupants assis aux sièges avant, le SM radio, pilote René GUILLET et le SM radio volant Clément, Joseph, Alexandre POGAM, meurent noyés. Les deux autres membres de l’équipage sont recueillis par des pêcheurs. 10 juillet 1918 – Le Mot3 sans spécialité élève observateur de captif Joseph, Marie POHIN du CAM de Rochefort, est mortellement blessé en tombant de la nacelle au cours d’une ascension de ballon captif. 20 juin 1940 – Le Mot2 mécanicien d’aéronautique Roland, René POINTEL, grièvement blessé dans un accident d’aviation sur le terrain de La Baule-Escoublac, décède de ses blessures peu de temps après son admission à l’hôpital de Saint-Nazaire. 19 juin 1917 – Le Mot1 mécanicien Marcel POIRIER, détaché au Groupe d’entraînement des Divisions de l’Aéronautique militaire du Plessis-Belleville, est mortellement blessé dans la chute à Ermenonville Oise, du Caudron à bord duquel il servait comme mitrailleur/ L’identité de son pilote, également tué dans l’accident, n’a pu être établie avec précision. 18 août 1918 – Parti du CAM de Sousse Tunisie pour une escorte de convoi côtier, un hydravion Donnet-Denhaut 200ch est victime d’une panne de moteur alors qu’il survole la côte près de Korba, à une centaine de kilomètres au nord. Les deux membres de l’équipage, l’EV1 observateur Jean, Charles, André POISSON et le QM torpilleur pilote Gaston, Clément FAVEAU, sont tués dans la chute, suivi de l’incendie de leur appareil. 24 janvier 1938 – Au cours d’un vol de prise en mains pour des pilotes nouvellement affectés et alors qu’il survole l’étang de Berre, l’hélice d’un Latécoère 290 n° 7 de l’escadrille 4T1 se détache et va sectionner les mâts soutenant la voilure. Une aile se replie, l’hydravion se met en vrille et percute l’eau. Les quatre hommes qui constituaient l’équipage, les SM pilotes Alexandre, François, Henri AUBERT, Emiland LOCTIN et Jean POITIER et le Mt mécanicien d’aéronautique André, Pierre RAT, sont tués sur le coup. 4 juin 1930 – Alors qu’il vient de décoller du terrain du Kouif, dans le département de Constantine, un Morane-Saulnier 230 de la SS de Sidi Ahmed se met en perte de vitesse et s’écrase en flammes. Ses deux occupants, le SM mécanicien pilote Gustave, Alfred PLAN et le SM arrimeur pilote Emile POLLARD, sont tués sur le coup. 13 mars 1928 – Au cours d’un vol d’entraînement, un Morane-Saulnier MS 130 de l’escadrille d’instruction du CAM de Rochefort s’abat au sol. Ses deux occupants, le Mt mécanicien volant André, Jean-Marie BRÉBANT et le LV pilote Roger, Victor POMMIER , grièvement blessés, sont transportés à l’hôpital maritime de Rochefort où ils décèdent quelques heures plus tard. 20 juillet 1945 – En phase finale de décollage du plan d’eau de la BAN de Dakar – Bel-Air, un Short Sunderland III de la flottille 7FE s/n ML841 – M, rebondit plusieurs fois sur des lames avant de se briser en deux et de couler presque immédiatement. Il y a dix victimes parmi les occupants de l’appareil les Mot2 EAR élèves observateurs, Henri, Camille BÉRAUD, Jean, Marie, Georges BONIS-CHARANCLE et Jacques, Alfred, Antoine BRUN, le SM2 radio volant Louis DARS, le Mt mitrailleur bombardier Raymond, Joseph, Marie HOUSSAY, le QM1 radio volant Joseph LE DEUN, l’EV1 de réserve observateur René, Michel, Jean LEMARCHAND, le Mot2 EAR élève observateur Jacques, Henri, Albert LICHTENBERGER, le Mot radio volant Alfred PONCET et le QM armurier d’aéronautique Louis, Gabriel ROBIN. 27 janvier 1961 – En décollant du terrain de Tambacounda Sénégal, un JRF Goose de la flottille BuAer 34078 – est victime d’une perte de vitesse, passe sur le dos et s’écrase en flammes en bout de piste. Les six occupants de l’appareil périssent dans l’accident et parmi eux le CC pilote Hervé, Marie, Joseph de FORNEL, chef de bord, le SM2 mécanicien de bord Pierre, Paul, Gontran NANTILLET et le VA pilote Pierre, Jean, Arnaud PONCHARDIER, commandant la Marine en AOF. Le VA Ponchardier était accompagné de son épouse et d’un couple d’amis. 14 décembre 1959 – Au cours d’un vol de contrôle après révision à l’établissement de la DCAN de Cuers-Pierrefeu, un AU-1 Corsair BuAer 129413, s’écrase sur le territoire de la commune de Tourtour Var. Son pilote, le Mt Raymond PONS est tué sur le coup dans l’accident qui cause également la mort d’une femme, atteinte au sol par des débris de l’appareil. 15 septembre 1955. Une section hunter-killer » de deux TBM Avenger de la flottille décolle d’Aspretto pour un entraînement ASM de nuit sur la côte Est de la Corse. En traversant l’île en formation serrée pour rejoindre la côte orientale, les deux appareils percutent un sommet. L’accident s’est produit au lieu-dit Tranzicone, dans la commune d’Olivese. Lorsque les secours arrivent il n’y a plus rien à faire, sept hommes viennent de perdre la du TBM 3W BuAer 85954 – était composé du Mt radio volant Jean, Rolland BARRAU, du SM2 navigateur Christian, André LETELLIER, de l’EV2 de réserve navigateur Jean, André PONTILLON et de l’OE3 pilote Roger, Charles VAZEILLE. Celui du TBM 3S BuAer 91448 – comprenait, le SM2 mécanicien de bord Marcel, Paul CULTY, le Mt armurier de bord Yves GRILLOT et le SM2 pilote Jean LE BERRE. 12 avril 1935 – Un Farman 166 Goliath de l’EPV du CEAM d’Hourtin s’abat au lieu-dit Lassalle, dans la commune de Lesparre Gironde. Trois des membres de son équipage, le SM arrimeur pilote Joseph, Henri PONZEVERA, le QM mécanicien volant Maurice, Albert, Louis, Pierre RENAC et le Mot arrimeur pilote Luc, Lucien REYDY, périssent dans la chute de leur appareil. Un quatrième occupant le SM mitrailleur-bombardier Roger, René ALLOUARD, gravement blessé, décédera le 25 mai à l’hôpital maritime de Rochefort.. 12 juillet 1944 – Au retour d’une mission de surveillance en mer, dans l’impossibilité à cause du brouillard régnant sur la région d’Agadir et à court de carburant, un Convair PBY-5 Catalina BuAer 48361 – F-35 de la flottille 6FE est contraint d’amerrir au large de Safi Maroc. La mer est grosse et l’appareil se brise en deux parties au contact de l’eau. La partie avant flotte encore mais la cabine de pilotage est déjà sous la surface, ne laissant aucune chance de survie à ses trois occupants, l’Asp de réserve observateur Yvon, Pierre, René DUCREST, le LV pilote Roger, Louis JACQUEMIN, chef de bord et le Mt pilote Emile, Edmond POPLIMONT et. Les six autres membres de l’équipage se retrouvent à l’eau mais, lorsque deux heures plus tard des embarcations de pêcheurs arrivent sur les lieux de l’accident, ils ne sont plus que quatre, le Mt radio volant Camille, René, Léon YBERT et le QM mécanicien volant Fernand, Joseph, Ferdinand LECORDIER ont coulés à pic. 20 décembre 1945 – Peu après son décollage de la BAN de Saint-Mandrier, un Dornier 24 de la flottille 9Ftr n° 1 – qui se rendait à Arzew en Algérie, s’écrase à un kilomètre dans le 175° de la pointe de Saint-Elme dans la commune de la Seyne-sur-Mer. Des six membres de l’équipage, le LV pilote Hubert, Marie, Robert BENEYTON, chef de bord, le Mt mécanicien volant Jean-Louis CAMUS, le Mt pilote Pierre, Marie CAROFF, l’EV2 de réserve observateur René, Joseph, Mathurin GUINARD, le PM pilote Yves, Marie HAMON et le Mt radio volant Albert, Emile PORTRAT et des onze passagers, le PM Claude MERCEUR, les Mots François BOURGLAN, Jules CADICHON, Charles DARZENS, Louis DESNOYER, Pierre DUPUY, Louis LE DOZE, Joseph LE DOZE, Maurice PEROT, Maurice PIERRE, Pierre TEMOIN et Gérard TEXIER, cinq survivants sont vus agrippés à un réservoir d’essence mais quand les secours arrivent, un seul, le Mot François Bourglan, est retrouvé vivant. L’accident s’étant produit sans témoin et l’épave de l’appareil n’ayant pu être récupérée, ses raisons ne seront jamais connues. 21 août 1917 – Le SM canonnier, élève pilote Paul, Marie POSTEC, du CAM de Fréjus – Saint-Raphaël, en stage à l’école de pilotage de l’Aéronautique militaire de Vendôme Loir-et-Cher, est mortellement blessé dans la chute de son avion sur le terrain britannique de Poulines. 23 août 1938 – Au cours d’une séance d’entraînement aux amerrissages de nuit en rade de Cherbourg Manche, un Lioré et Olivier 258 de l’escadrille 1B1 est accidenté. Quatre des six membres de l’équipage, les SM pilotes Louis, Jean, Sébastien LANIEL et Gaston, Maurice, René LE BRUN, le QM radio volant Jean POSTOLLEC et le Mt mécanicien volant Hervé POULIQUEN, sont tués sur le coup. Deux autres, dont l’EV1 commandant d’aéronef, sont gravement blessés. 24 octobre 1963 – En tentant d’amerrir de nuit, par suite d’une panne de moteur, un TBM Avenger de l’escadrille BuAer 69442 – basée à Cuers-Pierrefeu percute la mer à quelques dizaines de mètres du rivage, au lieu-dit Saint-Pierre-la-Mer, dans la commune de Fleury Aude, Les quatre occupants, le SM2 pilote Joël, Henri, Louis DANTON, le Mt navigateur aérien Roger POTIER, le SM1 mécanicien de bord André, François, Marie TRUTIN et un passager, le Cne de l’armée de Terre Armand de LIVRET, sont tués dans la chute de leur appareil. 23 août 1918 – Immédiatement après son décollage pour une mission de reconnaissance, un hydravion Donnet-Denhaut 150ch n° 681 – du CAM de Platéali Grèce, s’abat en vrille dans la rade. Les deux occupants de l’appareil, l’EV2 observateur Louis, Maxime GUÉLARD et le QM mécanicien pilote Eugène, Robert POTIRON, sont tués sur le coup. 17 mai 1930 – Alors qu’il participe à un meeting d’aviation sur l’aérodrome d’El Aouina Tunisie, l’EV2 de réserve pilote Michel, Alfred, Maurice POU, de l’escadrille 4C1 basée à Sidi Ahmed, se tue au cours d’une démonstration de voltige. Son appareil, un Morane Saulnier 130 n° 133 de la SS de Sidi Ahmed, s’écrase au sol au terme d’une vrille amorcée trop bas. 12 décembre 1962 – Deux SNCASO Vautour IIN de la 30ème Escadre de chasse de nuit de l’Armée de l’Air entrent en collision en vol et s’écrasent dans la commune de Saint-Michel-d’Euzet Gard. Les quatre membres d’équipage, le Lt pilote LAURENT et le LV de réserve navigateur André, Jean, Marie POUBLAN dans l’appareil n° 342 et le Lt pilote RENAUDIN et le Sgt THIBAULT dans le n° 316, trouvent la mort dans l’accident. 12 janvier 1939 – Au cours d’une évolution serrée à basse altitude, un CAMS 37E de la SE de Brest, se met en perte de vitesse et s’abat dans la commune de Plomodiern Finistère. Ses trois occupants, le SM2 mécanicien volant Pierre, Marie COLLET, le Mot arrimeur Louis LE BOT et le SM2 pilote Corentin, Jean, Marie POUDOULEC, sont tués sur le coup. 27 juin 1951 – Arrivant de Saint-Mandrier, l’hydravion quadrimoteur Breguet 730 Sirius de l’escadrille n° 2 – se présente en finale pour amerrir sur l’oued Sébou à Port-Lyautey. L’approche est trop basse et désaxée et le pilote remet les gaz. L’hydravion se cabre alors, puis part en abattée sur la gauche, une aile touche le sol et l’appareil s’écrase. Quatre membres de son équipage, le SM2 mécanicien volant Joseph, Louis CARIOU, le QM2 radio volant Raymond, Hubert JEANDOT, le SM2 radio volant Roger POUGET et le PM mécanicien volant Maurice SOUNY, sont tués sur le coup. Deux autres, l’EV1 de réserve pilote Jean, André JAUSSOIN, chef de bord, et l’EV2 de réserve navigateur Pierre, Michel THIÉBAUT, grièvement blessés, décèdent après leur transport à l’hôpital. Une septième victime enfin est à déplorer, le technicien civil de la SNECMA Roger SCHACK, également tué sur le coup. Les vingt autres membres d’équipage et passagers, sont tous plus ou moins gravement blessés mais survivront. 27 juin 1946 – Au cours d’un exercice de combat tournoyant, un SBD-5 Dauntless de la Flottille BuAer 54590 – se met en perte de vitesse, s’engage dans une vrille qui ne peut être récupérée et s’abat sur le territoire de la commune de Carqueiranne Var. Grièvement blessés, les deux membres de l’équipage, l’EV2 de réserve pilote Henri, Adrien, Edouard COLIN et le SM2 mitrailleur bombardier Jean, Damien POUJADE, sont transportés à l’hôpital Sainte-Anne de Toulon où ils décèdent peu après leur admission. 10 avril 1918 – En amerrissant par mer formée devant Etretat Seine-Inférieure, un hydravion FBA 150ch n° 567 – du CAM du Havre, est accidenté. L’observateur est recueilli blessé mais le SM canonnier pilote François, Marie POULIQUEN, est tué sur le coup. 23 août 1938 – Au cours d’une séance d’entraînement aux amerrissages de nuit en rade de Cherbourg Manche, un Lioré et Olivier 258 de l’escadrille 1B1 est accidenté. Quatre des six membres de l’équipage, les SM pilotes Louis, Jean, Sébastien LANIEL et Gaston, Maurice, René LE BRUN, le QM radio volant Jean POSTOLLEC et le Mt mécanicien volant Hervé POULIQUEN, sont tués sur le coup. Deux autres, dont l’EV1 commandant d’aéronef, sont gravement blessés. 26 novembre 1948 – Un Wellington XIV de la flottille s/n PF 996 – participe à un exercice d’attaque de nuit d’un sous-marin au large du cap Falcon, près d’Oran. Pour probablement vouloir conserver son objectif dans le faisceau du projecteur ventral, le pilote effectue un virage à très basse altitude. Au cours de cette manœuvre l’aile touche l’eau et l’appareil, déséquilibré, s’écrase en me. Les recherches, immédiatement entreprises par le sous-marin, permettent de retrouver quatre corps seulement. L’équipage se composait des EV1 de réserve pilote Jean, Albert BOULICAUT, EV1 navigateur René, Charles BRESSON, SM2 mécanicien volant Charles DEBS, EV1 pilote François, Yves, Louis, René FAURE, chef de bord, Mt radariste volant Manuel, Jérôme FERRANDIS, SM radios volants André, Pierre, Marie LAURENT et Jean, Gabriel, Eugène LE MEUR et PM mitrailleur bombardier René, François POULIQUEN. 29 juin 1918 – Un hydravion FBA 150ch n° 607 du PC du Cap Janet Bouches-du-Rhône s’abat en vrille à l’embouchure du vallon des Auffes. Ses deux occupants, le QM mécanicien pilote Marcel, Albert GUY et le SM timonier pilote Alphonse, François POULMARCH, sont tués sur le coup. 8 septembre 1939 – Au cours d’un vol d’entraînement de pilotes de réserve récemment mobilisés, un hydravion Lioré et Olivier H257bis de l’escadrille B2 s’abat sur l’étang de Berre. Trois des membres de l’équipage, le Mt pilote de réserve Joseph, René, Maurice BEYAERT, le QM2 mécanicien volant André, Odilon, Alphonse LEULLIETTE et le Mt mitrailleur bombardier Jean POUPON sont retirés morts des débris de l’appareil. Deux autres en réchappent avec des blessures. 21 mars 1935 – Au cours d’un vol d’entraînement à la navigation de nuit, un Farman 168 Goliath n° 191 – de la SE de Brest, est pris dans une bourrasque et, déséquilibré et hors de contrôle, s’abat au fort des Capucines, dans la commune de Roscanvel Finistère. L’équipage, composé des PM mécanicien pilote Gustave, Louis CHAILLOT, QM arrimeur, pilote André LE CERFF, QM radio volant Jean LE MARTRET, EV2 de réserve pilote Bernard, Adrien POUSSINEAU, chef de bord, QM mécanicien volant Albert, Marie TOQUER et PM mécanicien volant Noël, Charles, Marie TROMEUR, est tué sur le coup. 9 septembre 1970 – Au retour d’un vol de nuit et en approche GCA, un Etendard IVM n° 31 de l’escadrille 59S s’abat en mer à environ 8 milles dans le sud d’Hyères. Son pilote, l’EV2 de réserve Christian, Joseph POUZOULET disparaît dans la chute de l’appareil. 8 novembre 1942 – Cette journée restera comme l’un des plus noires de l’histoire de l’Aéronautique navale. Tôt le matin, une importante force navale américaine se présente devant les côtes du Maroc. Son objectif débarquer des troupes en plusieurs forces françaises prises totalement par surprise essaient néanmoins de réagir. A Port-Lyautey sont basées la 1ère flottille de chasse escadrilles 1AC et 2AC et la 3ème flottille de bombardement escadrilles 2B et 3B. Alertés par les tirs des bâtiments américains, les équipes au sol s’empressent d’armer les Martin 167 A-3 de cette dernière unité. Lorsque, vers 9 heures, les premiers bimoteurs prennent l’air, ils sont attaqués par des Grumman F4F Wildcat de la chasse embarquée du commandant de flottille, décollé le premier, est rapidement abattu au nord de l’embouchure de l’oued Sébou et son équipage, composé du Mt radio volant Jean, Maurice BÉDU du LV pilote Jean, Pierre, Amédée, Bernard BILLIOQUE, faisant fonction d’observateur, du CC pilote Henri, Albert MATHON, chef de bord et du QM mécanicien volant Pierre, Jean, Marie PRADINE, est porté disparu. Seuls les corps du CC Mathon et du QM Pradine seront retrouvés quelques semaines plus tard. 23 août 1944 – Un Vickers Wellington XIII s/n HZ588 – N de l’escadrille 5B de la 2ème flottille de bombardement avait décollé de sa base de Dakar-Ouakam pour une mission d’escorte de convoi. A partir de 20 h 30, plus aucun contact ne peut être établi avec l’appareil. Les recherches lancées le lendemain et les jours suivant ne révèlent aucun indice. L’appareil et son équipage de sept hommes, composé du QM1 mécanicien volant Aimé, Marcel BASTIEN, de l’EV1 de réserve observateur René, Jules, Vital CUNIN, commandant d’aéronef, de l’Asp de réserve observateur Pierre, Edouard, Claude MARTIN, du QM2 radio volant Robert, Georges, Augustin MOIZANT, de l’OE2 pilote Roger PRAT, du Mt radio volant Louis, Marcel RAPP et du SM pilote Guy, Louis, Marie RICHAUDEAU, sont portés disparus. 23 juillet 1925 – Sitôt après avoir décollé, un hydravion Georges Lévy 300ch de l’escadrille 1R1 du CAM de Cherbourg s’abat dans la rade. Ses trois membres d’équipage, le QM mitrailleur bombardier Georges, Charles, Emile BOUVARD, le Mot arrimeur pilote Pierre, Henri MOUNEYDIER et le QM arrimeur volant Louis, Auguste PRÉVOST, périssent dans l’accident. 24 mars 1917 – Après avoir décollé pour un vol de reconnaissance du temps et atteint une altitude de 300 mètres, un FBA 150ch n° 413 – du CAM de Dunkerque, se met en vrille, s’abat en mer et capote. L’un des deux occupants, le Mot Le Tynevez, est immédiatement secouru mais le second, le QM mécanicien pilote Antoine PRÉVOT, prisonnier de la coque retournée, a cessé de vivre lorsque les sauveteurs réussissent à le dégager. 11 avril 1917 – Au cours d’une reconnaissance en mer, à la suite d’une panne de moteur, un FBA 150ch n° 376 du CAM de Fréjus – Saint-Raphaël, est contraint d’amerrir à 25 milles au sud du Dramont Var. Grâce aux pigeons voyageurs embarqués, les deux hommes d’équipage peuvent prévenir le Centre mais, quand les secours arrivent sur place, ils ne trouvent aucune trace de l’appareil. Le Mt mécanicien pilote Eugène, Jules, Alexis JULLIEN et l’EV1 auxiliaire observateur Charles, Michel PRIEUR, sont portés disparus, présumés morts en mer. 17 mai 1940 – Au cours d’un entraînement au bombardement en piqué, un Loire-Nieuport 411 n° 2 – de l’escadrille AB4, ne redresse pas à temps et s’abîme en mer devant le cap Lévy à Cherbourg. Son pilote, le SM Adrien, Louis, Marie PRIGENT, est tué sur le coup. 31 décembre 1917 – Le SM canonnier, élève pilote Henri, Louis PRIGENT, aux commandes d’un FBA 150ch n° 319 de l’école de pilotage du CAM de Fréjus – Saint-Raphaël, est victime d’une chute en vrille en mer. Recueilli par une embarcation de sauvetage, il décède pendant son transfert à l’infirmerie du centre. 12 septembre 1919 – Au cours d’un vol d’entraînement, un hydravion Donnet-Denhaut 200ch n° 1222 – du CAM de Toulon, disparaît dans le golfe de Giens Var. Les recherches entreprises ne permettent pas de trouver d’indices. Les deux membres de l’équipage, le SM mécanicien observateur Emile, Alexandre GUILLEMOTO et le SM fusilier pilote Paul, Théophile, Jean PRIMA sont portés disparus, présumés morts en mer. 7 septembre 1966 – À la suite d’une panne de moteur, un Alizé n° 46 de la flottille 4F est contraint à un amerrissage forcé au large de Lorient Morbihan. Deux membres de l’équipage parviennent à sortir de l’appareil et sont sauvés grâce à leur radeau individuel mais le troisième, le PM navigateur Yvon, Jean, François PRIOUX, ne peut pas se dégager et coule avec l’appareil. 12 mai 1916 – Parti de Fréjus à destination de Bizerte, le dirigeable CMT est victime d’un incendie et s’abat alors qu’il est en vue des côtes de Sardaigne. Les cinq hommes composant l’équipage périssent dans l’accident. Cet équipage mixte était composé de l’Adjt pilote de dirigeable Camille, Albert BRICE, du Cne pilote de dirigeable René, Jean, Henri CAUSSIN, du Mot2 électricien radio de dirigeable Maurice, Louis, Nicolas PROUTEAU, de l’Adjt mécanicien de dirigeable Abel, Adrien, Edmond RÉMIA et du LV élève pilote de dirigeable Antoine, Louis, Marie BARTHÉLEMY de SAIZIEU. Brice, Caussin et Rémia appartenaient à l’Aérostation militaire. 17 août 1960 – Un AVRO Lancaster de l’escadrille n° WU 26 – revenait de métropole vers Agadir, transportant douze passagers en plus de son équipage habituel. Alors que l’appareil se trouve 25 kilomètres au sud de Had Ouled Frej, un message est reçu par le contrôle de Camp Cazès, signalant un incendie au moteur n° 3 et annonçant une tentative d’atterrissage forcé. Mais il est trop tard, rongé par le feu, le longeron principal de la voilure cède et l’aile droite se replie. Désemparé, le Lancaster s’écrase au sol près du douar de Khemis M’Touch, dans la région de Sidi Bennour, à une centaine de kilomètres environ dans le SSO de Casablanca. Tous les occupants sont tués sur le coup. L’équipage était composé du MP mécanicien de bord Bernard BRÉLIVET, du SM2 radio volant Jacques, Pierre DURAND, de l’EV2 de réserve pilote Jean-Claude JÉGOU, des OE3 pilotes Henri, Francis JOURDAN et Joseph, Jean, Marie LE HIRESS, commandant d’aéronef, du Mt mécanicien volant Edmond, Jean, Marie MARTIN et du PM radio volant Jean, Emile, Auguste MOUSSET. Les passagers étaient le QM2 armurier d’aéronautique Claude, Paul BARBÉ, le PM pilote Maurice, Dominique, Pierre CANTAT, les SM2 mécaniciens d’aéronautique Jacques, Roland, Marcel HERBETTE, Gilbert, Louis, Marie LE ROUZIC et Jean, Louis MARC, l’agent de la poste aux Armées Armand, Marius PÉZÉ, le QM1 électricien Christian, Charles PHIPPS, le SM2 mécanicien d’aéronautique Joseph PROVOST, le PM mécanicien d’aéronautique Lucien, Jean, Louis ROMANI, l’IM1 volant Jacques, Jean, Victor ROULS, le Sgt/Maj Louis, Victor PRINCE-SOULIER de l’armée de Terre et le Mot2 maître d’hôtel Pierre VICARIOT. 10 avril 1933 – Au retour d’un vol d’entraînement par nuit lunaire, un Farman 168 Goliath n° 120 – de la SE de Berre capote à l’amerrissage, probablement à cause d’un effet de mirage. Les cinq hommes composant l’équipage, les SM arrimeur pilote Paul, Henri, Roger CHAPON, le QM arrimeur pilote Jacques, Paul, Achille FRAISSÉ, le SM arrimeur pilote François, Yves, Joseph JACQ, le SM mécanicien volant Yves, Guillaume, Marie LE BARS et le Mt mécanicien pilote Charles, Jean, Gaston PRULEAU, périssent dans l’accident. 16 novembre 1918 – L’apprenti marin Maurice, Alfred, Adolphe PRUVOST du CAM de Fréjus – Saint-Raphaël, élève pilote à l’école de pilotage de l’Aéronautique militaire d’Ambérieu, est mortellement blessé dans la chute de son avion sur le terrain de Loyettes Ain. 19 décembre 1943 – Un Vickers Wellington XIII s/n HZ710 – de l’escadrille 1B de la 2ème flottille de bombardement avait décollé du terrain de Dakar-Oukam pour un mission de protection de convoi. Les conditions météorologiques sont très mauvaises et, incapable d’assurer correctement sa mission, le chef de bord annonce par radio qu’il l’interrompt et rentre à sa base. Un autre message signale que les grenades ASM ont été larguées. Vers 14 heures, le Wellington est à la verticale de Ouakam et entame un long virage pour se présenter dans l’axe de la piste. Des témoins s’aperçoivent alors qu’un des moteurs émet une fumée noire. A 14 h 24, l’avion percute la mer et explose à deux milles de la côte. Des embarcations de pêcheurs puis des vedettes de la Royal Navy se portent immédiatement sur les lieux de l’accident mais ne trouvent aucun survivant. L’équipage était composé des QM1 radio volant Auguste, Joseph AQUADRO, EV1 pilote Victor, Louis, Henri CERINI, chef de bord, SM2 pilote Alexandre, Eugène, Célestin CRESTEL, QM2 radio volant Gaétan, Jean, Joseph DUCLOS, PM pilote Henri, Denis MICHEL, QM mécanicien volant Raymond PATUREAU et Asp de réserve Henri, Antoine PUCHOL, observateur. Les corps de Cerini, Michel et Patureau ne seront pas retrouvés. 10 mars 1945 – Un Supermarine Walrus I s/n Z1815 – de l’escadrille 4S s’écrase au hameau de Cavalligna, dans la commune de Santa-Maria-di-Lota Corse. L’accident fait quatre victimes, l’équipage, composé du Mt pilote Adrien, Noël DEVOIR et du Mot mitrailleur bombardier Jacques PUCHU et deux passagers, le SM mécanicien François, Claude RUBINI et le QM2 canonnier Louis, Antoine LÉONARDI de l’Unité Marine d’Ajaccio. 18 mai 1986 – Un Atlantic n° 19, de la flottille 21F, avait décollé de Djibouti pour un vol d’entraînement. Aux alentours de la montagne du Day, le moteur gauche est victime d’une avarie brutale provoquant un virage du même côté. Le relief est trop proche, l’appareil percute les contreforts de la montagne et se désintègre en tuant tous ses occupants. L’accident fait dix-neuf victimes Membres de l’équipage MP électronicien de bord Michel, Raymond, René BLANDIN, PM électronicien de bord André, Alain, Patrick CHAUMONT, SM navigateur Laurent, Michel FAUBET, Mt navigateur Daniel, Victor d’HULSTER, Mt électronicien de bord Eric, Hervé, Victor, Auguste MAUGARS, EV1 de réserve pilote Dominique, Jean MEUNIER, chef de bord, Mt mécanicien de bord Eric, Jean, Louis MONTET, SM électronicien de bord Pierre, Michel PUGI, QM1 mécanicien de bord Patrick, Henri SIMOND. PM mécanicien de bord Jacques, Marie, Franck TASSIN, PM pilote Christian, Louis, Aloïs de personnel technique au sol de la 21F QM1 mécanicien d’aéronautique Didier FORMET, MP électronicien d’aéronautique Michel, Charles, Paul PACATTE et PM électromécanicien d’aéronautique Dominique passagers S/C Umberto CIRASARO de la 13ème DBLE, PM mécanicien d’aéronautique Gilbert, Michel CROUILLES, de l’Unité Marine de DjiboutiEV2 René, François, André FOIN de l’aviso-escorteur Amiral Charner, Maj mécanicien de bord Bernard, Gabriel JOLLARD et MP pilote Jean, Pierre, Clément MAROT de l’escadrille 23S détachés sur le BCR Var. 23 juillet 1940 – Alors qu’il décolle du lac de Bizerte pour rejoindre Aspretto en Corse, un Latécoère 298 n° 42 de l’escadrille 3S6 se met en perte de vitesse et s’abat dans l’eau. Deux de ses membres d’équipage, le QM mécanicien d’aéronautique Yves, Marie LAVANANT et le QM de réserve radio volant René, Léonard PUGLIESE sont tués sur le coup. Le troisième, le SM2 pilote Louis, Albert KAUFFMANN, est transporté grièvement blessé à l’hôpital de Sidi Abdallah où il décède quelques heures plus tard. 12 avril 1954 – Alors qu’il arrivait pour bombarder des concentrations viêt minh autour du point d’appui Anne Marie» dans la cuvette de Diên Biên Phu, un PB4Y Privateer de la flottille BuAer 59774 – est atteint de plein fouet par les tirs de la DCA et s’écrase au sol. Les neuf membres de l’équipage, le SM2 armurier de bord Serge, Aimé BOURSON, le SM2 radio volant Marc, Christian CHAIGNE, le SM2 radio volant Jackie, Robert GIULIANO, le SM2 pilote Guy, Joseph, André GAUTHIEZ, le SM2 mécanicien de bord Charles ILTIS, l’EV1 pilote Alexis MANFANOVSKY, chef de bord, le SM2 armurier de bord Jean, Hyacinthe PAUMIER, le SM2 mécanicien de bord Pierre, Edmond PUYJALINET et le SM2 navigateur Hervé, Marie, Ernest RUELLO KERMELIN, sont portés disparus, présumés tués dans la chute de leur appareil. 18 mai 1986 – Un Atlantic n° 19, de la flottille 21F, avait décollé de Djibouti pour un vol d’entraînement. Aux alentours de la montagne du Day, le moteur gauche est victime d’une avarie brutale provoquant un virage du même côté. Le relief est trop proche, l’appareil percute les contreforts de la montagne et se désintègre en tuant tous ses occupants. L’accident fait dix-neuf victimes Membres de l’équipage MP électronicien de bord Michel, Raymond, René BLANDIN, PM électronicien de bord André, Alain, Patrick CHAUMONT, SM navigateur Laurent, Michel FAUBET, Mt navigateur Daniel, Victor d’HULSTER, Mt électronicien de bord Eric, Hervé, Victor, Auguste MAUGARS, EV1 de réserve pilote Dominique, Jean MEUNIER, chef de bord, Mt mécanicien de bord Eric, Jean, Louis MONTET, SM électronicien de bord Pierre, Michel PUGI, QM1 mécanicien de bord Patrick, Henri SIMOND. PM mécanicien de bord Jacques, Marie, Franck TASSIN, PM pilote Christian, Louis, Aloïs de personnel technique au sol de la 21F QM1 mécanicien d’aéronautique Didier FORMET, MP électronicien d’aéronautique Michel, Charles, Paul PACATTE et PM électromécanicien d’aéronautique Dominique passagers S/C Umberto CIRASARO de la 13ème DBLE, PM mécanicien d’aéronautique Gilbert, Michel CROUILLES, de l’Unité Marine de DjiboutiEV2 René, François, André FOIN de l’aviso-escorteur Amiral Charner, Maj mécanicien de bord Bernard, Gabriel JOLLARD et MP pilote Jean, Pierre, Clément MAROT de l’escadrille 23S détachés sur le BCR Var.
Description Infos pratiques Y aller Votre avis Description sur Théâtre Le Bout - Spectacles jeune public Le Théâtre Le Bout, à Paris, connu pour sa programmation enfant très réussie et l'interaction avec le jeune public, propose plusieurs spectacles pour enfants. Actualités Théâtre Le Bout - Spectacles jeune public • La princesse au petit pois dans la tête, dès 3 ans L'histoire L’Ogre prépare un grand méchoui. Il a l’intention de capturer un maximum d’enfants. La princesse n’est pas très maligne, mais elle est secondée par le jeune dentiste du Royaume, prêt à se transformer en véritable chevalier pour gagner son amour. Parents et enfants sont hilares devant cette aventure interactive où peur, sentiments, chansons et fous rires sont à l’honneur. • La princesse Rose et le retour de l'Ogre, la suite de la Princesse au petit pois, dès 3 ans Un ogre revient se venger d'un princesse qui l'avait malmené autrefois. • Au secours ! Le Prince Aubert a disparu, dès 4 ans L'histoire le Prince a perdu la mémoire et agit sous les ordres d'une très vilaine sorcière. Quant à son père, ce n'est pas mieux, il est ensorcelé ! Pour sauver le Royaume de ce grand danger, la Princesse Pervenche a besoin des enfants. Aidée des spectateurs, elle va chercher les indices qui vont permettre de sauver le royaume... Cette comédie qui fait participer les enfants les amusera beaucoup, à partir de 4 ans. • Pierre et la Princesse ensorcelée, dès 4 ans L'histoire La princesse Violette règne sur le royaume de Néa et veille à dispenser joie et bonheur. Jalouse, la vieille Mordurudru lui jette un sortilège la Princesse Violette deviendra incapable d’aimer un être humain. Devenue méchante, faisant régner le malheur, la princesse cherche un antidote. Le jeune Pierre, amoureux d’elle en secret, est-il le fou du village que l’on prétend ? Avec l’aide de ses amis les enfants, pourra-t-il aider la Princesse envoûtée ? Dès 3 ans. • Toutankhamon et le Scarabée d'Or L'histoire Le grand Vizir veut devenir maître d’Egypte. Il doit voler le Scarabée d’Or du Pharaon. Par le chantage, il force le prince Toutankhamon à dérober pour lui ce fameux trésor… La jeune princesse Ankhensenamon réussira-t-elle à contrer le plan machiavélique du méchant Vizir ? Les enfants font partie intégrante de l’histoire et aident les deux jeunes amoureux à contrecarrer les projets funestes du Grand Prêtre. De très belles chansons rythment cette envoûtante aventure à travers l’histoire. Dès 5 ans. Infos Pratiques Afficher le numéro de téléphone Email contact Web Tarifs Adulte 12 € Enfant 10 € Accès métro Pigalle, bus 67 ou 72 Bon à savoir Réservation par téléphone ou dans les billetteries classiques Fnac, Virgin, kiosques, Grands magasins et billetteries internet - Paiements acceptés sur place chèques ou espèces. Dernière mise à jour 25/04/2022 Signaler une erreur Localisation Théâtre Le Bout - Spectacles jeune public Adresse 6 rue frochot 75009, Paris, Paris, Ile de France Cliquez ici pour voir l'itinéraire sur GoogleMap Donnez votre avis sur Théâtre Le Bout - Spectacles jeune public Autres idées Spectacles - Ile de France Mouchette et les papillons - A la Folie Théâtre A la Folie Théâtre présente "Mouchette et les papillons", un spectacle pour les enfants, de 2 à 7 ans. Le jour où Mouchette croise un Papillon pour la première fois, elle n'a plus qu'une seule idée en tête En devenir un ! Le chevalier du royaume des rêves - A la Folie Théâtre A la Folie Théâtre, à Paris, présente "Le chevalier du royaume des rêves", un spectacle pour les enfants de 5 à 10 ans. Chaque soir, Merlin attend avec impatience de s’endormir. Car il a un don… Celui de ne jamais faire de cauchemars et de voyager dans ses rêves. Merlin est un enfant différent et on se moque parfois de lui...
Saisons et Episodes Casting News Vidéos Critiques Streaming Diffusion TV VOD Blu-Ray, DVD Récompenses Musique Photos Secrets de tournage Séries similaires Audiences Comment regarder cette saison En SVOD / Streaming par abonnement Disney+Abonnement Voir toutes les offres de streaming Casting de la saison 5 Voir le casting complet de la saison 5 La rédac' en parle Vidéos de la saison 5 255 321 Photos de la saison 5 Voir toutes les photos de la saison 5 Critiques Spectateurs J'aime le début de la saison. James est le personnage qui a vraiment le plus évolué. Ils vivaient tranquillent pourquoi sont-ils revenus!! rooohhh!! lolSaïd est plus sombre que jamais, faut dire qu'il en a jeune est toujours aussi flippant. C'est intéressant de le voir et Jack sont insupportables! comme souvent. la saison la plus incompréhensible à mes yeux si on ne connaît pas la série. c'est aussi l'une des plus impressionantes et des plus travaillés qui soit. les voyages dans le temps de cette début de saison sont vraiment très bon et la deuxième partie, bien qu'un peu en dessous au début, laissera place à un final de qualité. les acteurs sont toujours aussi bon, le scenario prends en complexité et en hauteur. du très bon. La cinquième saison de Lost embrasse définitivement ses retors et se lie du même fait au trouble préexistant ! La complexité de cette manœuvre prend tous son poids et galvaude par instants la mise en place de son ultime acte. La mécanique se relance toutefois tant elle suscite la curiosité et éveille nos sens en alertes constants. Les détails sont à ce jeu primordiaux ! Une fois encaissé sa distorsion et son stratagème nouveau la ... Lire plus Une 5e saison étrange qui aura chamboulé complètement les relations et la perception du temps dans la série. C'est audacieux, pas toujours réussi, mais ça nous offre des épisodes merveilleux encore comme le dernier ou un autre épisode formidable de Desmond. Cinquième saison de la cultissime série " Lost " . La saison 5 démarre la ou la 4 c'était arrêter . Jack avec l'aide de Ben essaie de convaincre ses compagnons de retourner sur l'île pour sauver tout ceux qui sont rester la bas tandis que ceux qui sont rester sur l'île commence a voyager dans le temps malgré eux depuis que l'île a été déplacer . Avec cette cinquième saison on est à la croisée des chemin car elle marque un vrai ... Lire plus 15 Critiques Spectateurs Les épisodes de la saison 5 Ben convainc Jack qu'ils doivent réunir les Six survivants du vol 815 d'Oceanic Airlines pour retourner sur l'île... en emmenant le corps de Locke. L'affaire risque d'être plus difficile que prévue... Sur l'île, ceux laissés en arrière cherchent à comprendre ce qu'il se passe. Le bateau, l'hélicoptère, et même le campement ont disparu. Faraday a une explication ils ont voyagé dans le temps... Desmond se réveille avec l'intime conviction qu'il doit se rendre à Oxford... Recherché par la police, et avec un Sayid inconscient, Hurley est désemparé. Il reçoit les conseils inattendus d'une vieille connaissance... En fuite avec l'enfant, Kate ne sait où aller... jusqu'à l'appel inattendu d'une vieille amie... Penny tente de dissuader Desmond de quitter le bateau pour se rendre à Oxford. Elle craint que son père ne retrouve leurs traces. Pire, elle craint que l'homme qu'elle aime retourne sur l'île. Mais rien ne semble pouvoir arrêter Desmond... Sur l'île, les disparus tentent de comprendre ce qu'il leur arrive... L'état de santé de Charlotte inquiète les disparus. Locke tente de convaincre Sawyer qu'ils doivent retourner à l'Orchidée pour trouver un moyen de ramener ceux qui sont partis afin que tout rentre dans l'ordre sur l'île. De son côté, Kate essaie de découvrir qui veut lui prendre Aaron. Jin, qui a survécu à l'explosion du bateau, rencontre un groupe de naufragés français. Il ne va pas tarder à découvrir qu'une série de flashs le transportent d'une époque à une autre. Locke met le cap vers l'orchidée pour retrouver les autres disparus et ainsi rétablir l'équilibre. Charlotte, très affectée par ces sauts dans le temps, voit des souvenirs remonter à la surface... Quant à Ben, il tente de concainvre Sun que Jin est toujours en vie... Ben présente Jack et Sun à la femme qui les aidera à retourner sur l'île. Elle leur explique qu'ils n'ont que 36 heures devant eux pour saisir l'occasion de repartir. Après cela, la porte se refermera. Et ils doivent autant que possible recréer les conditions de leur départ de l'île en rassemblant les Oceanic Six... mais aussi Desmond et Locke. Selon elle, leur ticket est le vol 316 de la compagnie Ajira Airways à destination de l'île de Guam, dans le Pacifique... Les rescapés du vol 316 d'Ajira Airways ont échoué sur une île perdue. Ils découvrent la présence d'un homme chauve en costume, qui ne se souvient pas comment il a atterri là. Une chose est sûre, aucun des passagers ne l'a vu dans l'avion... Locke disparu au fond du puit semble avoir être parvenu à cesser les sauts dans le temps. Reste à Sawyer, Juliet, Jin, Miles et Daniel à découvrir à quelle époque ils sont bloqués. Ils ne tardent pas à le découvrir en rencontrant des membres de l'initiative Dharma... Contrairement aux autres passagers du vol 316 d'Ajira Airways, Jack, Kate et Hurley ont atterri sur l'île 30 ans plus tôt. Ils y retrouvent Sawyer et Jin qui ont intégré l'Initiative Dharma. Sawyer leur demande de rester cacher en attendant de trouver un moyen d'expliquer leur présence aux autres habitants de l'île... L'équipe de l'Initiative Dharma tente de faire parler l'hostile pour savoir quelles étaient ses intentions. Le sort de Sayid se profile plutôt mal. Sawyer tente de lui venir en aide et lui offre une porte de sortie... Le camp est en ébulition depuis que l'hostile s'est évadé, et la vie du jeune Ben est en danger. Kate et Jack s'interrogent... Doivent-ils intervenir pour sauver la vie d'un jeune garçon ? Ou laisser mourir un redoutable adversaire ? Le temps du jugement dernier est arrivé pour Ben. Il demande de l'aide à Locke. En effet, pour expier ses péchés du passé, il doit invoquer le Monstre de Fumée noire... Les soupçons à propos d'une éventuelle brèche dans les systèmes de sécurité s'intensifient après que Ben se soit enfuit de l'infirmerie. Miles, peu enthousiaste, est contraint de travailler avec Hurley lorsqu'on lui demande de délivrer un important colis à un haut responsable de la Dharma. De retour sur l'île, Daniel Faraday veut empêcher le drame qui se prépare. Mais le Dr Chang refuse de le prendre au sérieux. Kate et Sawyer ayant été démasqués, ils ne peuvent plus rester au sein de l'Initiative Dharma. Tous se réunissent pour décider quoi faire quitter l'île en sous-marin ou rejoindre les Autres, les hostiles dans la jungle ? Jack et Kate ne sont pas d'accord sur la direction à prendre pour sauver leurs compagnons. De son côté, Locke affirme son statut de leader des Autres. Sawyer et Juliet sont démasqués par la Dharma Initiative. Alpert, Ben, Sun et les Autres» suivent Locke en direction du repaire de Jacob. En 1977, Kate convainc Juliet et Sawyer de l'aider à stopper Jack. Tout trois quittent le sous-marin et rejoignent l'île. Jack et Sayid sont en route pour le Cygne» avec, dans leur sac, le coeur de la bombe H. Ils sont secourus par Miles, Hurley et Jin après qu'ils ont déclenché une fusillade dans le village Dharma. L'incident est maintenant imminent, il reste peu de temps pour atteindre le Cygne». Mais soudain, Kate, Juliet et Sawyer leur barrent la route Après avoir tenté de stopper Jack, Juliet, Kate et Sawyer finissent par accepter de l'aider à faire exploser la bombe H et rayer ainsi les trois dernières années de leurs vies. Locke et Ben finissent par rencontrer Jacob dans son refuge. Au même moment, Ilana et les siens arrivent sur la plage pour montrer à Alpert leur inquiétant chargement La réaction des fans
26 janvier 1954 – Au cours d’un vol de liaison entre le Cannet-des-Maures et Fréjus, un Dassault MD 312 de l’escadrille de la BAN de Fréjus – Saint-Raphaël n° 299 – percute le sommet de la colline Saint-Martin dans le massif des Maures et s’écrase au lieu-dit Les Lauques, dans la commune de Sainte-Maxime Var. Les six occupants de l’appareil, le SM2 pilote Albert CHANVIN, l’ouvrier d’état expérimentateur Aimé, Alexandre CLÉMENT, le Mot2 mécanicien d’aéronautique Roger, Louis, François FALCOU, le Mt pilote Bernard, François, René, Marie MADELIN, l’EV1 navigateur Aloys RABAIN et le QM2 mécanicien volant René, Maurice, Esprit TOSELLO, sont tués sur le coup 22 août 1941 – Un Martin 167-A3 n° 141 – de l’escadrille 5BR avait décollé de Dakar pour une mission de reconnaissance au-dessus de Freetown Sierra Leone, alors colonie britannique. Intercepté par la chasse, le bimoteur est abattu en flammes et ses quatre occupants sont tués. L’équipage était composé du SM2 mécanicien volant Jean-Marie CARPIER, de l’IM1 volant Louis, Joseph KOCH, observateur, du LV pilote Charles, Louis, Paul MORANGE, commandant l’escadrille et du QM2 radio volant René, Arthur RABATHALY. 26 avril 1944 – Quelques minutes après son décollage du plan d’eau de Dakar-Bel-Air, pour une mission de nuit d’escorte de convoi et alors qu’il vient de survoler l’île de Gorée, un Short Sunderland III s/n DV985 – I de la flottille 7FE, est victime d’une explosion interne et s’écrase en flamme. Le lendemain, seuls trois corps seront retrouvés parmi les débris flottants à la surface. L’équipage était composé de l’EV1 de réserve observateur George BONDON, chef de bord, l’EV1 de réserve Paul, Edouard, Etienne BOUVEYRON, observateur, le QM1 mécanicien volant Germain, René, Clément COSSET, le Mt mécanicien volant Théodore, Pierre, Armand GABOU, le SM2 pilote Gabriel, Bernard, Joseph, Léopold GIMAT, le QM2 radio volant René, Charles, Joseph GUILLOU, le QM mitrailleur bombardier Louis, Alexandre, Yves, Marie LE CORFEC, le SM mécanicien volant René, Marcel LE HENRY, le SM2 pilote Louis, Georges, Honoré LEROY, le Mot2 mitrailleur bombardier Roger, Sylvestre MARTIN, le Mt radio volant François, Marie OFFRET, le QM2 radio volant Gaston, Paul, Ernest PARA et le QM2 radio volant Maurice, Marcel RABIER. 20 mai 1931 – L’escadrille 7B1 du porte-avions Béarn a été débarquée de son bâtiment à Casablanca pour effectuer un vol autour du Maroc. Dans la région de Kasbah-Tadla, un de ses Levasseur PL 7 se brise littéralement en vol, ne laissant aucune chance de survie à ses quatre occupants. L’équipage était composé du QM mitrailleur bombardier Arsène, Marie GUILLOU, du QM radio volant Louis, Charles JOLIDON du QM mécanicien volant René, Marius, Auguste du SM mécanicien pilote Jean, Yves, Marie RIOU. 12 septembre 1957 – Un SNCAN 1101 de l’escadrille n° 38 – décolle du terrain de Querqueville Manche à destination de la base des Mureaux. Immédiatement après le décollage, le moteur perd de la puissance et l’appareil s’abat dans la rade. Ses deux occupants sont tout d’abord portés disparus mais le corps du SM2 mécanicien volant André, Gabriel, René RADDE est retrouvé le 26 septembre et celui du CV Jacques, Henri, Louis DELORT est retrouvé le 5 octobre. 31 août 1967 – Parti de la base de la RAF de Kinloss en Ecosse, un Atlantic n° 39 de la flottille 22F participait à un exercice en mer au large du Groenland. A la suite d’ennuis techniques, le chef de bord décide de regagner son terrain de départ. Gêné par la brume, il percute un sommet sur l’île du Prins Karl, dans l’archipel du Spitzberg Norvège. Les débris de l’appareil sont retrouvés le 2 septembre par un hélicoptère soviétique et, parmi eux, les corps des onze membres de l’équipage qui était composé de l’OE2 navigateur aérien Maurice, Urbain CORDIER, coordonnateur tactique, du PM mécanicien volant André, Jean CROUX, du Mt navigateur aérien André DAMY, du Mt électronicien de bord Claude, Alain, Joseph GUICHARD, du PM pilote Jean, Pierre, Hughes, Edouard HAESSLEIN, du Mt navigateur aérien Albert, Henri LAPORTE, des Mt électroniciens de bord Jean-Paul LE VIAVANT et Jacques, Léon, François MORIN, de l’OE1 pilote Claude, Auguste RAGUIN, chef de bord, du Mt électronicien de bord François, Louis REUNGOAT et du SM mécanicien volant Michel, Valentin, Pierre, Marie STÉPHANO. 22 juillet 1949 – A l’occasion du séjour au Maroc du croiseur-école Jeanne d’Arc, divers exercices sont organisés au profit des officiers élèves présents à bord, dont une sortie en vol sur trois PBY-5 Catalina de l’escadrille alors stationnée à Agadir. Quelque temps après le décollage des trois appareils, tout contact est perdu avec l’un d’entre eux BuAer 46564 – Les recherches menées par les autres Catalina, aidés par le sous-marin Astrée, ne permettent de trouver aucune trace de l’appareil et des ses passagers. L’équipage du Catalina était composé du SM2 radio volant Robert, Joseph BRETON, du Mt mitrailleur bombardier Jean FÈVRE, du SM2 mécanicien volant Rolland, Moïse GROSMAITRE, du Mt pilote René HUIBAN, des SM2 mécaniciens volants Gabriel, Jean LE BOT et Louis, François MOY, du SM2 radio volant Jean, Marcel RAIGNE, de l’EV1 de réserve pilote Michel, Raymond, Louis ROUVIÈRE, chef de bord et du Mt pilote Pierre, Jean, Louis TOUZET. Les officiers-élèves passagers étaient les EV2 Daniel AUBRON, Louis, Bernard, Marie AUDIC, Jean, Louis, Marie, Michel COUËTOUX, Louis, Julien DAUTRY, Claude JAFFRÈS, André, Albert ROBERT, Gonzague, Pierre, Marie, Bernard GALOUZEAU de VILLEPIN et l’IGM3 Michel, Henri, André NOÉ. 24 novembre 1943 – Au cours d’un vol d’entraînement au grenadage à basse altitude, près de l’île de Gorée devant Dakar, un Vickers Wellington IX s/n MP691 – 22 de l’escadrille 5B 2ème flottille, touche la mer d’une aile. Au choc, l’appareil se casse en deux parties qui coulent immédiatement, entraînant avec elles le Mt pilote Hervé GOUZIEN et le SM1 mécanicien volant Ernest, Jean, Emmanuel RAOUL dont les corps ne seront pas retrouvés. Trois survivants, blessés, sont sauvés par des indigènes arrivés en pirogues. 14 août 1929 – A l’issue d’un vol d’entraînement, un Latham 43 n° 25 – de l’escadrille 3E1, capote en amerrissant sur l’étang de Berre. Pris sous la coque retournée, ses trois hommes d’équipage, le Mt mécanicien volant Marcel, André, Adolphe, Yvon PERRIN, le QM mécanicien d’aéronautique Jean, François RAOUL et le SM mécanicien pilote Alexandre RODIER, périssent noyés. 10 mai 1948 – Au cours d’un vol de liaison entre Cuers et Toussus-le-Noble, alors qu’il survole le Rhône à basse altitude, un SNCAN 1000 n° 612 du SAMAN heurte le câble d’un bac à La Coucourde Drôme et s’abat dans le fleuve. Les corps de ses trois occupants, le SM2 mécanicien volant Henri, Pierre FERLICOT, le Mt pilote Albert, François, Marie RAOULT et le QM2 mécanicien d’aéronautique Fernand, Marcel, Henri SEIGNEUR, seront retrouvés quelques jours plus tard en divers points en aval du fleuve. 6 février 1947 – Pendant un vol de fonctionnement après révision, un Morane Saulnier MS 500 de l’escadrille perd une aile en vol et s’écrase au lieu-dit Pen ar Ménez, dans la commune de Locmaria-Plouzané Finistère. Ses deux occupants, le SM2 mécanicien volant Jean, Yves RAOULT et le PM pilote André, Jean VITALI, sont tués sur le coup. 23 août 1944 – Un Vickers Wellington XIII s/n HZ588 – N de l’escadrille 5B de la 2ème flottille de bombardement avait décollé de sa base de Dakar-Ouakam pour une mission d’escorte de convoi. A partir de 20 h 30, plus aucun contact ne peut être établi avec l’appareil. Les recherches lancées le lendemain et les jours suivant ne révèlent aucun indice. L’appareil et son équipage de sept hommes, composé du QM1 mécanicien volant Aimé, Marcel BASTIEN, de l’EV1 de réserve observateur René, Jules, Vital CUNIN, commandant d’aéronef, de l’Asp de réserve observateur Pierre, Edouard, Claude MARTIN, du QM2 radio volant Robert, Georges, Augustin MOIZANT, de l’OE2 pilote Roger PRAT, du Mt radio volant Louis, Marcel RAPP et du SM pilote Guy, Louis, Marie RICHAUDEAU, sont portés disparus. 11 avril 1934 – Au cours d’un décollage en section du lac de Bizerte, un CAMS 37A n° 82 – de l’escadrille 4S1 heurte une balise et capote. Son pilote et chef de bord, le LV Paul, Armand, Marie, Henri de RASCAS de CHÂTEAUREDON est tué sur le coup dans l’accident. Les deux autres membres de l’équipage, blessés, sont recueillis par des embarcations. 24 janvier 1938 – Au cours d’un vol de prise en mains pour des pilotes nouvellement affectés et alors qu’il survole l’étang de Berre, l’hélice d’un Latécoère 290 n° 7 de l’escadrille 4T1 se détache et va sectionner les mâts soutenant la voilure. Une aile se replie, l’hydravion se met en vrille et percute l’eau. Les quatre hommes qui constituaient l’équipage, les SM pilotes Alexandre, François, Henri AUBERT, Emiland LOCTIN et Jean POITIER et le Mt mécanicien d’aéronautique André, Pierre RAT, sont tués sur le coup. 22 août 1966 – Un Sud Aviation 321G Super Frelon n° 103 effectuait un vol de convoyage de Marignane à Fréjus – Saint-Raphaël avec un équipage mixte de l’escadrille 20S et de l’ERC. A la hauteur de la commune de Pourrières Var, il est victime de la rupture d’un manchon d’une pale du rotor principal et, incontrôlable, il s’écrase au lieu-dit La Neuve. Les huit occupants de l’appareil périssent dans l’accident. L’équipage se composait du LV pilote Georges, Marcel, Marie BLONDEAU, du PM mécanicien de bord Paul, Marcel BROUDIN, de l’OPE mécanicien volant Aimé, René DUROUGE, du Mt électronicien de bord André, Auguste, Marie GUAQUÈRE, du PM mécanicien de bord Yves, Louis LE SERREC, du MP mécanicien de bord Maurice, Gérard LUBAIN, du CC pilote Bernard, Edmond NIOGRET, détaché du SC. Aéro, commandant d’aéronef et du PM électronicien de bord Michel, Jacques RAULT. 11 février 1941 – Au cours d’un exercice de vol en formation en section au large du cap Sicié, deux Latécoère 298 de l’escadrille 3T basée à Berre entrent en collision. Les trois occupants de l’appareil n° 71 le SM mécanicien volant Paul, Joseph, Marie DUCLOS, l’EV1 pilote Georges, Emile, René RAVEUX, chef de section et le QM radio volant André, Léon TARDIVAT, s’abattent en mer avec leur appareil et disparaissent avec lui. Dans l’appareil n° 77 le Mot2 radio volant Michel, Emile, Rémy DÉJARDIN et le SM pilote Jean, Roger, Georges ROUSSEAU, subissent le même sort que leurs camarades mais, le troisième homme d’équipage, le SM mécanicien volant Tanguy, parvient in extremis à sauter en parachute et est récupéré par une embarcation de pêcheurs. 23 juillet 1992 – Alors qu’il décolle du terrain de Salon-de-Provence, un Fouga Magister n° 515 de l’Ecole de l’Air percute en bout de piste et explose. Son seul occupant, l’EV1 élève pilote Amoudane RAVI, est tué sur le coup. 10 mars 1927 – Au cours d’une ascension d’entraînement, un ballon captif du CAM de Rochefort est atteint par la foudre et incendié. L’un des passagers saute en parachute et se pose indemne. L’autre, l’EV1 élève pilote de dirigeable Jean, Gabriel, Louis, Marie RÉCAMIER, déjà atteint de graves brûlures, subit d’autres blessures dans la chute au sol de la nacelle. Transporté à l’hôpital maritime de Rochefort, il y décède le 12. 20 décembre 1941 – Une formation de Bristol Blenheim IV du GB Lorraine des FAFL qui effectue une mission de bombardement près de Benghazi Libye est attaquée par des chasseurs allemands. L’un des appareils est immédiatement abattu près de Barce, provoquant la mort de son équipage composé du S/C pilote Jean, Jules, Marie REDOR ex SM2 pilote, évadé de Tripoli du Liban le 18 février 1941, du Lt observateur Maurice JACQUELOT de BOISROUVRAY et du S/C mitrailleur Jean PERBOST. 1er mai 1917 – Lors d’une ascension pour un réglage de tirs d’artillerie, l’EV1 auxiliaire, observateur de captif Georges, Emile, Marie RÉGNARD, en service à la 31ème Compagnie d’aérostiers de l’armée de Terre, est attaqué par des chasseurs ennemis et est tué dans sa nacelle près de Longueval-Barbonval Aisne. 6 octobre 1918 – L’aile d’un Donnet-Denhaut 200ch n° 1486 du CAM d’Alger se replie alors qu’il vient de décoller pour un vol de surveillance. L’appareil s’abat dans la rade et se retourne. Les embarcations de secours rapidement arrivées sur les lieux de l’accident, recueillent l’observateur indemne mais le corps du second membre de l’équipage, le SM timonier pilote François, Marie RÉGUER, n’est pas retrouvé. 20 janvier 1945 – Décollant de l’aérodrome de Nice pour une mission de surveillance anti sous-marine, un amphibie Supermarine Walrus I s/n X9532 – R14 de l’escadrille 4S est victime d’une perte de puissance et est contraint à un amerrissage forcé. Le train d’atterrissage n’a pas eu le temps d’être relevé et l’appareil capote. Les deux opérateurs radio parviennent à se dégager mais le PM pilote Marie, Auguste, Joseph REICHARD et le LV observateur Ernest, Fabien SOURDON, chef de bord, demeurent prisonniers de l’habitacle et meurent noyés. 12 mai 1916 – Parti de Fréjus à destination de Bizerte, le dirigeable CMT est victime d’un incendie et s’abat alors qu’il est en vue des côtes de Sardaigne. Les cinq hommes composant l’équipage périssent dans l’accident. Cet équipage mixte était composé de l’Adjt pilote de dirigeable Camille, Albert BRICE, du Cne pilote de dirigeable René, Jean, Henri CAUSSIN, du Mot2 électricien radio de dirigeable Maurice, Louis, Nicolas PROUTEAU, de l’Adjt mécanicien de dirigeable Abel, Adrien, Edmond RÉMIA et du LV élève pilote de dirigeable Antoine, Louis, Marie BARTHÉLEMY de SAIZIEU. Brice, Caussin et Rémia appartenaient à l’Aérostation militaire. 12 avril 1935 – Un Farman 166 Goliath de l’EPV du CEAM d’Hourtin s’abat au lieu-dit Lassalle, dans la commune de Lesparre Gironde. Trois des membres de son équipage, le SM arrimeur pilote Joseph, Henri PONZEVERA, le QM mécanicien volant Maurice, Albert, Louis, Pierre RENAC et le Mot arrimeur pilote Luc, Lucien REYDY, périssent dans la chute de leur appareil. Un quatrième occupant est gravement blessé. 22 octobre 1957 – Au retour d’une mission d’entraînement au vol de nuit et en finale pour à atterrir à Oran-La Sénia, un Lockheed P2V-6 Neptune de la flottille BuAer 126539 – perd brutalement de l’altitude, percute le lac salé de la Sebkra, dans la commune de Valmy, et se désintègre complètement. Les huit hommes composant l’équipage, le SM2 pilote Pierre, Serge, Auguste, Jacques COURTEILLE, le Mt électronicien de bord Francis HOQUET, le Mt radio volant Roger, Joseph LE CLECH, le Mt mécanicien volant Alain LE PARC, le LV pilote Jacques, Paul, Max PIVET, commandant d’aéronef, le Mt radariste volant Marcel, Maurice, Gustave RENARD, le Mt armurier de bord Henri, Joachim, Marie ROGER et le SM2 navigateur aérien Pierre VIGER, sont tués sur le coup. 8 janvier 1929 – Un équipage de l’escadrille de la CEPA effectue un dernier vol d’essai de l’hydravion prototype SPCA Paulhan-Pillard n° 01. Alors qu’il survole de Lion de Mer dans la baie de Saint-Raphaël, l’appareil pique brusquement du nez, percute la surface de l’eau et s’engloutit. Les cinq membres de l’équipage, le LV pilote Roger, Louis, Marie, Robert CAMPARDON, chef de bord, le QM mécanicien volant Marcel, Emile, Julien, Ernest FOUCRAY, le Mt mécanicien volant Lucien, Louis GRESSIN, le QM mitrailleur bombardier Jean-Baptiste, Louis RENAUD et le LV observateur Joseph, Marie, Louis, Vincent REQUIN, disparaissent dans la chute de leur appareil. Un seul corps, celui du LV Requin, sera retrouvé. 1er et 2 décembre 1923 – Un Latham trimoteur n° 4 – de l’escadrille H103 du CAM de Cherbourg et monté par un équipage de huit hommes est contraint, à la suite d’une panne d’un de ses moteurs, à amerrir en mer, à 15 miles au sud de la côte anglaise 50° 30’ N et 14° W. En voulant passer à l’arrière de la coque, le LV pilote Raymond, Edmond DAUVIN, est heurté par l’hélice du moteur central qui tournait encore et tué sur le coup. Ses camarades arriment son corps aux mats de la cabane pour éviter qu’il ne soit emporté par les vagues. L’hydravion en perdition est rejoint le 2, vers 1 h du matin, par l’aviso Ailette dépêché à sa recherche. Au cours de la manœuvre, l’appareil est heurté à plusieurs reprises par le bâtiment gêné par la grosse mer et chavire. Il coule rapidement, entraînant avec lui trois autres hommes, le Mt canonnier mitrailleur bombardier Théophile, François, Marie BANTAS, le PM mécanicien pilote Auguste, Léon DUNAUD et le LV pilote Louis, Marius RENAUD. Les quatre autres membres de l’équipage, le LV Protche, le PM Péladan, les SM Birhard et Nevé seront repêchés par l’Ailette. 21 mars 1940 – Un Latécoère 298 n° 11 – de l’escadrille T1 décolle du port de Boulogne-sur-Mer. Lourdement chargé, l’appareil ne parvient pas à déjauger et s’écrase sur la digue sud, provoquant l’explosion immédiate de son chargement de bombes. Les trois membres de l’équipage le LV pilote Emile, Robert DESMONS, officier en second de l’escadrille T1, le QM radio volant Paul, Alphonse, Gabriel RENAUD et le SM mécanicien volant Charles, Joseph WERLÉ, disparaissent dans l’accident. 10 mars 1981 – Quelques instants après avoir décollé de l’aérodrome de Hahaya à Moroni dans l’archipel des Comores, un Atlantic n° 29 de la flottille 23F est victime d’un incendie de moteur. Hors de contrôle, il s’écrase près de la localité de M’Boudé, tuant ses dix-huit occupants. En plus de son équipage normal, l’appareil transportait une équipe technique d’entretien. L’équipage était composé du Mt électronicien de bord Patrick, Elie, Etienne BAUDOIN, de l’EV1 pilote Jean-Yves, Georges CISTAC, du PM électronicien de bord Alain, Henri, Jean-Baptiste DEMAISON, du Mt électronicien de bord Dominique, Jean, Etienne FAURE, du PM électronicien de bord Serge, Lucien LAPP, de l’EV1 navigateur aérien et coordonnateur tactique Olivier, Marie, Gérard, Henri de LASSUS SAINT-GENIÈS, du Mt électronicien de bord Dominique, Bernard, Marie MOISDON, du Mt navigateur Jean-Claude, Joseph MONTFORT, du LV pilote Philippe, René, Pierre MOUGENOT, commandant d’aéronef, du MP mécanicien de bord Eugène, Jean, Yves NORMANT, du Mt navigateur Eric, Claude, Daniel PÉRAUDEAU, du Mt mécanicien de bord Michel, Louis, Jacques RÉNIER, du SM2 électronicien de bord Patrick, Louis, Adrien, Henri ROUSSEAU et du SM2 radio de bord François-Xavier WINTERHALTER. L’équipe technique se composait du SM électromécanicien d’aéronautique Jean-Louis AUDREN, du PM mécanicien d’aéronautique Yves HENNEQUART, du QM1 électronicien d’aéronautique Bertrand, Pierre LION et du QM1 électronicien d’équipement Eric LOURENÇO. 21 décembre 1923. C’est cette nuit là que se produit la plus grave catastrophe de l’aéronautique militaire de notre pays. Le 18 décembre 1923, le dirigeable Dixmude, ex Zeppelin L-72 qui avait été remis à la France par l’Allemagne au titre des dommages de guerre, quitte sa base de Cuers-Pierrefeu pour un raid d’essai sans escale au-dessus du Sahara avec cinquante personnes à son bord. Il atteint In-Salah dans les délais prévus et entame son voyage de retour. Son dernier message le positionne au-dessus de la Tunisie et il n’y en aura pas d’autres. Vers 2 h 30 du matin, alors que le dirigeable passe au large de la Sicile, des pêcheurs aperçoivent dans le ciel les lueurs d’un vif incendie. Probablement frappé par la foudre qui a enflammé ses ballonnets d’hydrogène, le Dixmude et tout son équipage s’abîment en mer à quelques milles au large du petit port de Sciacca. Les recherches lancées par la Marine italienne et par des bâtiments français venus de Bizerte ne permettent pas de retrouver de survivants, ni même de corps. Ce n’est que le 26 qu’un pêcheur remonte dans ses filets le corps du commandant, le LV du Plessis de Grenédan. Un autre corps, celui du QM Guillaume sera retrouvé ultérieurement. Cette catastrophe a fait cinquante victimes – 40 membres de l’équipage Les Mot2 mécaniciens d’aéronautique Pierre, Casimir, Baptiste ALBAGNAC et Georges, Louis BAILLOUX, le SM mécanicien d’aéronautique Ange, Jean, Louis BOULLEAU, les Mot2 mécaniciens d’aéronautique Roger, Marius BOYER et Victorin, Louis BRUNIAS, le Mot arrimeur Maurice, Jules, Baptiste, Pierre CHARPENTIER, le SM mécanicien d’aéronautique Georges, Victor, Auguste CLAVEL, le QM arrimeur volant André CLOSVIROLA, le SM2 pilote de direction Joseph, Louis, Marie COLLET, le SM mécanicien volant Noël, Marie COROUGE, le QM mécanicien volant Marcel, Alexandre COUVÉ, le LV pilote de dirigeable Jean, Joseph, Anne, Marie, Julien du PLESSIS de GRENÉDAN, commandant, le Mot mécanicien d’aéronautique Raymond, Louis DUBOIS, les QM mécaniciens volants Jean, Constant FELON, Charles, Georges FOUCHET et Louis GALLET, le Mt mécanicien volant Charles, Jean GASPAILLARD, le QM radio volant Marie, Antoine, Emile GUILLAUME, le SM arrimeur Joseph GUILLEMOT, le Mt de manœuvre pilote de direction René, Félix, Marie HAMON, le Mot2 mécanicien d’aéronautique Louis, Jean IMBERT, le QM radio volant Pierre, Jean-Marie JAFFREZIC, le SM mécanicien volant François, Clément JAN, les QM arrimeurs Charles, Marcel KUBLER et Saint-Amand, Charles, Adolphe La FORGE, le SM mécanicien volant Jean, François, Aimé, Eugène LIZÉE, le QM mécanicien volant François, Auguste, Joseph, Mathurin MAINGUY, le LV pilote de dirigeable Sylvestre, Antoine MARCAGGI, le PM mécanicien volant René, Henri MOMBERT, le QM mécanicien volant Kléber, Eugène, Marie, Albert NAL, le SM radio volant Adrien, Jean-Baptiste PAUC, le QM mécanicien volant Charles, Joseph, René, Louis QUÉMERAIS, les QM arrimeurs volants Jean RICHARD et Géraud, François, Marie ROCHER, le Mot mécanicien volant Jean, Eugène, Edouard ROUDEN, le LV pilote de dirigeable Adrien, Aimé, Victor ROUSTAN, commandant en second, le Mot arrimeur Charles, Paul SÉDILLOT, le SM arrimeur volant Louis, Marie TARTIVEL et le QM mécanicien volant Jean, Léopold VINCENOT.– 10 passagers le CC Victor, Louis BERRETTA, les LV pilotes de dirigeable Pierre BOURDIER et Maurice, Gabriel CONVENTS, le CF pilote de dirigeable Georges, Léon, François, Jules HENNIQUE, commandant le CAM de Cuers-Pierrefeu, le LV pilote de dirigeable Serge, François, Roger GOISLARD de La DROITIÈRE, le CC pilote Henri, Jules LEFRANC, le LV observateur Georges, Etienne LEVESQUE, le Med1 Léopold, Henri PÉLISSIER, le CC pilote de dirigeable Georges, Paul RENON, le LV pilote de dirigeable Henri, Marcel, Aurélien ROUSTAN et, enfin, le CV Pierre, Edouard, Marie YVON, adjoint au Chef du Service central de l’Aéronautique. 21 novembre 1945 – Effectuant son premier vol de nuit en solo sur avion d’armes, l’Asp de réserve élève pilote Robert, Henri, Marc RENUCCI, est mortellement blessé dans un accident. Pour une raison inconnue, immédiatement après avoir décollé du terrain annexe de Cecil Field, son SB2C-4 Helldiver BuAer 20500 de la NAS de Jacksonville, Floride, ne peut pas prendre d’altitude et percute une rangée d’arbres bordant l’aérodrome. 11 mars 1964 – Au cours d’un vol d’entraînement à la navigation de nuit, un Alizé n° 29 de la flottille 6F, percute une colline au lieu-dit Les Couffines, dans la commune de Collias Gard. Ses trois hommes d’équipage, l’Asp de réserve navigateur Bertrand, Marie PILLIARD l’ EV1 pilote François, Marie, Henri RENVOISÉ et le Mt radio de bord Jacques, Hippolyte, François SALAÜN, sont tués sur le coup. 8 janvier 1929 – Un équipage de l’escadrille de la CEPA effectue un dernier vol d’essai de l’hydravion prototype SPCA Paulhan-Pillard n° 01. Alors qu’il survole de Lion de Mer dans la baie de Saint-Raphaël, l’appareil pique brusquement du nez, percute la surface de l’eau et s’engloutit. Les cinq membres de l’équipage, le LV pilote Roger, Louis, Marie, Robert CAMPARDON, chef de bord, le QM mécanicien volant Marcel, Emile, Julien, Ernest FOUCRAY, le Mt mécanicien volant Lucien, Louis GRESSIN, le QM mitrailleur bombardier Jean-Baptiste, Louis RENAUD et le LV observateur Joseph, Marie, Louis, Vincent REQUIN, disparaissent dans la chute de leur appareil. Un seul corps, celui du LV Requin, sera retrouvé. 14 mars 1927 – Au cours d’un vol d’entraînement, un hydravion CAMS 46 codé H 21 de l’école de pilotage du CEAM d’Hourtin, se met en vrille et s’abat dans l’étang. Ses deux occupants, le Mot clairon élève pilote René, Emile MERCK et le LV pilote Louis, Ernest, Jules REULLIER, sont tués sur le coup. 31 août 1967 – Parti de la base de la RAF de Kinloss en Ecosse, un Atlantic n° 39 de la flottille 22F participait à un exercice en mer au large du Groenland. A la suite d’ennuis techniques, le chef de bord décide de regagner son terrain de départ. Gêné par la brume, il percute un sommet sur l’île du Prins Karl, dans l’archipel du Spitzberg Norvège. Les débris de l’appareil sont retrouvés le 2 septembre par un hélicoptère soviétique et, parmi eux, les corps des onze membres de l’équipage qui était composé de l’OE2 navigateur aérien Maurice, Urbain CORDIER, coordonnateur tactique, du PM mécanicien volant André, Jean CROUX, du Mt navigateur aérien André DAMY, du Mt électronicien de bord Claude, Alain, Joseph GUICHARD, du PM pilote Jean, Pierre, Hughes, Edouard HAESSLEIN, du Mt navigateur aérien Albert, Henri LAPORTE, des Mt électroniciens de bord Jean-Paul LE VIAVANT et Jacques, Léon, François MORIN, de l’OE1 pilote Claude, Auguste RAGUIN, chef de bord, du Mt électronicien de bord François, Louis REUNGOAT et du SM mécanicien volant Michel, Valentin, Pierre, Marie STÉPHANO. 10 novembre 1943 – Un Caudron Simoun n° 364 de la BAN de Thiersville, pris par le mauvais temps au cours d’une liaison entre Alger et Bizerte, s’abat dans la région d’Aïn Souda, à environ 30 kilomètres à l’ouest de Souk Ahras Algérie. Quatre de ses occupants, le CF pilote Antoine, Henri, Jean de GAIL, l’OPE pilote Pierre REUNGOAT, le QM mécanicien volant Marcel, Jean-Baptiste, Ange TANGUY et le Lt/Col GOUNOUILHOU de l’armée de Terre, sont tués sur le coup ou décèdent pendant leur évacuation vers l’hôpital de Souk Ahras. Un cinquième est gravement blessé mais survivra. 12 avril 1935 – Un Farman 166 Goliath de l’EPV du CEAM d’Hourtin s’abat au lieu-dit Lassalle, dans la commune de Lesparre Gironde. Trois des membres de son équipage, le SM arrimeur pilote Joseph, Henri PONZEVERA, le QM mécanicien volant Maurice, Albert, Louis, Pierre RENAC et le Mot arrimeur pilote Luc, Lucien REYDY, périssent dans la chute de leur appareil. Un quatrième occupant est gravement blessé. 31 janvier 1967 – Un Fouga Magister n° 386 – QN de l’école de pilotage de l’armée de l’Air de Cognac GE 315, s’écrase sur le territoire de la commune d’Ardillières Charente-Maritime. Son pilote, le Mot2 élève Alain, Louis, Yves RIALLAND, est mortellement blessé dans la chute de l’appareil. 21 décembre 1923 – C’est cette nuit là que se produit la plus grave catastrophe de l’aéronautique militaire de notre pays. Le 18 décembre 1923, le dirigeable Dixmude, ex Zeppelin L-72 qui avait été remis à la France par l’Allemagne au titre des dommages de guerre, quitte sa base de Cuers-Pierrefeu pour un raid d’essai sans escale au-dessus du Sahara avec cinquante personnes à son bord. Il atteint In-Salah dans les délais prévus et entame son voyage de retour. Son dernier message le positionne au-dessus de la Tunisie et il n’y en aura pas d’autres. Vers 2 h 30 du matin, alors que le dirigeable passe au large de la Sicile, des pêcheurs aperçoivent dans le ciel les lueurs d’un vif incendie. Probablement frappé par la foudre qui a enflammé ses ballonnets d’hydrogène, le Dixmude et tout son équipage s’abîment en mer à quelques miles au large du petit port de Sciacca. Les recherches lancées par la Marine italienne et par des bâtiments français venus de Bizerte ne permettent pas de retrouver de survivants, ni même de corps. Ce n’est que le 26 qu’un pêcheur remonte dans ses filets le corps du commandant, le LV du Plessis de Grenédan. Un autre corps, celui du QM Guillaume sera retrouvé ultérieurement. Cette catastrophe a fait cinquante victimes – 40 membres de l’équipage Les Mot2 mécaniciens d’aéronautique Pierre, Casimir, Baptiste ALBAGNAC et Georges, Louis BAILLOUX, le SM mécanicien d’aéronautique Ange, Jean, Louis BOULLEAU, les Mot2 mécaniciens d’aéronautique Roger, Marius BOYER et Victorin, Louis BRUNIAS, le Mot arrimeur Maurice, Jules, Baptiste, Pierre CHARPENTIER, le SM mécanicien d’aéronautique Georges, Victor, Auguste CLAVEL, le QM arrimeur volant André CLOSVIROLA, le SM2 pilote de direction Joseph, Louis, Marie COLLET, le SM mécanicien volant Noël, Marie COROUGE, le QM mécanicien volant Marcel, Alexandre COUVÉ, le LV pilote de dirigeable Jean, Joseph, Anne, Marie, Julien du PLESSIS de GRENÉDAN, commandant, le Mot mécanicien d’aéronautique Raymond, Louis DUBOIS, les QM mécaniciens volants Jean, Constant FELON, Charles, Georges FOUCHET et Louis GALLET, le Mt mécanicien volant Charles, Jean GASPAILLARD, le QM radio volant Marie, Antoine, Emile GUILLAUME, le SM arrimeur Joseph GUILLEMOT, le Mt de manœuvre pilote de direction René, Félix, Marie HAMON, le Mot2 mécanicien d’aéronautique Louis, Jean IMBERT, le QM radio volant Pierre, Jean-Marie JAFFREZIC, le SM mécanicien volant François, Clément JAN, les QM arrimeurs Charles, Marcel KUBLER et Saint-Amand, Charles, Adolphe La FORGE, le SM mécanicien volant Jean, François, Aimé, Eugène LIZÉE, le QM mécanicien volant François, Auguste, Joseph, Mathurin MAINGUY, le LV pilote de dirigeable Sylvestre, Antoine MARCAGGI, le PM mécanicien volant René, Henri MOMBERT, le QM mécanicien volant Kléber, Eugène, Marie, Albert NAL, le SM radio volant Adrien, Jean-Baptiste PAUC, le QM mécanicien volant Charles, Joseph, René, Louis QUÉMERAIS, les QM arrimeurs volants Jean RICHARD et Géraud, François, Marie ROCHER, le Mot mécanicien volant Jean, Eugène, Edouard ROUDEN, le LV pilote de dirigeable Adrien, Aimé, Victor ROUSTAN, commandant en second, le Mot arrimeur Charles, Paul SÉDILLOT, le SM arrimeur volant Louis, Marie TARTIVEL et le QM mécanicien volant Jean, Léopold VINCENOT. – 10 passagers le CC Victor, Louis BERRETTA, les LV pilotes de dirigeable Pierre BOURDIER et Maurice, Gabriel CONVENTS, le CF pilote de dirigeable Georges, Léon, François, Jules HENNIQUE, commandant le CAM de Cuers-Pierrefeu, le LV pilote de dirigeable Serge, François, Roger GOISLARD de La DROITIÈRE, le CC pilote Henri, Jules LEFRANC, le LV observateur Georges, Etienne LEVESQUE, le Med1 Léopold, Henri PÉLISSIER, le CC pilote de dirigeable Georges, Paul RENON, le LV pilote de dirigeable Henri, Marcel, Aurélien ROUSTAN et, enfin, le CV Pierre, Edouard, Marie YVON. 23 août 1944 – Un Vickers Wellington XIII s/n HZ588 – N de l’escadrille 5B de la 2ème flottille de bombardement avait décollé de sa base de Dakar-Ouakam pour une mission d’escorte de convoi. A partir de 20 h 30, plus aucun contact ne peut être établi avec l’appareil. Les recherches lancées le lendemain et les jours suivant ne révèlent aucun indice. L’appareil et son équipage de sept hommes, composé du QM1 mécanicien volant Aimé, Marcel BASTIEN, de l’EV1 de réserve observateur René, Jules, Vital CUNIN, commandant d’aéronef, de l’Asp de réserve observateur Pierre, Edouard, Claude MARTIN, du QM2 radio volant Robert, Georges, Augustin MOIZANT, de l’OE2 pilote Roger PRAT, du Mt radio volant Louis, Marcel RAPP et du SM pilote Guy, Louis, Marie RICHAUDEAU, sont portés disparus. 20 juin 1918 – Un hydravion Donnet-Denhaut 200ch n° 1136 du CAM de Marsala Italie est contraint à un amerrissage au cours d’une reconnaissance menée dans le canal de Sicile, au large du cap Bon. Les premières recherches aériennes permettent de repérer l’appareil flottant normalement mais lorsque les bâtiments arrivent sur les lieux, ils ne trouvent plus rien. L’équipage, composé du QM mécanicien observateur Gaston, Emile RICHE et du QM fourrier pilote Paul, André, Marie SAVARY, est porté disparu, présumé mort en mer. 6 février 1920 – Le 16 janvier 1920, au cours d’un vol d’entraînement au CAM de Berre, l’EV1 pilote Robert RICHER, aux commandes d’un hydravion Donnet-Denhaut 200ch, est victime d’un accident. Relevé gravement blessé, il est transporté à l’hôpital de Marseille Bouches du Rhône où il décède le 6 février. 19 juin 1940 – Une formation mixte de Loire-Nieuport 401 et 411 des escadrilles AB2 et AB4, décolle dans la soirée du terrain d’Hyères pour bombarder, de nuit, des objectifs dans la région d’Imperia, sur la côte ligure, en Italie. Au retour, deux appareils de l’AB4 sont manquants. Le LN 411 n° 5 codé du Mt pilote Marcel, Pierre, Auguste BILLIEN et le LN 411 n° 6 codé du SM pilote Raymond, Joseph, Maurice RICQUIER. Les deux appareils ont probablement disparu en mer car aucun indice ne sera retrouvé et les enquêtes menées après la guerre auprès des autorités italiennes ne donneront rien non plus. 2 novembre 1918 – A la suite probablement d’une panne de moteur, un hydravion Borel Odier n° 05 du CAM d’Antibes, effectuant une liaison postale entre Nice et la Corse, est contraint un amerrissage de fortune au large de Nice. Lorsque les secours arrivent sur les lieux, ils ne retrouvent aucune trace de l’appareil qui a disparu avec son équipage, composé du SM mécanicien pilote Angelo, Joseph RIMOLDI et du QM mécanicien observateur Marcel ROBERT. 4 août 1943 – Décollant du terrain de Dakar-Ouakam pour une mission de protection de convoi, un Lockheed Hudson IIIA s/n FH336 – de l’escadrille 1BR est victime d’une perte de puissance des moteurs, s’écrase et prend feu. Ses cinq hommes d’équipage, l’EV1pilote Marcel, Pierre, Henri DOUXAMI, chef de bord, l’EV1 de réserve observateur François GUICHARD, le SM1 mécanicien volant Yves, Jean NÉDELEC, le QM2 mitrailleur bombardier Jean, Joseph, Marie RIO et le SM2 radio volant Henri, Georges TOUCHARD, sont tués sur le coup. 23 septembre 1925 – Au cours d’une mission de bombardement de la ville de Chefchaoued, dans le massif du Rif Maroc, un Farman 60 Goliath n° 133 – de l’escadrille 5B2, est porté disparu. Son équipage était composé des QM arrimeur pilote Maurice, Eugène, Charles, Théodore DUSSOLON, QM radio volant François, Jean-Louis GOARNIGOU, SM pilote Etienne, François, Henri MARCHAU, SM mitrailleur bombardier Clet, Marie RIOU, et Mot mécanicien d’aéronautique Jean-Louis SÉGALEN. Certains corps ne seront retrouvés qu’en 1929. 20 mai 1931 – L’escadrille 7B1 du porte-avions Béarn a été débarquée de son bâtiment à Casablanca pour effectuer un vol autour du Maroc. Dans la région de Kasbah-Tadla, un de ses Levasseur PL 7 se brise littéralement en vol, ne laissant aucune chance de survie à ses quatre occupants. L’équipage était composé du QM mitrailleur bombardier Arsène, Marie GUILLOU, du QM radio volant Louis, Charles JOLIDON du QM mécanicien volant René, Marius, Auguste du SM mécanicien pilote Jean, Yves, Marie RIOU. 28 décembre 1999 – Une section de deux hélicoptères Lynx de la flottille 31F a décollé de la BAN de Saint-Mandrier pour un entraînement à la navigation tactique à basse altitude. Peu après le décollage, le n° 803 est victime d’ennuis mécaniques le rendant incontrôlable et, malgré les efforts de ses pilotes, il s’écrase près du hameau de la Tuilière, dans la commune de Pierrefeu-du-Var Var. Le LV Emmanuel, Jacques, Roger RIOULT, pilote et commandant d’aéronef est tué sur le coup, les deux autres membres de l’équipage sont blessés. 22 novembre 1916 – Au cours d’une mission de reconnaissance sur les lignes ennemies, l’ingénieur hydrographe de 2ème classe Charles, Gaston, Adolphe RIVIER, détaché comme observateur dans une escadrille de l’Aéronautique militaire, est gravement blessé par des tirs venus du sol. Transporté à l’hôpital de Verdun après le retour de son appareil à sa base, il y décède quelques heures après son admission. 9 avril 1947 – Victime d’une perte de vitesse au décollage, un SNCAC de l’escadrille n° 174 – s’écrase sur le terrain de Cuers-Pierrefeu. Les cinq occupants, gravement blessés, sont transportés à l’hôpital Sainte-Anne de Toulon où trois d’entre eux, le SM2 radio volant Maurice AXAT, le Mt mécanicien volant René, Auguste, Joseph BÉBIN et le SM1 pilote Frédéric, Jean, Marie RIVOALEN, décèdent peu après leur arrivée. 24 avril 1954 – Au cours d’une mission de bombardement d’une batterie de 37mm AA aux alentours de Diên Biên Phu, un F6F-5 Hellcat de la flottille BuAer 79404 – est touché par la DCA. Son pilote, le SM2 Daniel, Michel, Henri ROBERT, parvient à sauter en parachute mais tombe dans les lignes ennemies. Fait prisonnier, il meurt de privation et maladie dans un camp à Moc Chau Tonkin, le 8 juin suivant. 2 novembre 1918 – A la suite probablement d’une panne de moteur, un hydravion Borel Odier n° 05 du CAM d’Antibes, effectuant une liaison postale entre Nice et la Corse, est contraint un amerrissage de fortune au large de Nice. Lorsque les secours arrivent sur les lieux, ils ne retrouvent aucune trace de l’appareil qui a disparu avec son équipage, composé du SM mécanicien pilote Angelo, Joseph RIMOLDI et du QM mécanicien observateur Marcel ROBERT. 5 décembre 1953 – En mission de reconnaissance à basse altitude le long de la RP 38, dans la région de Cho Chu Tonkin, deux F6F-5 Hellcat de la flottille sont pris à partie par la DCA viêt minh. Les deux appareils sont touchés, mais celui du chef de patrouille BuAer 80065 – est plus gravement atteint et son moteur mis en feu. Son pilote, l’EV1 Jean, André ROBIN, tente un atterrissage de fortune à quatre kilomètres de Cho Moï mais, à l’instant où il va toucher le sol, l’appareil explose et ses débris se répandent sur plusieurs centaines de mètres. L’EV Robin, probablement tué sur le coup, est porté disparu. Sunderland III de la flottille 7FE s/n ML841 – M, rebondit plusieurs fois sur des lames avant de se briser en deux et de couler presque immédiatement. Il y a dix victimes parmi les occupants de l’appareil les Mot2 EAR élèves observateurs, Henri, Camille BÉRAUD, Jean, Marie, Georges BONIS-CHARANCLE et Jacques, Alfred, Antoine BRUN, le SM2 radio volant Louis DARS, le Mt mitrailleur bombardier Raymond, Joseph, Marie HOUSSAY, le QM1 radio volant Joseph LE DEUN, l’EV1 de réserve observateur René, Michel, Jean LEMARCHAND, le Mot2 EAR élève observateur Jacques, Henri, Albert LICHTENBERGER, le Mot radio volant Alfred PONCET et le QM armurier d’aéronautique Louis, Gabriel ROBIN. 13 décembre 1963 – Au cours d’un vol d’entraînement, un Zéphyr n° 13 de l’escadrille s’écrase dans la commune de Carqueiranne Var. Son pilote, le SM2 Pierre, Joseph ROCHE est tué sur le coup. 7 septembre 1939 – Les deux hydravions Loire 130 du bâtiment de ligne Dunkerque avaient décollé du Poulmic pour une mission de surveillance anti-sous-marine au large de Brest. Mission terminée, le premier hydravion rejoint sa base de départ mais on reste sans nouvelles du second. Malgré les recherches lancées, aucune trace ne sera retrouvée de l’appareil n° 2 – ni de son équipage composé du QM radio volant Marcel, Joseph COADIC, du Mt mécanicien volant Rémy, Edouard, Gaston JACQUIAUD, du SM radio volant Fernand MONNET, du Mt pilote Pierre ROCHEFORT et de l’EV1, observateur et commandant d’aéronef, Jean, Marie, Paul de TESSIÈRES. Ces cinq hommes auront le triste privilège d’être les premiers morts français de la Seconde Guerre mondiale. 21 décembre 1923 – C’est cette nuit là que se produit la plus grave catastrophe de l’aéronautique militaire de notre pays. Le 18 décembre 1923, le dirigeable Dixmude, ex Zeppelin L-72 qui avait été remis à la France par l’Allemagne au titre des dommages de guerre, quitte sa base de Cuers-Pierrefeu pour un raid d’essai sans escale au-dessus du Sahara avec cinquante personnes à son bord. Il atteint In-Salah dans les délais prévus et entame son voyage de retour. Son dernier message le positionne au-dessus de la Tunisie et il n’y en aura pas d’autres. Vers 2 h 30 du matin, alors que le dirigeable passe au large de la Sicile, des pêcheurs aperçoivent dans le ciel les lueurs d’un vif incendie. Probablement frappé par la foudre qui a enflammé ses ballonnets d’hydrogène, le Dixmude et tout son équipage s’abîment en mer à quelques miles au large du petit port de Sciacca. Les recherches lancées par la Marine italienne et par des bâtiments français venus de Bizerte ne permettent pas de retrouver de survivants, ni même de corps. Ce n’est que le 26 qu’un pêcheur remonte dans ses filets le corps du commandant, le LV du Plessis de Grenédan. Un autre corps, celui du QM Guillaume sera retrouvé ultérieurement. Cette catastrophe a fait cinquante victimes – 40 membres de l’équipage Les Mot2 mécaniciens d’aéronautique Pierre, Casimir, Baptiste ALBAGNAC et Georges, Louis BAILLOUX, le SM mécanicien d’aéronautique Ange, Jean, Louis BOULLEAU, les Mot2 mécaniciens d’aéronautique Roger, Marius BOYER et Victorin, Louis BRUNIAS, le Mot arrimeur Maurice, Jules, Baptiste, Pierre CHARPENTIER, le SM mécanicien d’aéronautique Georges, Victor, Auguste CLAVEL, le QM arrimeur volant André CLOSVIROLA, le SM2 pilote de direction Joseph, Louis, Marie COLLET, le SM mécanicien volant Noël, Marie COROUGE, le QM mécanicien volant Marcel, Alexandre COUVÉ, le LV pilote de dirigeable Jean, Joseph, Anne, Marie, Julien du PLESSIS de GRENÉDAN, commandant, le Mot mécanicien d’aéronautique Raymond, Louis DUBOIS, les QM mécaniciens volants Jean, Constant FELON, Charles, Georges FOUCHET et Louis GALLET, le Mt mécanicien volant Charles, Jean GASPAILLARD, le QM radio volant Marie, Antoine, Emile GUILLAUME, le SM arrimeur Joseph GUILLEMOT, le Mt de manœuvre pilote de direction René, Félix, Marie HAMON, le Mot2 mécanicien d’aéronautique Louis, Jean IMBERT, le QM radio volant Pierre, Jean-Marie JAFFREZIC, le SM mécanicien volant François, Clément JAN, les QM arrimeurs Charles, Marcel KUBLER et Saint-Amand, Charles, Adolphe La FORGE, le SM mécanicien volant Jean, François, Aimé, Eugène LIZÉE, le QM mécanicien volant François, Auguste, Joseph, Mathurin MAINGUY, le LV pilote de dirigeable Sylvestre, Antoine MARCAGGI, le PM mécanicien volant René, Henri MOMBERT, le QM mécanicien volant Kléber, Eugène, Marie, Albert NAL, le SM radio volant Adrien, Jean-Baptiste PAUC, le QM mécanicien volant Charles, Joseph, René, Louis QUÉMERAIS, les QM arrimeurs volants Jean RICHARD et Géraud, François, Marie ROCHER, le Mot mécanicien volant Jean, Eugène, Edouard ROUDEN, le LV pilote de dirigeable Adrien, Aimé, Victor ROUSTAN, commandant en second, le Mot arrimeur Charles, Paul SÉDILLOT, le SM arrimeur volant Louis, Marie TARTIVEL et le QM mécanicien volant Jean, Léopold VINCENOT. – 10 passagers le CC Victor, Louis BERRETTA, les LV pilotes de dirigeable Pierre BOURDIER et Maurice, Gabriel CONVENTS, le CF pilote de dirigeable Georges, Léon, François, Jules HENNIQUE, commandant le CAM de Cuers-Pierrefeu, le LV pilote de dirigeable Serge, François, Roger GOISLARD de La DROITIÈRE, le CC pilote Henri, Jules LEFRANC, le LV observateur Georges, Etienne LEVESQUE, le Med1 Léopold, Henri PÉLISSIER, le CC pilote de dirigeable Georges, Paul RENON, le LV pilote de dirigeable Henri, Marcel, Aurélien ROUSTAN et, enfin, le CV Pierre, Edouard, Marie YVON. 3 février 1937 – Une section de trois Levasseur PL 101 de l’escadrille 7S1 du porte-avions Béarn, en escale à Dakar Sénégal a effectué un voyage jusqu’à Podor, ville située à 330 kilomètres au NE de Dakar. Au cours d’une présentation devant les autorités locales, deux appareils entrent en collision et s’écrasent au sol. Les six membres des équipages étaient le QM1 mitrailleur bombardier Jean, François ABAZIOU, l’EV1 pilote Michel, Maurice, André ALLARD, chef de la section, le SM mécanicien volant Joseph, Bernard BERTOLINI, le QM mécanicien volant Guillaume LASTENNET. Aucun , le SM pilote Antoine, Louis, André ROCHETTE et le QM1 radio volant Charles, Louis ROUX. Aucun n’a eu le temps de sauter en parachute et ils trouvent tous la mort dans l’accident. 14 août 1929 – A l’issue d’un vol d’entraînement, un Latham 43 n° 25 – de l’escadrille 3E1, capote en amerrissant sur l’étang de Berre. Pris sous la coque retournée, ses trois hommes d’équipage, le Mt mécanicien volant Marcel, André, Adolphe, Yvon PERRIN, le QM mécanicien d’aéronautique Jean, François RAOUL et le SM mécanicien pilote Alexandre RODIER, périssent noyés. 5 février 1925 – Le Mot1 arrimeur pilote Edmond, Roger RODIER, élève à l’école de chasse du CAM de Fréjus – Saint-Raphaël, est tué dans la chute en vrille de son monoplace Nieuport 23 codé sur l’aérodrome de Fréjus – Saint-Raphaël. 7 mai 1986 – Au cours d’une mission d’entraînement à la reconnaissance à basse altitude sur la Bretagne et la Normandie, le réacteur d’un Etendard IVP n° 103 de la flottille 16F prend feu. L’appareil s’engage ensuite dans une vrille que se termine par l’écrasement sur la territoire de la commune de Saint-Pierre-du-Jonquet Calvados. Le pilote, l’EV1 Loïc, Claude, Marie RODIER s’éjecte mais à trop basse altitude pour permettre l’ouverture de son parachute. 22 octobre 1957 – Au retour d’une mission d’entraînement au vol de nuit et en finale pour à atterrir à Oran-La Sénia, un Lockheed P2V-6 Neptune de la flottille BuAer 126539 – perd brutalement de l’altitude, percute le lac salé de la Sebkra, dans la commune de Valmy, et se désintègre complètement. Les huit hommes composant l’équipage, le SM2 pilote Pierre, Serge, Auguste, Jacques COURTEILLE, le Mt électronicien de bord Francis HOQUET, le Mt radio volant Roger, Joseph LE CLECH, le Mt mécanicien volant Alain LE PARC, le LV pilote Jacques, Paul, Max PIVET, commandant d’aéronef, le Mt radariste volant Marcel, Maurice, Gustave RENARD, le Mt armurier de bord Henri, Joachim, Marie ROGER et le SM2 navigateur aérien Pierre VIGER, sont tués sur le coup. 16 mai 1928 – A la suite de l’incendie d’un de ses moteurs et en tentant d’atterrir en urgence, un Farman 65 Goliath de l’escadrille 4B2 basée à Karouba, s’écrase au sol à Bordj Poil, à 8 kilomètres au nord d’El Ariana, près de Tunis. L’équipage composé du Mot2 arrimeur pilote Jean, Albert, Marcel ARROUAYS, de l’Asp de réserve observateur Jean-Louis, Marie, André BÉZARD, chef de bord, du QM radio volant Henri, Joseph GOBERT, du SM mécanicien pilote Georges, Louis, René PAPIN et du QM mécanicien volant Paul ROHR, périt tout entier dans l’accident. 17 avril 1939 – L’escadrille T1 venait de recevoir ses premiers Latécoère 298. Au cours d’un vol d’entraînement au bombardement en semi-piqué sur l’étang de Berre, l’un des appareils n° 18 – est victime, à la ressource, d’un décrochage à haute vitesse et percute la surface de l’eau. Les trois hommes composant l’équipage, l’EV1 pilote Jacques, Gilbert, Edouard DUTILLEUL, le SM radio volant Joseph, René, Hermann ROHRBACH, et l’Asp de réserve observateur Marcel, Albert, Eugène VERGRIETE, périssent dans l’accident. 8 mai 1954 – Le lendemain de la chute du camp retranché de Diên Biên Phu, au cours d’une mission de bombardement près de Tuan Giao Tonkin, un P4Y Privateer de la Flottille BuAer 59785 – est touché par la DCA viêt minh. Trois hommes parviennent à évacuer l’avion avant qu’il ne s’écrase au sol ; deux d’entre eux, les SM2 Carpentier et Kéromnès atterrissent indemnes et sont fait prisonniers. Le troisième, le SM2 radio volant Jean, Jacques, Antoine HOOG, gravement blessé, ne survit pas à ses blessures. Tous les autres membres de l’équipage, le Mt mécanicien volant Francis, Pierre BOUYSSOU, le SM2 radio volant René, Jean, Gabriel LACROSSE, le SM2 navigateur aérien Yves, Joseph, Louis LE COZ, l’EV1 pilote François, Pierre, Roger MONGUILLON, commandant d’aéronef, le SM2 pilote André, Edouard ROISSAT et le SM2 mécanicien volant Louis, René STÉPHAN, périssent dans la chute de leur appareil. 28 juin 1941 – Une formation de six Martin 167-A3 décolle de Madjaloun Liban. Elle est composée de trois appareil des l’escadrille 6B et trois autres de la 7B. La mission assignée est de bombarder deux cols qui dominent Palmyre Syrie, où la garnison française résiste aux attaques des troupes du Commonwealth. Le bombardement s’effectue normalement mais, au retour, la petite formation est interceptée par une vingtaine de Curtiss Tomahawk de la RAAF. Le combat est inégal et, l’un après l’autre, les bimoteurs français succombent avec, dans la plupart des cas, la mort de l’ensemble de leurs équipages. En quelques minutes, seize officiers, officiers mariniers et quartiers-maîtres vont périr et il n’y aura que quatre survivants. La composition des équipages était la suivante N° 41 – Mt mitrailleur bombardier Mathurin, Marie LE BOULAIRE, SM radio volant Louis, Joseph LE ROLLAND, EV1 pilote Marcellin GISBERT, faisant fonction d’observateur et LV pilote François, Xavier, Paul, Martial ZIEGLER, commandant l’escadrille 6B et chef de 93 – QM2 radio volant Ferdinand, Léon BIEVER, QM2 mitrailleur bombardier Henri LE MARRE, Mt pilote Paul, Simon, Nicolas MONJOIN et EV1 pilote Aymond, Marie, Jean, André PLAYE, chef de bord et 204 – SM1 pilote Lucien HELF, EV1 pilote Pierre, Jean LACOSTE, chef de bord et navigateur, SM2 radio volant Jean, Aimé LE DÛ, QM2 mitrailleur bombardier Eugène, Henri, Pierre, Marie 58 – QM1 radio volant Victor, François, Alain BOURHIS, SM2 pilote Robert, Gustave, Sylvain CÉRÉSUÉLA, OE2 pilote Georges, Corentin, Marie LE FRIANT, chef de bord et observateur et QM1 radio volant André, Yves, Marie 274 – QM1 mécanicien volant François, Marie LIBOUBAN, QM2 radio volant François, Henri, Victor PARMENTIER, sont tués en vol par les tirs des chasseurs australiens. Le LV Francis Lainé, pilote et chef de bord et l’EV1 Pierre Massicot, observateur, survivent, gravement blessés, à l’atterrissage forcé de leur 21 – LV pilote Joseph, Charles, Jean de GAIL, chef de bord et observateur et QM radio volant Louis, Alphonse THIOT. Deux membres de l’équipage, le MT pilote Raymond Sarrotte et le SM mitrailleur bombardier Clotaire Guéret, réussissent à sauter en parachute. 16 septembre 1916 – Le QM fusilier Yves ROLLAND, élève à l’école de pilotage du CAM de Fréjus – Saint-Raphaël, effectue un de ses premiers vols en solo lorsque, pour une raison inconnue, son hydravion s’abîme en mer à un mille au sud du centre. Lorsque les secours arrivent, ils ne peuvent que constater le décès du pilote, probablement tué sur le coup dans la chute de son appareil. 12 juin 1949 – Une patrouille de quatre SBD-5 Dauntless de la flottille a décollé du porte-avions Arromanches au large d’Oran pour un exercice d’attaque. Alors que la formation survole Mostaganem, l’un des appareils BuAer 34832 – est victime d’une panne de moteur. En tentant un atterrissage forcé sur le territoire de la commune de Mazagran Algérie, il se met en perte de vitesse et s’écrase au sol. Le pilote, le LV Michel, Denis, Gabriel ROLLIN est tué sur le coup et son passager, le QM2 mécanicien d’aéronautique Serge, Joseph, Jacques ZANI, décède pendant son transfert à l’hôpital de Mostaganem. 5 août 1944 – Le SM2 mécanicien volant Henri, Jean ROMANETTI s’évade le 15 octobre 1940 de la BAN de Karouba et rejoint l’île de Malte. Il s’engage ensuite dans les FAFL et, après diverses affectations, rejoint le GB Lorraine Squadron 342 de la RAF. Le 5 août 1944, un Douglas Boston IIIA s/n BZ198 – OA-T de cette unité est touché par la Flak et s’écrase en feu au lieu-dit Les Poiriers dans la commune de La Villette Calvados. Deux membres de son équipage, l’A/C Romanetti et le Sgt René PIERRON, sont tués sur le coup. 17 août 1960 – Un AVRO Lancaster de l’escadrille n° WU 26 – revenait de métropole vers Agadir, transportant douze passagers en plus de son équipage habituel. Alors que l’appareil se trouve 25 kilomètres au sud de Had Ouled Frej, un message est reçu par le contrôle de Camp Cazès, signalant un incendie au moteur n° 3 et annonçant une tentative d’atterrissage forcé. Mais il est trop tard, rongé par le feu, le longeron principal de la voilure cède et l’aile droite se replie. Désemparé, le Lancaster s’écrase au sol près du douar de Khemis M’Touch, dans la région de Sidi Bennour, à une centaine de kilomètres environ dans le SSO de Casablanca. Tous les occupants sont tués sur le coup. L’équipage était composé du MP mécanicien de bord Bernard BRÉLIVET, du SM2 radio volant Jacques, Pierre DURAND, de l’EV2 de réserve pilote Jean-Claude JÉGOU, des OE3 pilotes Henri, Francis JOURDAN et Joseph, Jean, Marie LE HIRESS, commandant d’aéronef, du Mt mécanicien volant Edmond, Jean, Marie MARTIN et du PM radio volant Jean, Emile, Auguste MOUSSET. Les passagers étaient le QM2 armurier d’aéronautique Claude, Paul BARBÉ, le PM pilote Maurice, Dominique, Pierre CANTAT, les SM2 mécaniciens d’aéronautique Jacques, Roland, Marcel HERBETTE, Gilbert, Louis, Marie LE ROUZIC et Jean, Louis MARC, l’agent de la poste aux Armées Armand, Marius PÉZÉ, le QM1 électricien Christian, Charles PHIPPS, le SM2 mécanicien d’aéronautique Joseph PROVOST, le PM mécanicien d’aéronautique Lucien, Jean, Louis ROMANI, l’IM1 volant Jacques, Jean, Victor ROULS, le Sgt/Maj Louis, Victor PRINCE-SOULIER de l’armée de Terre et le Mot2 maître d’hôtel Pierre VICARIOT. 12 mai 1944 – Au cours d’un exercice de combat aérien, deux Douglas A-24 de l’école de chasse de l’armée de l’Air de Meknès entrent en collision. L’appareil n° 42-54206 s’écrase au sol tuant ses deux occupants, le SM1 pilote René, Pascal DESNUS, moniteur, et le SM pilote René, André, Pierre RONGIÈRE, élève. L’autre A-24, bien qu’endommagé, parvient à atterrir normalement. 5 février 1954 – Participant à un exercice de poursuite, un F6F-5 Hellcat de l’escadrille BuAer 72440 – s’écrase à plat, à l’issue d’une ressource à grande vitesse, à 4 kilomètres dans l’est du village de Saint-Maur Algérie. Son pilote, le QM2 Jean, Victor ROOSE, est tué sur le coup. 14 janvier 1988 – Au cours d’en exercice de combat aérien contre un Etendard IVP, un F8E FN Crusader n° 42 de la flottille 12F s’écrase en mer au large de l’île d’Ouessant. Son pilote, l’EV1 Yves, Claude ROSE, s’est éjecté tardivement et son corps ne sera pas retrouvé. 17 août 1929 – Le QM mécanicien élève pilote Roger, Jean, Félix ROUANET est grièvement blessé dans un accident en atterrissant sur le terrain de Valence Drome, aux commandes d’un Caudron 59 de l’Ecole de pilotage d’Istres. Transporté à l’hôpital il y décède peu de temps après son admission. 21 décembre 1923 – C’est cette nuit là que se produit la plus grave catastrophe de l’aéronautique militaire de notre pays. Le 18 décembre 1923, le dirigeable Dixmude, ex Zeppelin L-72 qui avait été remis à la France par l’Allemagne au titre des dommages de guerre, quitte sa base de Cuers-Pierrefeu pour un raid d’essai sans escale au-dessus du Sahara avec cinquante personnes à son bord. Il atteint In-Salah dans les délais prévus et entame son voyage de retour. Son dernier message le positionne au-dessus de la Tunisie et il n’y en aura pas d’autres. Vers 2 h 30 du matin, alors que le dirigeable passe au large de la Sicile, des pêcheurs aperçoivent dans le ciel les lueurs d’un vif incendie. Probablement frappé par la foudre qui a enflammé ses ballonnets d’hydrogène, le Dixmude et tout son équipage s’abîment en mer à quelques miles au large du petit port de Sciacca. Les recherches lancées par la Marine italienne et par des bâtiments français venus de Bizerte ne permettent pas de retrouver de survivants, ni même de corps. Ce n’est que le 26 qu’un pêcheur remonte dans ses filets le corps du commandant, le LV du Plessis de Grenédan. Un autre corps, celui du QM Guillaume sera retrouvé ultérieurement. Cette catastrophe a fait cinquante victimes – 40 membres de l’équipage Les Mot2 mécaniciens d’aéronautique Pierre, Casimir, Baptiste ALBAGNAC et Georges, Louis BAILLOUX, le SM mécanicien d’aéronautique Ange, Jean, Louis BOULLEAU, les Mot2 mécaniciens d’aéronautique Roger, Marius BOYER et Victorin, Louis BRUNIAS, le Mot arrimeur Maurice, Jules, Baptiste, Pierre CHARPENTIER, le SM mécanicien d’aéronautique Georges, Victor, Auguste CLAVEL, le QM arrimeur volant André CLOSVIROLA, le SM2 pilote de direction Joseph, Louis, Marie COLLET, le SM mécanicien volant Noël, Marie COROUGE, le QM mécanicien volant Marcel, Alexandre COUVÉ, le LV pilote de dirigeable Jean, Joseph, Anne, Marie, Julien du PLESSIS de GRENÉDAN, commandant, le Mot mécanicien d’aéronautique Raymond, Louis DUBOIS, les QM mécaniciens volants Jean, Constant FELON, Charles, Georges FOUCHET et Louis GALLET, le Mt mécanicien volant Charles, Jean GASPAILLARD, le QM radio volant Marie, Antoine, Emile GUILLAUME, le SM arrimeur Joseph GUILLEMOT, le Mt de manœuvre pilote de direction René, Félix, Marie HAMON, le Mot2 mécanicien d’aéronautique Louis, Jean IMBERT, le QM radio volant Pierre, Jean-Marie JAFFREZIC, le SM mécanicien volant François, Clément JAN, les QM arrimeurs Charles, Marcel KUBLER et Saint-Amand, Charles, Adolphe La FORGE, le SM mécanicien volant Jean, François, Aimé, Eugène LIZÉE, le QM mécanicien volant François, Auguste, Joseph, Mathurin MAINGUY, le LV pilote de dirigeable Sylvestre, Antoine MARCAGGI, le PM mécanicien volant René, Henri MOMBERT, le QM mécanicien volant Kléber, Eugène, Marie, Albert NAL, le SM radio volant Adrien, Jean-Baptiste PAUC, le QM mécanicien volant Charles, Joseph, René, Louis QUÉMERAIS, les QM arrimeurs volants Jean RICHARD et Géraud, François, Marie ROCHER, le Mot mécanicien volant Jean, Eugène, Edouard ROUDEN, le LV pilote de dirigeable Adrien, Aimé, Victor ROUSTAN, commandant en second, le Mot arrimeur Charles, Paul SÉDILLOT, le SM arrimeur volant Louis, Marie TARTIVEL et le QM mécanicien volant Jean, Léopold VINCENOT. – 10 passagers le CC Victor, Louis BERRETTA, les LV pilotes de dirigeable Pierre BOURDIER et Maurice, Gabriel CONVENTS, le CF pilote de dirigeable Georges, Léon, François, Jules HENNIQUE, commandant le CAM de Cuers-Pierrefeu, le LV pilote de dirigeable Serge, François, Roger GOISLARD de La DROITIÈRE, le CC pilote Henri, Jules LEFRANC, le LV observateur Georges, Etienne LEVESQUE, le Med1 Léopold, Henri PÉLISSIER, le CC pilote de dirigeable Georges, Paul RENON, le LV pilote de dirigeable Henri, Marcel, Aurélien ROUSTAN et, enfin, le CV Pierre, Edouard, Marie YVON. 15 août 1916 – Un hydravion FBA 150ch n° 308 du CAM de Venise avait décollé pour une mission de reconnaissance du port de Trieste alors dans l’Empire austro-hongrois. Intercepté par des hydravions de chasse autrichiens, il est abattu par le Linienschiffsleutenant Gottfried von Banfield, qui deviendra l’as de la Marine austro-hongroise. Les deux membres de l’équipage, le QM mécanicien observateur Auguste, Henri COSTEROUSSE et l’EV1 pilote Jean, Jules, Henri ROULIER disparaissent dans la chute de leur appareil. 17 août 1960 – Un AVRO Lancaster de l’escadrille n° WU 26 – revenait de métropole vers Agadir, transportant douze passagers en plus de son équipage habituel. Alors que l’appareil se trouve 25 kilomètres au sud de Had Ouled Frej, un message est reçu par le contrôle de Camp Cazès, signalant un incendie au moteur n° 3 et annonçant une tentative d’atterrissage forcé. Mais il est trop tard, rongé par le feu, le longeron principal de la voilure cède et l’aile droite se replie. Désemparé, le Lancaster s’écrase au sol près du douar de Khemis M’Touch, dans la région de Sidi Bennour, à une centaine de kilomètres environ dans le SSO de Casablanca. Tous les occupants sont tués sur le coup. L’équipage était composé du MP mécanicien de bord Bernard BRÉLIVET, du SM2 radio volant Jacques, Pierre DURAND, de l’EV2 de réserve pilote Jean-Claude JÉGOU, des OE3 pilotes Henri, Francis JOURDAN et Joseph, Jean, Marie LE HIRESS, commandant d’aéronef, du Mt mécanicien volant Edmond, Jean, Marie MARTIN et du PM radio volant Jean, Emile, Auguste MOUSSET. Les passagers étaient le QM2 armurier d’aéronautique Claude, Paul BARBÉ, le PM pilote Maurice, Dominique, Pierre CANTAT, les SM2 mécaniciens d’aéronautique Jacques, Roland, Marcel HERBETTE, Gilbert, Louis, Marie LE ROUZIC et Jean, Louis MARC, l’agent de la poste aux Armées Armand, Marius PÉZÉ, le QM1 électricien Christian, Charles PHIPPS, le SM2 mécanicien d’aéronautique Joseph PROVOST, le PM mécanicien d’aéronautique Lucien, Jean, Louis ROMANI, l’IM1 volant Jacques, Jean, Victor ROULS, le Sgt/Maj Louis, Victor PRINCE-SOULIER de l’armée de Terre et le Mot2 maître d’hôtel Pierre VICARIOT. 17 mai 1950 – Aussitôt après avoir décollé du terrain d’Inezgane, près d’Agadir, le Bloch 175T n° 61 – piloté par le LV Raoul, Marie, Jean de CARPENTIER, commandant la flottille bascule sur une aile, touche le sol et explose, tuant tous ses occupants. Les deux autres membres de l’équipage étaient le Mt radio volant Alfred, Pierre LAURENT et le PM mécanicien volant René, Alphonse, François ROUMY. L’enquête révélera que les commandes d’ailerons avaient été inversées. 23 septembre 1952 – Quelques instants après son décollage de la BAN de Tan Son Nhut, pour une mission de reconnaissance et de bombardement, le moteur extérieur droit d’un P4Y Privateer de la flottille BuAer 59839 – prend feu. Presque immédiatement, l’appareil devient incontrôlable et s’écrase au sol près de la bourgade de An Nhon Xa, dans la province de Gia Dinh. Dix membres de l’équipage, le CC pilote Paul, Marie, Alphonse, Augustin AUDIBERT, commandant la flottille, le SM1 mitrailleur bombardier René, Eugène, Joseph BLIN, le SM2 mécanicien de bord Pierre, Jacques, André COCHE, le SM radio volant Robert DEBERGHES, le SM armurier volant Robert DÉPREUX, le Mt mécanicien volant André, Marie DUPONT, le SM2 radio volant Michel, Pierre FAGET l’EV1 de réserve pilote Pierre, Marie, Léopold LASSALLE, le Mt radio volant André, Paul ROUSSE et trois passagers qui avaient embarqués pour la mission, l’IMP volant François, Jean ENAULT, l’IM1 observateur Henri, Lucien, Marie SOURET de la BAN de Tan Son Nhut et le CC pilote Marc, Lucien, Camille VENOT, commandant le GAN Indochine, sont tués sur le coup. Le onzième membre de l’équipage, le SM pilote Daniel Thédenat, est retrouvé très gravement blessé dans les débris de l’appareil. Il survivra à ses blessures et continuera sa carrière dans l’Aéronautique navale. 11 février 1941 – Au cours d’un exercice de vol en formation en section au large du cap Sicié, deux Latécoère 298 de l’escadrille 3T basée à Berre entrent en collision. Les trois occupants de l’appareil n° 71 le SM mécanicien volant Paul, Joseph, Marie DUCLOS, l’EV1 pilote Georges, Emile, René RAVEUX, chef de section et le QM radio volant André, Léon TARDIVAT, s’abattent en mer avec leur appareil et disparaissent avec lui. Dans l’appareil n° 77 le Mot2 radio volant Michel, Emile, Rémy DÉJARDIN et le SM pilote Jean, Roger, Georges ROUSSEAU, subissent le même sort que leurs camarades mais, le troisième homme d’équipage, le SM mécanicien volant Tanguy, parvient in extremis à sauter en parachute et est récupéré par une embarcation de pêcheurs. 10 mars 1981 – Quelques instants après avoir décollé de l’aérodrome de Hahaya à Moroni dans l’archipel des Comores, un Atlantic n° 29 de la flottille 23F est victime d’un incendie de moteur. Hors de contrôle, il s’écrase près de la localité de M’Boudé, tuant ses dix-huit occupants. En plus de son équipage normal, l’appareil transportait une équipe technique d’entretien. L’équipage était composé du Mt électronicien de bord Patrick, Elie, Etienne BAUDOIN, de l’EV1 pilote Jean-Yves, Georges CISTAC, du PM électronicien de bord Alain, Henri, Jean-Baptiste DEMAISON, du Mt électronicien de bord Dominique, Jean, Etienne FAURE, du PM électronicien de bord Serge, Lucien LAPP, de l’EV1 navigateur aérien et coordonnateur tactique Olivier, Marie, Gérard, Henri de LASSUS SAINT-GENIÈS, du Mt électronicien de bord Dominique, Bernard, Marie MOISDON, du Mt navigateur Jean-Claude, Joseph MONTFORT, du LV pilote Philippe, René, Pierre MOUGENOT, commandant d’aéronef, du MP mécanicien de bord Eugène, Jean, Yves NORMANT, du Mt navigateur Eric, Claude, Daniel PÉRAUDEAU, du Mt mécanicien de bord Michel, Louis, Jacques RÉNIER, du SM2 électronicien de bord Patrick, Louis, Adrien, Henri ROUSSEAU et du SM2 radio de bord François-Xavier WINTERHALTER. L’équipe technique se composait du SM électromécanicien d’aéronautique Jean-Louis AUDREN, du PM mécanicien d’aéronautique Yves HENNEQUART, du QM1 électronicien d’aéronautique Bertrand, Pierre LION et du QM1 électronicien d’équipement Eric LOURENÇO. 2 juillet 1947 – Immédiatement après avoir décollé de la BAN de Lartigue-Tafaraoui pour un vol d’instruction d’élèves radios volants, un AVRO Anson I de l’escadrille s/n LT831 – s’écrase près du douar Ouardia à 2 kilomètres environ de la base. Trois de ses occupants, l’EV1 pilote Robert, Georges GOSSELIN, chef de bord, le Mot2 élève radio volant Bernard LABORDE et l’IM3 volant de réserve Pierre, Marie, Bernard, François ROUSSEAU, sont tués dans l’accident. Quatre autres subissent des blessures diverses mais non mortelles. 5 décembre 1943 – Au cours d’une séance d’entraînement à la voltige, un Morane Saulnier 315 n° 134 de l’école de pilotage d’Igoudar Maroc s’abat en vrille et s’écrase au sol. Ses deux occupants, le QM2 mécanicien élève pilote Maurice, Gaston, Lucien MARCHAND, et le PM pilote Bernard, Emilien, Léon ROUSSEL, sont tués sur le coup dans la chute de leur appareil. 17 novembre 1925 – Au cours d’un vol d’entraînement, un Blanchard BRD-1 n° 7 – de l’escadrille 5R1 part brutalement en vrille et s’écrase en mer à environ un kilomètre au sud du Dattier, en baie de Cavalaire Var. Le QM mécanicien Daydé est retrouvé vivant accroché à un flotteur. Les corps des trois autres membres d’équipage, le Mot élève radio volant Adolphe, François, Bernard, Léon LASSERRE, le SM canonnier pilote Gérassime, Bertrand, Auguste ROUSSELET et le LV observateur André, Paul ROUSSET, chef de bord, ne seront pas retrouvés. L’accident, vraisemblablement du à une rupture en vol de la cellule, va conduire l’EMGM à retirer le type du service. 17 novembre 1925 – Au cours d’un vol d’entraînement, un Blanchard BRD-1 n° 7 – de l’escadrille 5R1 part brutalement en vrille et s’écrase en mer à environ un kilomètre au sud du Dattier, en baie de Cavalaire Var. Le QM mécanicien Daydé est retrouvé vivant accroché à un flotteur. Les corps des trois autres membres d’équipage, le Mot élève radio volant Adolphe, François, Bernard, Léon LASSERRE, le SM canonnier pilote Gérassime, Bertrand, Auguste ROUSSELET et le LV observateur André, Paul ROUSSET, chef de bord, ne seront pas retrouvés. L’accident, vraisemblablement du à une rupture en vol de la cellule, va conduire l’EMGM à retirer le type du service. 30 janvier 1919 – Le SM mécanicien pilote Henri, Joseph ROUSSILLON et le QM mécanicien observateur François, Adolphe, Marius TRENQUIER, tous deux affectés à la CEPA du CAM de Fréjus – Saint-Raphaël, sont victimes d’un accident alors qu’ils effectuent un vol d’essai à bord d’un hydravion Georges Lévy 300ch n° 601. Transportés à l’infirmerie du centre, ils y décèdent peu après leur admission. 21 décembre 1923 – C’est cette nuit là que se produit la plus grave catastrophe de l’aéronautique militaire de notre pays. Le 18 décembre 1923, le dirigeable Dixmude, ex Zeppelin L-72 qui avait été remis à la France par l’Allemagne au titre des dommages de guerre, quitte sa base de Cuers-Pierrefeu pour un raid d’essai sans escale au-dessus du Sahara avec cinquante personnes à son bord. Il atteint In-Salah dans les délais prévus et entame son voyage de retour. Son dernier message le positionne au-dessus de la Tunisie et il n’y en aura pas d’autres. Vers 2 h 30 du matin, alors que le dirigeable passe au large de la Sicile, des pêcheurs aperçoivent dans le ciel les lueurs d’un vif incendie. Probablement frappé par la foudre qui a enflammé ses ballonnets d’hydrogène, le Dixmude et tout son équipage s’abîment en mer à quelques miles au large du petit port de Sciacca. Les recherches lancées par la Marine italienne et par des bâtiments français venus de Bizerte ne permettent pas de retrouver de survivants, ni même de corps. Ce n’est que le 26 qu’un pêcheur remonte dans ses filets le corps du commandant, le LV du Plessis de Grenédan. Un autre corps, celui du QM Guillaume sera retrouvé ultérieurement. Cette catastrophe a fait cinquante victimes – 40 membres de l’équipage Les Mot2 mécaniciens d’aéronautique Pierre, Casimir, Baptiste ALBAGNAC et Georges, Louis BAILLOUX, le SM mécanicien d’aéronautique Ange, Jean, Louis BOULLEAU, les Mot2 mécaniciens d’aéronautique Roger, Marius BOYER et Victorin, Louis BRUNIAS, le Mot arrimeur Maurice, Jules, Baptiste, Pierre CHARPENTIER, le SM mécanicien d’aéronautique Georges, Victor, Auguste CLAVEL, le QM arrimeur volant André CLOSVIROLA, le SM2 pilote de direction Joseph, Louis, Marie COLLET, le SM mécanicien volant Noël, Marie COROUGE, le QM mécanicien volant Marcel, Alexandre COUVÉ, le LV pilote de dirigeable Jean, Joseph, Anne, Marie, Julien du PLESSIS de GRENÉDAN, commandant, le Mot mécanicien d’aéronautique Raymond, Louis DUBOIS, les QM mécaniciens volants Jean, Constant FELON, Charles, Georges FOUCHET et Louis GALLET, le Mt mécanicien volant Charles, Jean GASPAILLARD, le QM radio volant Marie, Antoine, Emile GUILLAUME, le SM arrimeur Joseph GUILLEMOT, le Mt de manœuvre pilote de direction René, Félix, Marie HAMON, le Mot2 mécanicien d’aéronautique Louis, Jean IMBERT, le QM radio volant Pierre, Jean-Marie JAFFREZIC, le SM mécanicien volant François, Clément JAN, les QM arrimeurs Charles, Marcel KUBLER et Saint-Amand, Charles, Adolphe La FORGE, le SM mécanicien volant Jean, François, Aimé, Eugène LIZÉE, le QM mécanicien volant François, Auguste, Joseph, Mathurin MAINGUY, le LV pilote de dirigeable Sylvestre, Antoine MARCAGGI, le PM mécanicien volant René, Henri MOMBERT, le QM mécanicien volant Kléber, Eugène, Marie, Albert NAL, le SM radio volant Adrien, Jean-Baptiste PAUC, le QM mécanicien volant Charles, Joseph, René, Louis QUÉMERAIS, les QM arrimeurs volants Jean RICHARD et Géraud, François, Marie ROCHER, le Mot mécanicien volant Jean, Eugène, Edouard ROUDEN, le LV pilote de dirigeable Adrien, Aimé, Victor ROUSTAN, commandant en second, le Mot arrimeur Charles, Paul SÉDILLOT, le SM arrimeur volant Louis, Marie TARTIVEL et le QM mécanicien volant Jean, Léopold VINCENOT. – 10 passagers le CC Victor, Louis BERRETTA, les LV pilotes de dirigeable Pierre BOURDIER et Maurice, Gabriel CONVENTS, le CF pilote de dirigeable Georges, Léon, François, Jules HENNIQUE, commandant le CAM de Cuers-Pierrefeu, le LV pilote de dirigeable Serge, François, Roger GOISLARD de La DROITIÈRE, le CC pilote Henri, Jules LEFRANC, le LV observateur Georges, Etienne LEVESQUE, le Med1 Léopold, Henri PÉLISSIER, le CC pilote de dirigeable Georges, Paul RENON, le LV pilote de dirigeable Henri, Marcel, Aurélien ROUSTAN et, enfin, le CV Pierre, Edouard, Marie YVON. 21 décembre 1923. C’est cette nuit là que se produit la plus grave catastrophe de l’aéronautique militaire de notre pays. Le 18 décembre 1923, le dirigeable Dixmude, ex Zeppelin L-72 qui avait été remis à la France par l’Allemagne au titre des dommages de guerre, quitte sa base de Cuers-Pierrefeu pour un raid d’essai sans escale au-dessus du Sahara avec cinquante personnes à son bord. Il atteint In-Salah dans les délais prévus et entame son voyage de retour. Son dernier message le positionne au-dessus de la Tunisie et il n’y en aura pas d’autres. Vers 2 h 30 du matin, alors que le dirigeable passe au large de la Sicile, des pêcheurs aperçoivent dans le ciel les lueurs d’un vif incendie. Probablement frappé par la foudre qui a enflammé ses ballonnets d’hydrogène, le Dixmude et tout son équipage s’abîment en mer à quelques milles au large du petit port de Sciacca. Les recherches lancées par la Marine italienne et par des bâtiments français venus de Bizerte ne permettent pas de retrouver de survivants, ni même de corps. Ce n’est que le 26 qu’un pêcheur remonte dans ses filets le corps du commandant, le LV du Plessis de Grenédan. Un autre corps, celui du QM Guillaume sera retrouvé ultérieurement. Cette catastrophe a fait cinquante victimes – 40 membres de l’équipage Les Mot2 mécaniciens d’aéronautique Pierre, Casimir, Baptiste ALBAGNAC et Georges, Louis BAILLOUX, le SM mécanicien d’aéronautique Ange, Jean, Louis BOULLEAU, les Mot2 mécaniciens d’aéronautique Roger, Marius BOYER et Victorin, Louis BRUNIAS, le Mot arrimeur Maurice, Jules, Baptiste, Pierre CHARPENTIER, le SM mécanicien d’aéronautique Georges, Victor, Auguste CLAVEL, le QM arrimeur volant André CLOSVIROLA, le SM2 pilote de direction Joseph, Louis, Marie COLLET, le SM mécanicien volant Noël, Marie COROUGE, le QM mécanicien volant Marcel, Alexandre COUVÉ, le LV pilote de dirigeable Jean, Joseph, Anne, Marie, Julien du PLESSIS de GRENÉDAN, commandant, le Mot mécanicien d’aéronautique Raymond, Louis DUBOIS, les QM mécaniciens volants Jean, Constant FELON, Charles, Georges FOUCHET et Louis GALLET, le Mt mécanicien volant Charles, Jean GASPAILLARD, le QM radio volant Marie, Antoine, Emile GUILLAUME, le SM arrimeur Joseph GUILLEMOT, le Mt de manœuvre pilote de direction René, Félix, Marie HAMON, le Mot2 mécanicien d’aéronautique Louis, Jean IMBERT, le QM radio volant Pierre, Jean-Marie JAFFREZIC, le SM mécanicien volant François, Clément JAN, les QM arrimeurs Charles, Marcel KUBLER et Saint-Amand, Charles, Adolphe La FORGE, le SM mécanicien volant Jean, François, Aimé, Eugène LIZÉE, le QM mécanicien volant François, Auguste, Joseph, Mathurin MAINGUY, le LV pilote de dirigeable Sylvestre, Antoine MARCAGGI, le PM mécanicien volant René, Henri MOMBERT, le QM mécanicien volant Kléber, Eugène, Marie, Albert NAL, le SM radio volant Adrien, Jean-Baptiste PAUC, le QM mécanicien volant Charles, Joseph, René, Louis QUÉMERAIS, les QM arrimeurs volants Jean RICHARD et Géraud, François, Marie ROCHER, le Mot mécanicien volant Jean, Eugène, Edouard ROUDEN, le LV pilote de dirigeable Adrien, Aimé, Victor ROUSTAN, commandant en second, le Mot arrimeur Charles, Paul SÉDILLOT, le SM arrimeur volant Louis, Marie TARTIVEL et le QM mécanicien volant Jean, Léopold VINCENOT.– 10 passagers le CC Victor, Louis BERRETTA, les LV pilotes de dirigeable Pierre BOURDIER et Maurice, Gabriel CONVENTS, le CF pilote de dirigeable Georges, Léon, François, Jules HENNIQUE, commandant le CAM de Cuers-Pierrefeu, le LV pilote de dirigeable Serge, François, Roger GOISLARD de La DROITIÈRE, le CC pilote Henri, Jules LEFRANC, le LV observateur Georges, Etienne LEVESQUE, le Med1 Léopold, Henri PÉLISSIER, le CC pilote de dirigeable Georges, Paul RENON, le LV pilote de dirigeable Henri, Marcel, Aurélien ROUSTAN et, enfin, le CV Pierre, Edouard, Marie YVON, adjoint au Chef du Service central de l’Aéronautique. 22 juillet 1949 – A l’occasion du séjour au Maroc du croiseur-école Jeanne d’Arc, divers exercices sont organisés au profit des officiers élèves présents à bord, dont une sortie en vol sur trois PBY-5 Catalina de l’escadrille alors stationnée à Agadir. Quelque temps après le décollage des trois appareils, tout contact est perdu avec l’un d’entre eux BuAer 46564 – Les recherches menées par les autres Catalina, aidés par le sous-marin Astrée, ne permettent de trouver aucune trace de l’appareil et des ses passagers. L’équipage du Catalina était composé du SM2 radio volant Robert, Joseph BRETON, du Mt mitrailleur bombardier Jean FÈVRE, du SM2 mécanicien volant Rolland, Moïse GROSMAITRE, du Mt pilote René HUIBAN, des SM2 mécaniciens volants Gabriel, Jean LE BOT et Louis, François MOY, du SM2 radio volant Jean, Marcel RAIGNE, de l’EV1 de réserve pilote Michel, Raymond, Louis ROUVIÈRE, chef de bord et du Mt pilote Pierre, Jean, Louis TOUZET. Les officiers-élèves passagers étaient les EV2 Daniel AUBRON, Louis, Bernard, Marie AUDIC, Jean, Louis, Marie, Michel COUËTOUX, Louis, Julien DAUTRY, Claude JAFFRÈS, André, Albert ROBERT, Gonzague, Pierre, Marie, Bernard GALOUZEAU de VILLEPIN et l’IGM3 Michel, Henri, André NOÉ. 3 février 1937 – Une section de trois Levasseur PL 101 de l’escadrille 7S1 du porte-avions Béarn, en escale à Dakar Sénégal a effectué un voyage jusqu’à Podor, ville située à 330 kilomètres au NE de Dakar. Au cours d’une présentation devant les autorités locales, deux appareils entrent en collision et s’écrasent au sol. Les six membres des équipages étaient le QM1 mitrailleur bombardier Jean, François ABAZIOU, l’EV1 pilote Michel, Maurice, André ALLARD, chef de la section, le SM mécanicien volant Joseph, Bernard BERTOLINI, le QM mécanicien volant Guillaume LASTENNET. Aucun , le SM pilote Antoine, Louis, André ROCHETTE et le QM1 radio volant Charles, Louis ROUX. Aucun n’a eu le temps de sauter en parachute et ils trouvent tous la mort dans l’accident. 21 mai 1957 – En mission de reconnaissance armée à basse altitude dans la région de Batna Algérie, le P4Y Privateer de la flottille BuAer 59870 – basée à Karouba, suit une vallée entre le djebel Hanar et le djebel El-Affrou. Des courants rabattants violents l’empêchent de prendre une altitude suffisante pour s’en dégager et il s’écrase en pleine zone rebelle. Six des douze membres de l’équipage, le SM1 mécanicien de bord Jean CARIOU, le Mot1 mécanicien d’aéronautique René, Valentin, Yves, Raymond DELÉPINE, le SM2 navigateur aérien François, Marie GOURMELON, le SM1 radio volant Jacques, Roger GRANET, le SM2 mécanicien volant Michel, Ghislain MATON et le SM2 radio volant Gérard, Raymond ROUX, sont tués sur le coup. L’EV2 de réserve navigateur Jacques, Charles, Henri KERVELLA, grièvement blessé, est achevé par des rebelles arrivés les premiers à l’épave. Deux survivants, l’EV1 pilote Claude, Alexis SURET, chef de bord et le SM2 radariste volant René, François, Marie JOSSE sont emmenés par les rebelles et probablement assassinés sommairement plus tard. Trois autres survivants, qui avaient pu se cacher dans une grotte proche des lieux de la chute de leur appareil, seront récupérés le lendemain par les troupes amies. 20 juillet 1938 – Un Levasseur PL 101 de l’escadrille 7S1 tombe à la mer en baie de Douarnenez Finistère au cours d’un entraînement a l’appontage sur le porte-avions Béarn. Deux des membres de l’équipage sont recueillis indemnes par la chaloupe du bord mais le troisième, l’EV1 pilote Joseph, Louis, Marie ROUX, prisonnier de la voilure supérieure qui s’est affaissée, meurt noyé. 18 février 1954 – Un Junkers 52 de l’escadrille n° 1015 – avait décollé de la BAN de Lartigue pour transporter à Karouba l’échelon d’accompagnement de la Flottille en déplacement sur cette base. Du fait de très mauvaises conditions météorologiques, l’appareil est contraint de se dérouter et reçoit l’ordre de rejoindre El Aouina, l’aérodrome de Tunis. En voulant atteindre cette nouvelle destination par le sud ouest, l’avion percute un sommet noyé dans la brume, au lieu-dit Kef Ed Dhoua, dans le djebel Lahimer, près de Zaghouan, à 45 kilomètres au sud de Tunis. Les quatre membres de l’équipage, le MP mécanicien volant Roger, Prosper, Pierre BERTIN, l’EV1 de réserve pilote Robert EVEN, chef de bord, le SM2 pilote Michel, Georges, Marcel HAUSS et le Mt radio volant René, André, Charles, Auguste LELIONNAIS ainsi que les onze passagers transportés, qui étaient tous affectés à la flottille le QM2 mécanicien d’aéronautique Louis, Emile ANDRÉ, le Mot1 mécanicien d’aéronautique René, Paul, Georges ANTOMARCHI,le Mot2 mécanicien d’aéronautique André, Alexandre, Joseph, Marie CHEVAL, le SM2 mécanicien d’aéronautique Ygnacio, Antoine DE LABACA, le Mot2 mécanicien d’aéronautique Joseph, Marie DILER, le SM2 mécanicien d’aéronautique Robert, Edouard, Pierre, Marie GAUDEL, l’EV2 de réserve André, Paul JAQUEMIN, le QM2 mécanicien d’aéronautique Pierre, Victor, Raymond LE BOULICAUT, le SM2 mécanicien d’aéronautique Bernard, Louis, Marie LE MANCQ, le Mot2 mécanicien d’aéronautique Raymond, Aimé, Paul LE SAULNIER et le Mot3 armurier d’aéronautique Maurice, René, Pol ROUYER, périssent tous dans la catastrophe. 2 février 1944 – Ayant décollé de Dakar-Ouakam en fin d’après-midi pour une mission d’escorte de convoi, le Vickers Wellington XI s/n HZ539 – T de l’escadrille 5B, l’une des deux composantes de la 2ème flottille de bombardement, émet à 20 h 48 un message annonçant son retour du fait de difficultés de moteur. Sa position est alors de 16° 55’ N et 17° 35’ W. Ce sera son dernier contact et l’appareil ne donnera plus aucune nouvelle. Les recherches lancées le lendemain ne donnent aucun résultat. Aucune épave, si petite soit-elle, n’est aperçue et l’espoir de retrouver des survivants disparaît. L’équipage était composé du QM radio volant Roger, Jean, Raoul ARROUÈS, de l’EV1 de réserve observateur Edouard, Marie, Claude CARTIER-BRESSON, du LV pilote Victor, Jean, Baptiste, Antoine DURANDO, chef de bord, et du QM1 mitrailleur bombardier François, Jules, Désiré, Alfred LEPOITTEVIN, du PM pilote Max, Gustave NIEL, du Mt pilote René, Julien ROY et du SM radio volant Georges VARY. Le 23 juin 1944 – Au cours d’un vol d’entraînement à basse altitude au large d’Agadir, un Convair PBY-5 Catalina BuAer 48357 – F-34 de la flottille 6FE heurte la surface de l’eau. Le choc provoque la rupture du fuselage en deux parties qui s’enflamment avant de couler rapidement. Deux des occupants, qui ont été projetés à la mer, sont recueillis par un chalutier espagnol arrivé sur les lieux. Quatre autres membres de l’équipage, le SM2 radio volant Robert, Jacques, Albert DESVERNINE, le SM2 pilote Jean, Pierre HUBIN, le QM1 mécanicien volant Roger, Mathurin MADEC, le SM pilote Louis, François, Marie RUBAUD, disparaissent avec l’appareil. Le corps d’un cinquième, celui du QM1 mécanicien volant Jean-Louis, Tanguy, Marie NÉZOU, est retrouvé le lendemain. 12 avril 1954 – Alors qu’il arrivait pour bombarder des concentrations viêt minh autour du point d’appui Anne-Marie» dans la cuvette de Diên Biên Phu, un PB4Y Privateer de la flottille BuAer 59774 – est atteint de plein fouet par les tirs de la DCA et s’écrase au sol. Les neuf membres de l’équipage, le SM2 armurier de bord Serge, Aimé BOURSON, le SM2 radio volant Marc, Christian CHAIGNE, le SM2 radio volant Jackie, Robert GIULIANO, le SM2 pilote Guy, Joseph, André GAUTHIEZ, le SM2 mécanicien de bord Charles ILTIS, l’EV1 pilote Alexis MANFANOVSKY, chef de bord, le SM2 armurier de bord Jean, Hyacinthe PAUMIER, le SM2 mécanicien de bord Pierre, Edmond PUYJALINET et le SM2 navigateur Hervé, Marie, Ernest RUELLO KERMELIN, sont portés disparus, présumés tués dans la chute de leur appareil. 18 novembre 1932 – Au cours d’un entraînement au lancer de torpille pour un pilote nouvellement affecté, un Levasseur PL 14 n° 8 de l’escadrille 7B2 percute la surface de la mer en baie de Saint-Mandrier. Les flotteurs arrachés, l’appareil passe sur le dos et coule presque immédiatement, ne laissant aucune chance de survie aux trois hommes qui composaient l’équipage, le QM arrimeur pilote Yves, Marie DOLOU, le QM mitrailleur bombardier François, Laurent RUNAVOT et le SM mécanicien pilote Eugène, Emile TINGAUD.
Le 14 septembre 1982, la princesse Grace de Monaco disparaissait dans un tragique accident de voiture sur une route passant sur les hauteurs du Rocher. Trente ans après sa mort, la principauté se remémorait cette actrice américaine à la beauté fascinante qui avait tout quitté à l'âge de 27 ans en 1956 pour épouser son prince, Rainier III de Monaco, et vivre une vie de princesse. Vendredi 14 septembre dernier, jour anniversaire de la mort de Grace Kelly, la famille princière s'était réunie dans l'intimité d'une petite chapelle du palais. Ce samedi 15 septembre au soir, c'est en public qu'un bel hommage a été rendu à cette grande dame qui illumina des années durant Monaco. Dans le théâtre Princesse Grace dont elle avait supervisé la construction dans les moindres détails, des canapés des loges à l'acoustique en passant par la décoration, deux cents personnes étaient présentes pour assister à la projection d'une version restaurée du long métrage d'Alfred Hitchcock, La main au collet, film culte des années 50, dont l'action se déroule sur la French Riviera. C'est son fils le prince Albert qui présentait ce soir-là ce film, clin d'oeil cruel du destin, puisque c'est sur l'une des routes en lacets où roule Grace Kelly pied au plancher dans le film, une corniche au-dessus de Monaco, que la princesse perdit le contrôle de son véhicule avant de perdre la vie. Dennis Maguire, président de la Paramount, propriétaire du film, était bel et bien présent pour l'occasion et est revenu sur ce film culte "C'est un film spectaculaire, Cary Grant et Grace Kelly sont à leur apogée, Alfred Hitchcock est plus léger, la Riviera française ressort de manière splendide. ... La qualité des films se détériore au fil des ans. Nous sommes retournés au négatif original, pour le restaurer au plus près de sa toute première version. Mais c'est le film lui-même qui suscite l'intérêt du public." Une soirée émouvante organisée par l'association Ladies and the city, où le prince Albert, bien que sans sa belle Charlene, avait l'air aussi ému qu'heureux de l'hommage fait à sa mère.
au secours le prince aubert a disparu