Cetteliste des sortilèges du monde des sorciers créé par J. K. Rowling présente les sortilèges et incantations présents dans l'univers étendu de Harry Potter.Elle comprend les sortilèges et incantations issus de la série romanesque, de la pièce de théâtre, des films Harry Potter, des films Les Animaux fantastiques et des jeux vidéo officiels qui en sont tirés.
2 Sang-Mêlé. Sorciers ayant au moins un parent sorcier, mais également un parent ou grand-parent moldu. Exemple : Harry Potter est un Sang-Mêlé car -> James Potter (Sang-Pur) s'est marié avec Lily Evans (Née de parents Moldus). Même si le père et la mère de Harry sont sorciers, il a des grands-parents Non-Magique, ce qui fait de lui
HermioneHarry frere et soeur? Et si c'était ça la réponse à toute nos interrogations ? « Il y a quelque chose de simple qui explique tout » a déclaré un jour J.K.Rowling. Parmi les nombreuses théorie qui existent sur la suite de la saga Harry Potter, celle-ci semble la plus plausible : Harry Potter et Hermione Granger seraient frère et sœur. Si
Enfévrier, un article de Buzzfeed a célébré le fan art représentant Hermione en noir; l’auteur a raconté les insultes raciales lancées contre elle alors qu’une collégienne lui rappelait les personnages qui appelaient Hermione une « sang de bourbe ». Et dans Harry Potter et le prisonnier d’Azkaban, la peau d’Hermione est
SangDe __ : Insulte Dans Le Monde De Harry Potter: BOURBE: Le Père C'était Lucien Le Fils C'était Sacha: GUITRY: Celui Qui S'occupe Et Soigne Les Éléphants: CORNAC: Petit Arbre Mexicain Connu Pour Son Huile: JOJOBA: Nom Argot De Paris: PANAME: Pierre Fine En Général Rouge: GRENAT: Reçue ; A Réussi Un Concours Obtenu Un Diplôme: ADMISE
F4SvVJ.
Le 19 août 2022 à 152108 Le 19 août 2022 à 151853 À partir de quel moment dans un monde où tout le monde possède la même arme, les mêmes formules pour utiliser celle-ci, et donc les mêmes compétences, tout le monde a peur d'un seul type qui possède la même arme que tout le comme si tu avais 1000 civils armés de M4 qui avaient peur d'affronter un membre du GIGN qui possède lui aussi une il ne fait pas le Voldemor face au reste du monde des sorciers c'est exactement ne va pas affronter 1000 sorciers en même temps. On se retrouve donc plutôt dans l'équation où un type du GIGN super entraîné fait face à quelques citoyen qui n'ont pas l'habitude de manier une M4. Les citoyens se font défoncer. tu arme tout le monde avec la même arme et tu laisse le meilleur soldat du monde essayer d'avoir l'accendant sur les autres ça ne fonctionnera pas et il se retrouvera au mieux contraint à fuir et au pire tué salement en boucle pour ce qui est de voldy vu qu'il est pendant un bon moment virtuellement immortel. Le 19 août 2022 à 151801 Ouais l'incohérence sur la pauvreté des Weasley alors qu'ils peuvent se fabriquer des vêtements neufs avec la magie mdrIl faut du matériel pour rapiécer des vêtements. Le 19 août 2022 à 151621 Le 19 août 2022 à 151430 Non mais pour le retourneur de temps, ils expliquent qu’il faut pas croiser son double sinon c’est la merde Je sais plus quoi mais c’est la merde Dans le bouquin comme dans le livre il n'est pas clairement expliqué ce qui arriverai. Ça pourrai tout simplement être le toi du passé choqué de se voir lui même mais si c'est le cas tu a juste à décider dans le passé de le faire et boum tout va bien. "Ça pourrai tout simplement être le toi du passé choqué de se voir lui même mais si c'est le cas tu a juste à décider dans le passé de le faire et boum tout va bien."Vraiment tu te rends pas compte que tu fais des phrases d'enfant difficiles à comprendre parce qu'elles ne concaténent pas? Le 19 août 2022 à 151430 Non mais pour le retourneur de temps, ils expliquent qu’il faut pas croiser son double sinon c’est la merde Je sais plus quoi mais c’est la merde Non mais réfléchisSi quand tu obtiens le rebrousseur de temps, tu as l'intention de revenir dans le passé pour en avoir un nouveau, alors tu sais d'hors et déja que ton toi du futur est dans le passé puisqu'il a mis en pratique ton idéeEt de facto il le sait déja Le 19 août 2022 à 152304 Le 19 août 2022 à 152108 Le 19 août 2022 à 151853 À partir de quel moment dans un monde où tout le monde possède la même arme, les mêmes formules pour utiliser celle-ci, et donc les mêmes compétences, tout le monde a peur d'un seul type qui possède la même arme que tout le comme si tu avais 1000 civils armés de M4 qui avaient peur d'affronter un membre du GIGN qui possède lui aussi une il ne fait pas le Voldemor face au reste du monde des sorciers c'est exactement ne va pas affronter 1000 sorciers en même temps. On se retrouve donc plutôt dans l'équation où un type du GIGN super entraîné fait face à quelques citoyen qui n'ont pas l'habitude de manier une M4. Les citoyens se font défoncer. tu arme tout le monde avec la même arme et tu laisse le meilleur soldat du monde essayer d'avoir l'accendant sur les autres ça ne fonctionnera pas et il se retrouvera au mieux contraint à fuir et au pire tué salement en boucle pour ce qui est de voldy vu qu'il est pendant un bon moment virtuellement immortel. Contredit par de nombreux faits historiques. A armes égales, la stratégie, l'expérience, et autres critères entrent en compte. C'est déjà arrivé que 2-3 soldats résistent à des dizaines d'autres parce qu'ils avaient l'ascendant stratégique. idem ici. Le 19 août 2022 à 152407 Le 19 août 2022 à 151621 Le 19 août 2022 à 151430 Non mais pour le retourneur de temps, ils expliquent qu’il faut pas croiser son double sinon c’est la merde Je sais plus quoi mais c’est la merde Dans le bouquin comme dans le livre il n'est pas clairement expliqué ce qui arriverai. Ça pourrai tout simplement être le toi du passé choqué de se voir lui même mais si c'est le cas tu a juste à décider dans le passé de le faire et boum tout va bien. "Ça pourrai tout simplement être le toi du passé choqué de se voir lui même mais si c'est le cas tu a juste à décider dans le passé de le faire et boum tout va bien."Vraiment tu te rends pas compte que tu fais des phrases d'enfant difficiles à comprendre parce qu'elles ne concaténent pas?Là encore une fois ce que j'ai dit est clair, tu a des capacités cognitives limitée on dirai. Le 19 août 2022 à 152417 Le 19 août 2022 à 151430 Non mais pour le retourneur de temps, ils expliquent qu’il faut pas croiser son double sinon c’est la merde Je sais plus quoi mais c’est la merde Non mais réfléchisSi quand tu obtiens le rebrousseur de temps, tu as l'intention de revenir dans le passé pour en avoir un nouveau, alors tu sais d'hors et déja que ton toi du futur est dans le passé puisqu'il a mis en pratique ton idéeEt de facto il le sait déjaExact, donc aucun problème. Le 19 août 2022 à 152257 Le 19 août 2022 à 151656 Pourquoi le "camp du bien" du ministère n'utilise pas le rebrousse temps pour tendre une embuscade mortelles aux mangemort ou a VoldemortLittéralement cette objet permet de connaitre l'avenir sur plusieurs heures dans le passé, et donc de contrer les attaques surprises de Voldemort et sa troupe d'handicapéSans parler des victimes qui auraient pu être sauvé, du nombre incalculable de 2nd chance et de respawn du camps qui l'aC'est l'arme ultime, et on la refourgue a une pisseuse de 13 ans qui veut étudier deux matières de merde en même temps C'est la que tu te rends compte que les lois de la physique sont bien faite et que le principe de causalité n'existe pas pour rienTout simplement parce que modifier le temps peut causer plus de mal que de tu butes Voldemort, y'a plus de Voldemort. Donc plus aucune raison pour les gens d'exulter à sa mort. C'était une guerre et après chaque guerre y'a un baby-boom. Donc tu fais quoi ? T'éradiques tous les nouveau-nés de l'existence pour buter Voldemort ?Qu'est-ce qu'il raconte cet ahuri, si des individus ne naissent pas ils ne sont pas éradiqués, ils n'ont jamais existé Le 19 août 2022 à 152343 Le 19 août 2022 à 151801 Ouais l'incohérence sur la pauvreté des Weasley alors qu'ils peuvent se fabriquer des vêtements neufs avec la magie mdrIl faut du matériel pour rapiécer des ils peuvent pas en faire apparaître ? Le 19 août 2022 à 152459 Le 19 août 2022 à 152304 Le 19 août 2022 à 152108 Le 19 août 2022 à 151853 À partir de quel moment dans un monde où tout le monde possède la même arme, les mêmes formules pour utiliser celle-ci, et donc les mêmes compétences, tout le monde a peur d'un seul type qui possède la même arme que tout le comme si tu avais 1000 civils armés de M4 qui avaient peur d'affronter un membre du GIGN qui possède lui aussi une il ne fait pas le Voldemor face au reste du monde des sorciers c'est exactement ne va pas affronter 1000 sorciers en même temps. On se retrouve donc plutôt dans l'équation où un type du GIGN super entraîné fait face à quelques citoyen qui n'ont pas l'habitude de manier une M4. Les citoyens se font défoncer. tu arme tout le monde avec la même arme et tu laisse le meilleur soldat du monde essayer d'avoir l'accendant sur les autres ça ne fonctionnera pas et il se retrouvera au mieux contraint à fuir et au pire tué salement en boucle pour ce qui est de voldy vu qu'il est pendant un bon moment virtuellement immortel. Contredis par de nombreux faits historiques. A armes égales, la stratégie, l'expérience, et autres critères entrent en compte. C'est déjà arrivé que 2-3 soldats résistent à des dizaines d'autres parce qu'ils avaient l'ascendant stratégique. idem mais là ce n'est pas un rapport 3/10 mais un rapport 20/100 000 au minimum. Voldy dans un univers cohérent ne peut rien faire en vrai. Le 19 août 2022 à 152257 Le 19 août 2022 à 151656 Pourquoi le "camp du bien" du ministère n'utilise pas le rebrousse temps pour tendre une embuscade mortelles aux mangemort ou a VoldemortLittéralement cette objet permet de connaitre l'avenir sur plusieurs heures dans le passé, et donc de contrer les attaques surprises de Voldemort et sa troupe d'handicapéSans parler des victimes qui auraient pu être sauvé, du nombre incalculable de 2nd chance et de respawn du camps qui l'aC'est l'arme ultime, et on la refourgue a une pisseuse de 13 ans qui veut étudier deux matières de merde en même temps C'est la que tu te rends compte que les lois de la physique sont bien faite et que le principe de causalité n'existe pas pour rienTout simplement parce que modifier le temps peut causer plus de mal que de tu butes Voldemort, y'a plus de Voldemort. Donc plus aucune raison pour les gens d'exulter à sa mort. C'était une guerre et après chaque guerre y'a un baby-boom. Donc tu fais quoi ? T'éradiques tous les nouveau-nés de l'existence pour buter Voldemort ?Le temps de gestation d'un bébé c'est une demi journée dans l'univers d' Harry Potter ?C'est nouveau ça Le 19 août 2022 à 152647 Le 19 août 2022 à 152257 Le 19 août 2022 à 151656 Pourquoi le "camp du bien" du ministère n'utilise pas le rebrousse temps pour tendre une embuscade mortelles aux mangemort ou a VoldemortLittéralement cette objet permet de connaitre l'avenir sur plusieurs heures dans le passé, et donc de contrer les attaques surprises de Voldemort et sa troupe d'handicapéSans parler des victimes qui auraient pu être sauvé, du nombre incalculable de 2nd chance et de respawn du camps qui l'aC'est l'arme ultime, et on la refourgue a une pisseuse de 13 ans qui veut étudier deux matières de merde en même temps C'est la que tu te rends compte que les lois de la physique sont bien faite et que le principe de causalité n'existe pas pour rienTout simplement parce que modifier le temps peut causer plus de mal que de tu butes Voldemort, y'a plus de Voldemort. Donc plus aucune raison pour les gens d'exulter à sa mort. C'était une guerre et après chaque guerre y'a un baby-boom. Donc tu fais quoi ? T'éradiques tous les nouveau-nés de l'existence pour buter Voldemort ?Qu'est-ce qu'il raconte cet ahuri, si des individus ne naissent pas ils ne sont pas éradiqués, ils n'ont jamais existéIncroyable les débiles qui s'empressent de traiter les autres d'ahuris Au moment où tu retournes le passé, ils existent bel et bien, hein Le 19 août 2022 à 152459 Le 19 août 2022 à 152304 Le 19 août 2022 à 152108 Le 19 août 2022 à 151853 À partir de quel moment dans un monde où tout le monde possède la même arme, les mêmes formules pour utiliser celle-ci, et donc les mêmes compétences, tout le monde a peur d'un seul type qui possède la même arme que tout le comme si tu avais 1000 civils armés de M4 qui avaient peur d'affronter un membre du GIGN qui possède lui aussi une il ne fait pas le Voldemor face au reste du monde des sorciers c'est exactement ne va pas affronter 1000 sorciers en même temps. On se retrouve donc plutôt dans l'équation où un type du GIGN super entraîné fait face à quelques citoyen qui n'ont pas l'habitude de manier une M4. Les citoyens se font défoncer. tu arme tout le monde avec la même arme et tu laisse le meilleur soldat du monde essayer d'avoir l'accendant sur les autres ça ne fonctionnera pas et il se retrouvera au mieux contraint à fuir et au pire tué salement en boucle pour ce qui est de voldy vu qu'il est pendant un bon moment virtuellement immortel. Contredit par de nombreux faits historiques. A armes égales, la stratégie, l'expérience, et autres critères entrent en compte. C'est déjà arrivé que 2-3 soldats résistent à des dizaines d'autres parce qu'ils avaient l'ascendant stratégique. idem faits historiques? Le 19 août 2022 à 152654 Le 19 août 2022 à 152343 Le 19 août 2022 à 151801 Ouais l'incohérence sur la pauvreté des Weasley alors qu'ils peuvent se fabriquer des vêtements neufs avec la magie mdrIl faut du matériel pour rapiécer des ils peuvent pas en faire apparaître ?Non, ce qu'ils font apparaître par magie existe déjà . Ils ne le créent pas. Le 19 août 2022 à 152720 Le 19 août 2022 à 152459 Le 19 août 2022 à 152304 Le 19 août 2022 à 152108 Le 19 août 2022 à 151853 À partir de quel moment dans un monde où tout le monde possède la même arme, les mêmes formules pour utiliser celle-ci, et donc les mêmes compétences, tout le monde a peur d'un seul type qui possède la même arme que tout le comme si tu avais 1000 civils armés de M4 qui avaient peur d'affronter un membre du GIGN qui possède lui aussi une il ne fait pas le Voldemor face au reste du monde des sorciers c'est exactement ne va pas affronter 1000 sorciers en même temps. On se retrouve donc plutôt dans l'équation où un type du GIGN super entraîné fait face à quelques citoyen qui n'ont pas l'habitude de manier une M4. Les citoyens se font défoncer. tu arme tout le monde avec la même arme et tu laisse le meilleur soldat du monde essayer d'avoir l'accendant sur les autres ça ne fonctionnera pas et il se retrouvera au mieux contraint à fuir et au pire tué salement en boucle pour ce qui est de voldy vu qu'il est pendant un bon moment virtuellement immortel. Contredis par de nombreux faits historiques. A armes égales, la stratégie, l'expérience, et autres critères entrent en compte. C'est déjà arrivé que 2-3 soldats résistent à des dizaines d'autres parce qu'ils avaient l'ascendant stratégique. idem mais là ce n'est pas un rapport 3/10 mais un rapport 20/100 000 au minimum. Voldy dans un univers cohérent ne peut rien faire en vrai. Sachant qu'il se cache soigneusement pour éviter que les 100 000 se jettent sur lui, et préfère mener des attaques ciblées. Le 19 août 2022 à 152343 Le 19 août 2022 à 151801 Ouais l'incohérence sur la pauvreté des Weasley alors qu'ils peuvent se fabriquer des vêtements neufs avec la magie mdrIl faut du matériel pour rapiécer des la magie peut pas les faire apparaître ?Je me souviens de sortilèges qui font multiplier des objets, donc ça doit bien être possible de créer de la matière. Le 19 août 2022 à 145205 Pour moi le pire c'est Harry dans le 1 qui voit voldy voler autour d'eux dans la forêt interdite et qui dit RIEN aux autresCette scène me rend fou aussi. On voit Voldemort mais rien ni personne ne semble réellement inquiet ; pourtant, il est censé être disparu depuis 11 ans Sinon, le fait que Voldemort ne puisse tuer personne dans le 7 car le sang d'HP protège ses alliés c'est dépit de tout ça j'adore HP. Le 19 août 2022 à 152852 Le 19 août 2022 à 152343 Le 19 août 2022 à 151801 Ouais l'incohérence sur la pauvreté des Weasley alors qu'ils peuvent se fabriquer des vêtements neufs avec la magie mdrIl faut du matériel pour rapiécer des la magie peut pas les faire apparaître ?Je me souviens de sortilèges qui font multiplier des objets, donc ça doit bien être possible de créer de la sorts multiplicateurs sont temporaires. Ron rembourse Harry avec de la monnaie multipliée mais elle finit par disparaître. Le 19 août 2022 à 152257 Le 19 août 2022 à 151656 Pourquoi le "camp du bien" du ministère n'utilise pas le rebrousse temps pour tendre une embuscade mortelles aux mangemort ou a VoldemortLittéralement cette objet permet de connaitre l'avenir sur plusieurs heures dans le passé, et donc de contrer les attaques surprises de Voldemort et sa troupe d'handicapéSans parler des victimes qui auraient pu être sauvé, du nombre incalculable de 2nd chance et de respawn du camps qui l'aC'est l'arme ultime, et on la refourgue a une pisseuse de 13 ans qui veut étudier deux matières de merde en même temps C'est la que tu te rends compte que les lois de la physique sont bien faite et que le principe de causalité n'existe pas pour rienTout simplement parce que modifier le temps peut causer plus de mal que de tu butes Voldemort, y'a plus de Voldemort. Donc plus aucune raison pour les gens d'exulter à sa mort. C'était une guerre et après chaque guerre y'a un baby-boom. Donc tu fais quoi ? T'éradiques tous les nouveau-nés de l'existence pour buter Voldemort ?"tout simplement parce que modifier le temps peut causer plus de mal que de bien"D'ailleurs c'est un truc qui est étrangement bien illustré dans un épisode des Simpsons ou Bart ne doit rien toucher au temps des dinosaures au risque de modifier le futur Le 19 août 2022 à 152752 Le 19 août 2022 à 152647 Le 19 août 2022 à 152257 Le 19 août 2022 à 151656 Pourquoi le "camp du bien" du ministère n'utilise pas le rebrousse temps pour tendre une embuscade mortelles aux mangemort ou a VoldemortLittéralement cette objet permet de connaitre l'avenir sur plusieurs heures dans le passé, et donc de contrer les attaques surprises de Voldemort et sa troupe d'handicapéSans parler des victimes qui auraient pu être sauvé, du nombre incalculable de 2nd chance et de respawn du camps qui l'aC'est l'arme ultime, et on la refourgue a une pisseuse de 13 ans qui veut étudier deux matières de merde en même temps C'est la que tu te rends compte que les lois de la physique sont bien faite et que le principe de causalité n'existe pas pour rienTout simplement parce que modifier le temps peut causer plus de mal que de tu butes Voldemort, y'a plus de Voldemort. Donc plus aucune raison pour les gens d'exulter à sa mort. C'était une guerre et après chaque guerre y'a un baby-boom. Donc tu fais quoi ? T'éradiques tous les nouveau-nés de l'existence pour buter Voldemort ?Qu'est-ce qu'il raconte cet ahuri, si des individus ne naissent pas ils ne sont pas éradiqués, ils n'ont jamais existéIncroyable les débiles qui s'empressent les autres d'ahuris Au moment où tu retournes le passé, ils existent bel et bien, hein On te parle de retourner le passé pour tendre une embuscade, l'autrice a fixé la durée à cinq heures, pn te parle pas de le tuer cinquante ans plus tôt
Description Livre – Les animaux fantastiques – Les secrets de Dumbledore – Le texte du film Publié le 25/08/2022 320 pages – 470 g 15,5 cm × 22,5 cm × 2,7 cm Collection Gallimard Jeunesse Sous licence officielle Harry Potter Description Entre affrontements fracassants et créatures fascinantes, le script officiel du film écrit par Rowling et Steve Kloves ! Une édition enrichie de nombreux bonus sur les coulisses du tournage des dessins préparatoires de costumes, des plans de scènes en 3D, les commentaires des créateurs et des acteurs principaux. Le professeur Albus Dumbledore sait que le puissant mage noir Gellert Grindelwald cherche à prendre le contrôle du monde des sorciers. Incapable de le contrer seul, il sollicite l’aide du magizoologiste Norbert Dragonneau pour réunir une équipe intrépide composée de sorciers, de sorcières… et d’un boulanger moldu. Face à un tel enjeu, Dumbledore pourra-t-il encore rester longtemps dans l’ombre ?
Harry Potter 2005 ~¤~ Londres ~¤~ Rues de Londres HĂ´pital Ste-MangousteDragomir OrtonPoufsouffle Re [Ste-Mangouste] Salles de soinDragomir Orton, le Jeu 17 AoĂ» - 1623 A peine son père sorti, une Ă©lĂ©gante jeune femme entra dans la chambre de Dragomir. Qui Ă©tait elle? La fabuleuse mĂ©moire du garçon ne la reconnaissait pas. Le français ne s'Ă©tait jamais mĂ©fiĂ© des inconnus qu'il abordait souvent avec un sourire et des manière courtoises. C'Ă©tait d'ailleurs ce qui l'avait dĂ©truit, l'innocence. Cette belle innocence, il l'avait perdu Ă jamais, Ă quoi bon voir croire le monde parfait quand on ne peut plus le parcourir qu'en boitant? Lui mĂŞme Ă©tait devenue un gros dĂ©faut, un poids mort, une tare du monde. Il avait en quelques sorte rejoins les mangemorts hors de l'utopie. A l'Ă©vocation de "Morrigan" le garçon fronça les sourcils. Nous y voilĂ , les phĂ©nix viennent sur les ruines du champ de bataille en apprendre plus sur l’ennemie. Et puis après tout quelle importance? Bien que j'aime de moins en moins les doubles identitĂ©s madame, croassa il, je vais faire une exception pour vous. Vous devez venir de loin, la biensĂ©ance voudrait que je ne vous chasse pas tout de tenta de se redresser lĂ©gèrement dans son lit, un mouvement un peu trop rapide de son genou lui arracha un vif cri de moi, je l'oubli parfois... et il me le Vous ĂŞtes sacrĂ©ment touchĂ©s J'espère de tout cĹ“ur que vous allez vous remettre de toute cette m*rde. Au fait, jolie canne. Merci beaucoup, il s'agit de la canne de ma famille. Mon père s'est rendu compte qu'elle me servirait bien plus qu'Ă lui... Les mĂ©dicomages m'ont assurĂ© que mon genoux resterait raide et brisĂ©, je ne pourrait dĂ©sormais le plier que manuellement et non sans douleur. Mais je vous en pris! Asseyez vous et prenez un fondant, je n'ai pas vraiment d’appĂ©tit. Petite expĂ©rience, les personnes venues uniquement par curiositĂ© dĂ©clineraient l'offre. Dragomir avait toujours l'esprit lĂ©gèrement embrouillĂ© mais cette "'Agatha Beggder" semblait intĂ©ressante. Elle n'avait pas sortie les phrase de compassions bidons. Vous ĂŞtes vivant c'est le principal! Avec un peu de chance vous remonterez sur un balai! Sa compassion semblait sincère, si toutefois la sincĂ©ritĂ© existait encore dans ce monde imparfait, sans honneur, que Dragomir commençait Ă dĂ©couvrir. Laurae SyverellPoufsouffle Re [Ste-Mangouste] Salles de soinLaurae Syverell, le Ven 18 AoĂ» - 1413 La jeune femme s'attendait Ă ce que le jeune homme ne soit pas enclin Ă la recevoir chaleureusement. Après tout, les PhĂ©nix Ă©taient aussi considĂ©rĂ©s comme des Hors la Loi pour la majoritĂ© des journaux. Le seul journaux qu Ă©vitait les censure Ă©tait celui de l'Étincelle. Mais lĂ encore beaucoup de personne ne pouvaient pas non plus en avoir une confiance absolue puisque Ă©crit par les phĂ©nix et donc pas forcĂ©ment objectif. Et c'Ă©tait une bonne raison de le croire, mais il fallait savoir que les PhĂ©nix ne rapportaient pas de mensonges. Ils avaient bel et bien des attentions notĂ© dans l'Étincelle. Ce n'Ă©tait pas des paroles en l'air. La preuve la solidaritĂ© Ă©tait marquĂ©. Et la jeune femme, cheffe de l'Ordre risquait sa libertĂ© en venant jusque dans un hĂ´pital. Toutefois, elle savait que la mĂ©fiance du jeune homme Ă©tait lĂ©gitime, et ne chercha aucunement Ă dĂ©fendre sa double identitĂ©. Cela ne servirait absolument Ă rien. L'homme Ă©tait capable de faire sa propre opinion du bien et du mal, et entre autre elle n'Ă©tait pas venue faire l'Ă©talage des PhĂ©nix. M. Orton dĂ©cida tout de mĂŞme de discuter avec elle. Surement pour en savoir plus sur sa venu. Les doigts longs de MĂłrrĂgan viennent se renfermer sur les feuilles indiquant le traitement et l'Ă©tat du jeune homme. Elle y jeta un rapide coup d’œil tandis qui lui expliquait les origines de la canne. La jeune femme sourit. Il Ă©tait Ă©trange de voir que certaines famille avaient un hĂ©ritage Ă donner. Certaines la richesse, d'autres des objets. La jeune femme avait grandi dans une famille pauvre, rejetĂ© de la branche principale les Peverell. Elle Ă©tait aussi la descendante d'une des plus sanguinaire vampire que l'Europe ait connu Carmilla. D'ailleurs, son hĂ©ritage c'Ă©tait son nom Ă elle. Le nom d'un monstre. Un genou brisĂ©... M. Orton avait vraiment l'air de souffrir. Il en garderait des sĂ©quelles toute sa vie. Encore une victime des TĂ©nèbres. Le jeune homme proposa Ă la PhĂ©nix un fondant que la jeune femme accepta. Celui-ci cherchait sans doute Ă donner un point de chaleur dans leurs discussion et mĂŞme si la jeune femme n'Ă©tait pas repĂ©rĂ© sous ses faux traits, elle avait encore le temps de rester jusqu'Ă ce qu'on la recherche. Elle s'installa donc au près du jeune homme en le remerciant de sa bontĂ©. Elle avait quelque chose Ă lui Monsieur Orton, voilĂ presque quatre ans maintenant que je souffre au quotidien. Je connais la douleur d'une âme brisĂ©. Pire encore vous ĂŞtes atteint physiquement. Durant mes recherches, j'ai trouvĂ© une manière de pouvoir calmer la douleur pour qu'elle soit plus supportable. J'espĂ©rais que vous puissiez accepter cette fiole. Bien entendu elle ne guĂ©rira pas votre genou, mais il ne vous ferra plus souffrir. L'Oiseau de Feu plongea sa main gantĂ© dans son dĂ©coltĂ© pour y ressortir la dite fiole argentĂ©. Puis la tendit au jeune homme. Je vous prĂ©viens, ce ne sont pas les doses habituelles issu du premier traitement. Elle n'est pas non plus homologuĂ©, mais elle fonctionne. Une petite gorgĂ©e pas comme ça, on aurait pu croire que la jeune femme demanderais quelques informations en Ă©change. Il n'en Ă©tait rien. Si il voulait parler il Ă©tait libre, sinon il se tairait. Il n'y avait pas de demande, ni d'obligation. Elle espĂ©rait que son regard d'un bleu de glace soit assez expressif dans la sincĂ©ritĂ© de son geste. Elle Ă©tait prĂŞte Ă lui envoyer rĂ©gulièrement quelques fioles. Mais pour ça, il fallait qu'il lui fasse confiance et qu'il accepte la fiole. Dans tout les cas, elle ne voyait pas l’intĂ©rĂŞt qu'elle avait Ă le tuer au contraire. La jeune femme ne tuerai jamais d'innocents ou Mangemorts se rendant Ă la justice des Aurors. Elle ne tuerait que pour se dĂ©fendre de quelqu'un, ou dĂ©fendre des civils. Elle posa la fiole sur le ventre du blessĂ© et, friande, reparti sur le fondant. Certaines pâtisseries avait le don de rĂ©chauffer les cĹ“urs. Les yeux bleu iceberg fondirent dans les pupilles du blessĂ©. - Je vous demande, Ă vous et aux autres victimes de cette terrible attaque, d'accepter nos excuses. Les Mangemorts n'auraient jamais du attaquer Poudlard. Nous aurions du empĂŞcher cela. Nous Ă©tions pas prĂŞt. Je vous promet, qu'on vous rendra justice. Oui, certains membre de l'Ordre avaient Ă©tĂ© prĂ©sent lors de la bataille, et avait combattu aux cĂ´tĂ©s des Ă©lèves, qu'ils soient sous leurs vĂ©ritables apparences ou sous leurs traits de PhĂ©nix, arrivĂ© en transplanage Ă l'aide d'un elfe. Malheureusement tous n'Ă©taient pas lĂ . La Cheffe des PhĂ©nix avait Ă©tĂ© capturĂ©e et torturĂ©e par les mages noir. Les PhĂ©nix Ă©taient donc divisĂ©s pour sauver la vie de Bianca, et la protĂ©ger le temps qu'elle se remette de ses blessures, et l'attaque de Poudlard qui est survenue quelques temps après, et oĂą il y avait de nombreux civils. Mais maintenant, ils Ă©taient plus fort, l'espoir renaissait. Et les PhĂ©nix allait rendre la douleur au centuple Ă l'Ordre Noir. Elle espĂ©rait juste que le Ministère ouvrirait enfin les yeux. Il y avait un ennemi commun les Mangemorts. Ils espĂ©raient ne pas a combattre les uns tout en se cachant des autres. Le monde sorcier avaient besoin de leur aide pour traquer les mages noirs. Et ce n'Ă©tait pas en envoyant Ă Azkaban les PhĂ©nix qu'ils allaient arranger les choses. Au contraire, ils divisaient leurs forces et laissait champ libre aux Mangemorts qui ne se souciaient pas de la vie de la majoritĂ© des personnes existantes sur Terre. Dragomir OrtonPoufsouffle Re [Ste-Mangouste] Salles de soinDragomir Orton, le Ven 18 AoĂ» - 1953 [LA de Morrigan]La jeune femme examinait la fiche de soin de ses longs doigts fins. Elle avait vraiment l'air de s’inquiĂ©ter pour lui. Cependant, face Ă sa proposition et sa potion Ă©trange, Dragomir ne pu s’empĂŞcher un tic nerveux. Une potion? Non homologuĂ© et de la part d'une parfaite inconnue? Qui pouvait certifier qu'il ne s'agissait pas d'un moyen discret de l'Ă©liminer envoyĂ© par l'ordre noir?J'espère que vous pardonnerez ma mĂ©fiance madame, dit il prudemment, mais je ne sait presque rien de vous si ce n'est que vous avez une double identitĂ© et ĂŞtes recherchĂ©e. Peut ĂŞtres accepterez vous afin de montrer vos bonnes intentions de jetez un rĂ©vĂ©lasort sur cette fiole?La jeune femme ne paru pas dĂ©contenancĂ©e, leva sa baguette et prononça la formule. Rien ne se produisis. Dragomir se saisi de la fiole en la remerciant. Pardonnez moi, c'Ă©tait plutĂ´t malpoli que de me mĂ©fier d'un garçon ouvrit prudemment la fiole, la senti et avala une petite gorgĂ©e, la moisson Ă©tait forte et sèche. ImmĂ©diatement la douleur sourde et omniprĂ©sentee de son genou disparut, ainsi que celle des multiples petites coupures de ses bras, et celle de ses poumons qui avaient du rendre l'eau que ses bourreaux lui avait fait avaler. Dragomir se dĂ©tendit, un mince sourire illumina son visage, sombre depuis trop merci infiniment."Morrigan" regarda le garçon droit dans les yeux. - Je vous demande, Ă vous et aux autres victimes de cette terrible attaque, d'accepter nos excuses. Les Mangemorts n'auraient jamais du attaquer Poudlard. Nous aurions du empĂŞcher cela. Nous Ă©tions pas prĂŞt. Je vous promet, qu'on vous rendra justice. Vous n'avez pas a vous excuser voyons. Selon les rumeurs certains membres de l'ordre Ă©tait de la bataille. Moi mĂŞme et une ami sommes partis nous cacher dans la volière. Quand Ă mon attaque... Vous n'y pouviez pas grand chose. C'est avant tout de ma faute. Dragomir baissa les yeux, songeur. Si je ne m'Ă©tait pas Ă©loignĂ© du chateau, rien de cela ne serait arrivĂ©, et j'aurais toujours... enfin bon. Le garçon rĂ©flĂ©chit alors Ă la dernière phrase de la jeune vous remercie. Étant donnĂ© son incapacitĂ© totale Ă gĂ©rer le chaos ambiant, le ministère est dĂ©passĂ©. Vous ĂŞtes peut ĂŞtres les seuls Ă pouvoir nous rendre justice. Bien que je ne dĂ©sespère pas un jour de me faire justice moi observait la jeune femme avec attention. Ses traits de jeune adulte ne semblait pas marquĂ©s par le combat. Ses yeux Ă©tait d'une puretĂ© bleutĂ©e incroyable. Une foule de d'interrogation se bousculaient dans la tĂŞte du garçon. Quel âge avait elle? Comment en Ă©tait elle arrivĂ©e Ă un grade de hors la loi? Une seule de ces questions franchit ses entendu dire... que l'ordre du phĂ©nix souhaitait relever les deux mondes humains l'un Ă l'autre. Est ce vrai? Laurae SyverellPoufsouffle Re [Ste-Mangouste] Salles de soinLaurae Syverell, le Sam 19 AoĂ» - 1316 Sans rĂ©elle surprise, le jeune homme offrit un visage emplit de mĂ©fiance vers la Syverell. Si celle-ci n'avait pas pris sa potion de la journĂ©e, elle aurait bien dĂ©montrĂ© que c'Ă©tait sans danger. M'enfin. Le visage stoĂŻque, la jeune femme rĂ©cupĂ©ra sa baguette dans l'Ă©tui attachĂ©e Ă sa ceinture. Nemain Ă©tait d'un bois de Cyprès, taillĂ©e Ă la brute, de la forme d'un fusil miniature. La jeune femme adorait sa baguette qui n'Ă©tait absolument pas la première, brisĂ©, et la seconde ayant changer d’allĂ©geance. Celle-ci la comprenait, agissait sans faiblir, puissamment ou finement. Magie blanche ou magie noire, elle dĂ©fendrait son propriĂ©taire jusqu'au bout. cependant, montrer sa baguette Ă un homme Ă©tait aussi rĂ©vĂ©lĂ© l'identitĂ© de la personne qui se cachait sous le masque. Elle aussi se mĂ©fiait du jeune homme, mais sincèrement que pouvait-elle faire afin de prouver sa sincĂ©ritĂ©. La relation de confiance devait s'installer. A contre cĹ“ur, presque, elle utilisa sa baguette sur la potion. Aucune rĂ©ponse, aucun signe de malhonnĂŞtĂ©. Le jeune homme s'excusa. Il ne fallait pas, Ă sa place aussi la jeune femme qui se cachait sous ses yeux bleus, cette peau blanche et ses cheveux noirs aurait manifestĂ© sa mĂ©fiance. Ni une ni deux, l'appel au calme intĂ©rieur appela le garçon qui bu une gorgĂ© rapidement. Son corps semblait se dĂ©tendre petit Ă petit, un peu partout. Bien. Il faisait toujours bon de ne rien sentir, d'oublier que l'on a pas mal. De se dire "je me sens bien", enfin. Cependant, il fallait faire attention. MĂŞme si la douleur n'existait plus, la blessure Ă©tait rĂ©elle. Il fallait pas forcer sur le genou, utiliser la canne tout de mĂŞme et garder la jambe raide. La jeune femme se frotta la nuque. Petit tique identitaire aussi. Elle expliqua tout cela au jeune homme. Il ne fallait pas qu'il se blesse encore plus. Il pouvait encore rendre sa vie belle malgrĂ© sa jambe. La souffrance ne l'empĂŞcherai pas de sourire. Plus maintenant. Cela apaisait aussi le coeur de la PhĂ©nix. Elle avait pu aider physiquement un enfant, victime de la folie. Elle espĂ©rait pouvoir en aider d'autre. Rendre Justice. Elle en avait le pouvoir, elle et les autres. Alors elle devait le faire. Mais pour cela, elle avait besoin que les gens comprennent que les PhĂ©nix n'Ă©taient pas des monstres comme le ministère le prĂ©tendait. C'Ă©tait une fausse rumeur, les PhĂ©nix, autrefois des hĂ©ros, Ă©taient devenu des impopulaires, des hors la loi... sous la volontĂ© d"un seul homme corrompu par son ambition. M. Orton semblait se reprocher quelque chose. La jeune femme Ă©tait au courant des infamies qui s'Ă©tait passĂ©. Une jeune alliĂ©e Ă Poudlard lui avait tout racontĂ©. Une autre âme brisĂ© encore. Pourquoi s'en prendre aux innocents ? Quel Ă©tait le message? Une tyrannie? Aidez nous en tant que serviteurs ou vous mourrez? Perdez votre humanitĂ©, vos âme et mourrez pour devenir des machines a tuer ou garder tout cela et vous mourrez dĂ©finitivement? Que choisir? Le courage n'existait pas dans ce choix. La lâchetĂ© non plus. C'Ă©tait les actes qui comptaient. L'un et l'autre pourrait servir a faire le bien. L'une et l'autre pouvait servir le mal. Si on acceptait de se ranger, on pouvait se battre de l'intĂ©rieur, mais on Ă©tai souvent considĂ©rĂ© comme traĂ®tre, terroriste. Si on acceptait de mourir, c'Ă©tait la parole qui projetait l'idĂ©ologie. Mais un combattant en moins. Le jeune homme donna son opinion quant au actions du Ministère. DĂ©passĂ© disait-il? Certes, alors pourquoi s'appuyaient-ils pas sur des civils ? Sur l'Ordre? On Ă©tait en guerre. La rĂ©sistance Ă©tait-elle mauvaise? Le Ministère Ă©tait-il corrompu? Collaborait-il avec les Mangemorts? Tant de question. Au fond, la jeune femme savait que la tĂŞte du ministère Ă©tait pourrie. Il fallait la remplacer. Quelqu'en soit le prix. Combien de temps le Ministre Ă©tait-il au pouvoir? Il Ă©tait temps de changer de mĂ©thode. J'ai entendu dire... que l'ordre du phĂ©nix souhaitait relever les deux mondes humains l'un Ă l'autre. Est ce vrai?La question du blessĂ© sorti la PhĂ©nix de ses pensĂ©es. La question Ă©tait lĂ©gitime. Beaucoup se la posait. Les PhĂ©nix Ă©taient vraiment considĂ©rĂ© comme des gens avec les mĂŞmes opinions? Comme une secte? Elle soupira. DĂ©cidĂ©ment, le Ministère avait bien fait son boulot. La jeune femme rĂ©flĂ©chit Ă comment rĂ©pondre au jeune homme. - C'est vrai. Il y a bien deux mondes. Mais les deux mondes sont composĂ©s de diffĂ©rents groupes d'individus. Aujourd'hui, le monde magique est en guerre contre lui mĂŞme. C'est une guerre civile qui touche parfois aussi les personne issus de l'autre monde. Crois-tu, pour le moment, qu'on aimerait rĂ©vĂ©ler l'existence de la Magie aux hommes, femmes, enfants qui ne sont pas dotĂ©s de magie ? Qu'elle image leur donnerons-nous? Celui d'un peuple instable. Qui fait la guerre et qui arrive comme un poux dans leurs monde? De quel droit nous ferons ça... De plus, contrairement Ă eux, nous savons qu'ils existent. Nous les Ă©tudions. Nous avons un point d'avance sur eux. Que penses-tu qu'ils diront, qu'ils croiront lorsqu'ils comprendront qu'une moitiĂ© de cet autre monde vous veux comme serviteur? Que penses-tu qu'ils penseront quand ils seront que nous avons une matière a l'Ă©cole appelĂ© "Etude des Moldus"? Qui avait vraiment envie de voir tout ça. De se faire Ă©tudier par des gens aux pouvoirs qu'ils ne comprenaient pas. Le monde magique avait Ă©normĂ©ment de siècle d'avance sur eux. Ils Ă©voluaient avec eux. Il ne falaient pas oublier la prĂ©sence de crĂ©atures susceptible de les effrayer encore plus. CrĂ©ature que mĂŞme leurs propre monde ne connaissait pas totalement, crĂ©atures qui n'avaient pas les mĂŞmes droits que les humains dotĂ©s de pouvoirs. Chaque camps aurait une trouille bleue de l'autre. La peur engendre la Haine. Si les humains non-magiques se mettaient Ă la chasse aux sorcière, il ne fallait pas oublier que leur cachait le fait que certains mages "purs" ou "noirs" avaient fait plusieurs attentats et de nombreux morts. Que penseront-ils quand ils seront que leurs frères, soeurs, maris, femmes, enfants n'Ă©taient pas tuĂ©s dans un accident, mais lors d'un raid contre eux? Que c'Ă©taient des assassinats? Parce qu'ils Ă©taient des..."moldus"?. - Nous aimerons un jour rĂ©vĂ©ler l'existence. Mais pour nous, cela reste encore une Utopie. Nous ne sommes pas encore prĂŞt Ă nous accepter. J'en ai rĂŞvĂ© gamine. J'en rĂŞve encore. Ce secret date de beaucoup trop longtemps, et le jour ou il Ă©clatera, il y aura une guerre immense. Peut-ĂŞtre suivi par une paix, oui. Mais il y aura une guerre. Ils faut dĂ©jĂ que notre monde se rassemble afin que nous puissions aider le monde sans magie Ă nous accepter. Pour le moment, mĂŞme si l'envie est forte, notre monde n'est pas crĂ©dible Ă une approche pacifique. Mais oui, nous avons beaucoup Ă apprendre d'eux, comme ils ont beaucoup a apprendre de nous. J'aimerais vraiment pouvoir assister au retrait du secret magique un jour. D'autres PhĂ©nix n'en sont pas encore lĂ . Et je les jeune femme se tut, la mine triste et sombre. Il fallait qu'elle chasse l'Obscurantisme en premier. c'Ă©tait son rĂ´le. Il fallait que le monde magique se rassemble pour chasser les terroristes. C'Ă©tait la seule solution. Chacun, mĂŞme avec une opinion diffĂ©rente du ministère, de l'ordre de feu, des non-sorciers.... chacun d'entre eux devait chasser la peur, l'ombre et le doute. La mort, la souffrance et la tyrannie. Dragomir OrtonPoufsouffle Re [Ste-Mangouste] Salles de soinDragomir Orton, le Lun 21 AoĂ» - 1158 La "Morrigan" conseillait maintenant au garçon de mĂ©nager son genou, la blessure Ă©tait toujours prĂ©sente et il ne fallait l'oublier. A cela, le français rĂ©pondit d'un hochement de tĂŞte entendu, ses yeux ambres dans le vide. depuis son arrivĂ©e ici, il savait pertinemment que rien ne lui permettrait de courir de nouveau, de marcher convenablement et surtout... de savez ce qui me manquera le plus? A force de parler sa voie s'Ă©tait Ă©clairci mais un poids dans sa gorge la rendait Ă©trange, embuĂ©e d'Ă©motion. Voler sur un balai. VoilĂ ce qui vs me manquer. J'ai toujours aimĂ© voler, traverser le ciel en fendant l'air, oublier ses problèmes terrestre et rejoindre les pus grands rapaces au sommet des cieux. Monter monter toujours et encore jusqu’à cĂ´toyer les dieux. Pardonnez moi. il se tourna vers la jeune femme avec un sourire ironique. VoilĂ que je me met Ă divaguer et Ă faire de la poĂ©sie. C'est Ă peu près tout ce qui vas me rester, la poĂ©sie et les aima particulièrement la rĂ©ponse de la jeune femme Ă sa question sur le secret magique. dans le chaos total que traverse la sociĂ©tĂ© magique, se rĂ©vĂ©ler aux moldu serait une erreur. mais qui sait? peut ĂŞtre dans quelques annĂ©es, après la dĂ©pose des armes, une rĂ©vĂ©lation progressive du monde magique pourrait elle ĂŞtre bĂ©nĂ©fique? Vous avez raison. Avant toutes choses il nous faut cesser cette guerre interne et surtout permettre au mentalitĂ©s de changer. Des centaines de familles sorcières sont toujours attachĂ©es Ă leur "puretĂ© du sang" sans comprendre que cela les mène Ă leur extinction. Mon père Ă©tait de ceux lĂ , la naissance de mon frère cracmol lui Ă ouvert les yeux. HĂ©las, ma grand mère maternelle est la dernière des McHaydenbloom d’Écosse et reste profondĂ©ment ancrĂ©e dans ces idĂ©es d'un autres temps, elle refuse mĂŞme d'adresser la parole Ă mon frère. Ce sont ces mentalitĂ©s qu'il faut changer de crainte d'effrayer le peuple regarda fixement les barreaux de son lit. Y aurai t’il un jour un moyen de stopper l'ordre noir? De le rĂ©duire Ă de simples criminels sans organisation? Il faudrait couper la tĂŞte du serpent. Murmura t'il pour lui mĂŞme. Pris d'un Ă©lan soudain il se tourna vers la jeune m'avez annoncĂ© tout Ă l'heure que vous n’étiez pas prĂŞts. L'ĂŞtes vous aujourd'hui? Le ministère Ă©tant... ce qu'il est, il ne reste plus que l'ordre de feu pour rĂ©tablir la justice, et si cela n'est pas possible, nous venger tous. Laurae SyverellPoufsouffle Re [Ste-Mangouste] Salles de soinLaurae Syverell, le Lun 21 AoĂ» - 1304 La jeune femme nota le fait que le jeune homme avait un penchant pour le vol. Elle le comprenait. Le vol Ă©tait quelque chose de fabuleux. Le vent, la visite du royaume des maĂ®tres de l'air, les paysages, la hauteur... Jouer avec le vent, il n'y avait rien d'aussi... grisant. M. Orton semblait ne plus croire qu'il volerait. Certes, il ne pouvait plus courir, mais la jeune femme pensait bien qu'il volerait Ă nouveau. Elle avait une idĂ©e en tĂŞte. Une idĂ©e que peut-ĂŞtre Miss Ertz pourrait aider Ă entreprendre. Certes, si ce Ă quoi elle pensait pourrait fonctionner, le jeune homme volera un peu moins vite, mais volerait tout de mĂŞme. Avoir ce vent dans les cheveux. Avoir cette brise caressant ton visage. Cette brise qui parfois se transformaient en lame de glace et le lacĂ©rait. Mais qu'est ce que c'Ă©tait bon ! Elle nota, lĂ , dans un coin de sa tĂŞte. Et se promis d'y revenir plus tard. Pour le moment, c'Ă©tait le temps des malheurs et de la tristes vĂ©ritĂ©s. Ce n'Ă©tait point le temps pour les bonnes nouvelles et les idĂ©es. La jeune femme Ă©couta attentivement le jeune homme. Ce jeune homme qui partageait les idĂ©es. Ce jeune homme qui avait la flamme en lui. ĂŠtre un PhĂ©nix. Beaucoup de gens pensait qu'ĂŠtre PhĂ©nix c'Ă©tait de faire partie d'un groupuscule de gars qui Ă©tait lĂ au bon moment pour se battre. Toujours se battre. Encore se battre. Ils avaient tords. Les PhĂ©nix devaient avoir pleins de visages. Ils devaient se battre, informer, communiquer, Ă©couter apprendre. Chacun sa façon de faire. Parmis les alliĂ©es, il y en avait qui ne se battaient pas, mais qui les aidaient autrement. Qui les aidaient Ă leur façon, sans que les "gars du groupuscule" leurs disent quoi faire. Sauf pendant les missions. Et lĂ encore, pour la sĂ©curitĂ©, certains n'Ă©taient pas obligĂ© d'y prendre part. Leurs choix. Une fourmilière. Ce garçon, la jeune femme voyait qu'il voulait faire changer les choses. Voyait qu'il avait la flamme dans chacune de ses phrases. Lui aussi avait eu un frère. "Cracmol" comme la sociĂ©tĂ© disait. La jeune femme Ă©tait contre ces codes. Moldus, Cracmols... Elle s'Ă©tait promis de ne plus les utiliser. Les cracmols Ă©taient des sorciers, des âmes magiques qui ne pouvaient pas dĂ©velopper leurs potentiels. Était-ce une tare? Non, ils pouvaient innover, penser comme les personnes qui n'Ă©taient pas dotĂ©s de pouvoirs magiques. Et ça, c'Ă©tait formidable et beau. Et puis "Moldu". C'Ă©tait quoi ce mot? Quel en Ă©tait l'Ă©tymologie? C'Ă©tait juste une insulte devenue populaire, et courante. Insulte qui est finalement entrĂ©e, et s'est Ă cause de ce mot, ils Ă©taient condamnĂ©s Ă ĂŞtre soit la cible de certains, soit des incapables. Soit des inventeurs. La jeune femmes prĂ©fĂ©rait ce derniers mots. Les Inventeurs. Les Innovateurs. Non pas des "moldus". L'Ordre noir n'Ă©tait qu'une victime de la sociĂ©tĂ©. L'Ordre noir, malgrĂ© leurs membres souvent raffinĂ©s et riches de purs, Ă©taient parfois aussi intolĂ©rants que des serfs du bas moyen-âge. Ceux qui ne savaient pas lire, Ă©crire, et croyaient en des petits contes pour enfants et des histoires effrayantes. Le mĂ©chant Loup. Des vampires qui se transformaient en chauves souris... Pourtant, la cheffe de l'Ordre de Feu, en face du jeune homme avait fait l'Ă©cole buissonnière. Elle avait appris de la nature, des rixes, des images et des souvenirs. Des Histoires de vieux non-sorciers qui vivaient dans sont petit village de pĂŞcheur. Elle a vĂ©cu pauvre et sans magie. Pourquoi sans magie, alors qu'elle avait des parents sorciers? Des arrières grands parents non magiques ou qui ne pouvaient dĂ©velopper leurs potentiel? Parce que la magie c'Ă©tait la facilitĂ©. La magie ne rendaient pas les gens dĂ©brouillards. Et parce qu'ainsi, son frère jumeau avait pu vivre comme un Inventeur sans que la famille puisse le traiter de tare. Évoluant avec lui. DĂ©couvrant avec lui, apprenti pĂŞcheur la duretĂ© du travail de marin. Et le rĂ©confort dans les pubs. Oui, lĂ bas, tu pouvais bien avoir 12 ans ils s'en fichaient. Si tu avais connu le baptĂŞme de l'eau salĂ©, tu Ă©tais un "homme". Tu te forgeais comme un homme. C'Ă©taient peut-ĂŞtre pas des mĹ“urs idĂ©aux. Mais on ne pouvait pas ĂŞtre parfait. Son frère avait Ă©tĂ© heureux, jusqu'Ă la fin. Le garçon se retourna vivement vers elle. Les yeux tout feux tout flammes. La jeune femme cru que les flammes pourraient faire renaĂ®tre d'autres PhĂ©nix. LĂ©cher les coeurs. Embrasser les idĂ©aux. L'espoir renaissait-il? Vous m'avez annoncĂ© tout Ă l'heure que vous n’étiez pas prĂŞts. L'ĂŞtes vous aujourd'hui? Le ministère Ă©tant... ce qu'il est, il ne reste plus que l'ordre de feu pour rĂ©tablir la justice, et si cela n'est pas possible, nous venger jeune femme l'observa. Le jeune homme avait une si mauvaise opinion du Ministère? Dans un sens ça se comprenait. Mais le Ministère, tel qu'il Ă©tait, venait que d'un seul homme et non pas du Ministère. Après tout, quelques siècles en arrière, l'homme le plus influent M. Fudge, ministre de la magie n'avait rien fait. Avait figĂ© le ministère. Aujourd'hui, face Ă M. Kingsley il est devenu le plus impopulaire. Car ce dernier avait innover, avait fait du Ministère une merveille active. - Nous sommes prĂŞt, que si les gens sont prĂŞts. Nous ne pouvons nous battre que si les gens veulent changer les autres. Que si les gens sont capables de comprendre que la vision qu'ils ont des PhĂ©nix sont faussĂ©s. Certes, nous avons fait des erreurs. Mais une part de lumière Ă toujours une petite part d'ombre malheureusement. Nous sommes lĂ . Nous le montrons. Nous sommes prĂŞts. Nous sommes les boucliers et les armes du peuple. C'est Ă lui de nous donner le feu vert. A lui de dire "STOP On en peut plus". A eux de dire que leurs champions sont les PhĂ©nix, et plus le Ministre de la Magie. Mais si on nous donne le feu vert. Je promet que l'on vous vengera. Qu'on rĂ©tablira la Justice. La vraie. La PhĂ©nix avait fixĂ© le regard du jeune homme. C'Ă©tait pas une promesse. Mais un serment. Un serment fait Ă un seigneur le peuple magique. C'Ă©taient eux les vĂ©ritables seigneurs, pas le ministère. C'Ă©taient Ă eux de choisir. Le pouvoir Ă©tait entre leurs mains. Et le pouvoir, c'Ă©tait les Oiseaux de Feu. Dragomir OrtonPoufsouffle Re [Ste-Mangouste] Salles de soinDragomir Orton, le Jeu 24 AoĂ» - 1520 La rĂ©ponse de la jeune femme Ă©claira un peu plus l'image que Dragomir se faisait des phĂ©nix. Il n'Ă©tait pas simplement des combattants vengeurs, ils Ă©taient les combattants du peuple. ce n'Ă©tait pas un combat Ă©goĂŻste et cela Dragomir l'admirait. Dans tout les sens du termes, les oiseaux de feu faisaient don de leur vie et n’attendaient rien en retour. La "Morrigan" avait raison, c'Ă©tait au peuple de se lever, les phĂ©nix ne faisaient que sonner le cor d'alarme. Quelque chose s'enflamma dans le ventre de Dragomir. Comme une douce chaleur, la dĂ©termination. Il regarda les beau yeux de glace de la jeune femme. A quoi servait t'il? Boiteux, faible et incompĂ©tent. Sa place serait dure Ă trouver. Pourquoi ne pas choisir une place risquĂ©e mais noble? Lui qui avait frĂ´lĂ© la mort il n'avait plus vraiment peur d'elle. S'il disparaissait le monde tournerait tout de mĂŞme. Dragomir se redressa et vais peut ĂŞtre vous paraitre ridicule... Mais si je peut, mĂŞme de la manière la plus infime possible, vous aider dans votre lutte de chaque jours... Ce combat est devenu le mien sans que je le demande, mais maintenant je me sent prĂŞt Ă le rejoindre. Le garçon dĂ©tourna les yeux honteux. Pardonnez moi. Je me suis enflammĂ©. Pourquoi voudriez vous d'un infirme incompĂ©tent? Laurae SyverellPoufsouffle Re [Ste-Mangouste] Salles de soinLaurae Syverell, le Mer 20 Sep - 044 Sorry pour le temps de rĂ©ponse ! J'ai eu du mal Ă me soigner / Maintenant, c'est reparti !L'Ă©tudiant semblait reprendre des couleurs. Comme si il reprenait goĂ»t Ă la vie, reprenait espoir. Cela rĂ©chauffait le cĹ“ur de la PhĂ©nix qui n'avait en tĂŞte que de rallumer la fièvre de vivre dans l'esprit et le cĹ“ur de chaque individu. Il y avait encore quelques annĂ©es, elle aurait Ă©tĂ© incapable de croire qu'elle aussi, finalement, avait le droit de vivre une nouvelle vie. De recommencer, de renaĂ®tre de cendres encore fumantes. Pourtant, la jeune femme qui se tenait devant le garçon aujourd'hui, qui portait ces mots plein d'espoir revenait de très loin. Des plus obscures tentation. Elle s'Ă©tait comblĂ©e dans la crasse et la boue. Se disant indigne de poursuivre une vie. Insultant celle-ci des maux qu'elle donnait. Mais finalement, au fur et Ă mesure, elle comprit que c'Ă©tait les hommes qui rendaient la vie si difficile. Que c'Ă©taient certains d'entre eux les coupables, et qui fallait se battre pour que ceux qui en ont Ă©tĂ©s victimes et ceux qui ne l'Ă©taient pas encore puisse ĂŞtre vengĂ©s, ou puisse avoir un bouclier contre toute cette violence, haine... noirceur. Le garçon semblait se redresser rapidement sur son lit d'hĂ´pital. Comme pour se prouver que lui aussi mĂ©ritait une vie aussi formidable que dans ses rĂŞves. Et il avait raison. MĂŞme si c'Ă©tat jamais tout a fait la mĂŞme chose que les rĂŞves, ceux-ci pouvaient ĂŞtre approchĂ©s avec justesse. La jeune femme entendit la voix d'une flamme, d'un garçon fier de faire don de ce qu'il pouvait pour honorer la cause des PhĂ©nix. Pourtant, il savait bien que Morrigan ne lui avait pas demandĂ© une telle chose. Il l'avait fait de lui mĂŞme. Reconnaissant le tord du monde. Prenant conscience de la vĂ©ritable identitĂ© que d'ĂŞtre un PhĂ©nix. ĂŠtre un PhĂ©nix n'Ă©taient pas seulement ceux qui se battaient, se cachaient et Ă©taient recherchĂ©s. C'Ă©taient aussi les autres, ceux qui aidaient, ce qui croyaient, ce qui voulaient un monde plus juste, plus conforme, plus lumineux. En paix. - Vous avez raison, je n'ai pas besoin d'un infirme jeune femme plongea son regard dans celui du jeune homme. Ses iris bleus iceberg semblait le scruter au plus profond de lui, transperçant ce cĹ“ur noirci pour le rendre plus rouge, plus battant. Plus fort. Qu'est ce qu'un infirme? Qu'est ce qu'un incompĂ©tent? Qu'est ce qu'un valide? Un expĂ©rimentĂ©? Ils avaient tous quelques chose en commun. Tous, et c'est de ça dont la Morrigan et l'Ordre du PhĂ©nix avait besoin. Au delĂ de toute "capacitĂ©s", au delĂ de tout "physique". Combattant, pas combattant... Etudiant, J'ai simplement besoin d'une personne croyant que nous pouvons changer les choses. Et qui le dĂ©sire de tout son cĹ“ur. Et vous faites parti de ces personnes M. Orton. Le regard se fit plus doux, plus chaleureux. La PhĂ©nix esquissa un sourire. Elle se refusait de mettre des Ă©tiquettes sur des personnes. Cela ne faisait aucunement leur identitĂ©. Ce qu'il Ă©tait. Un infirme n'Ă©tait pas qu'un infirme. C'Ă©tait une personne dotĂ© d'une conscience, capable de comprendre, de voir, se sentir, de rechercher. C'Ă©tait avant tout un humain. Avant, la Morrigan n'Ă©tait qu'un chien lancĂ© dans une arène, qui se battait et se battait encore pour survivre. Ses seuls moments de paix Ă©taient de penser Ă sa libĂ©ration la mort dans un autre de ses interminables combats. Maintenant, elle avait pris le goĂ»t de vivre, de la libertĂ©. Avait laissĂ© l'arène derrière elle, la violence, et la noirceur... et se battait contre. Par tout les moyens. Au nom de la libertĂ©, et d'un monde meilleur, un autre monde que celui proposĂ© par la haine et la violence, la paix plutĂ´t que la mort. - Au fait, tenez. Utilisez les aux Halles et demandez un BTT. C'est un balais tout terrain ayant un guidon et une selle. Vous pourriez poser vos jambes tranquillement vers l'avant. Comme une Harley Davidson. Ce sera plus lent qu'un balais basique mais... vous pourriez Ă nouveau voler. Si il en ont plus, ils peuvent en crĂ©er un sur mesure grâce a leur atelier. Demandez Crystal M. Ertz et dites lui que vous venez de la part d'un "corbeau voluptueux". La jeune femme sorti de sa poche quelques galion dont un galion d'urgence qu'il pourrait utiliser en cas de problème et les tendit au blessĂ©. Du mouvement se fit entendre dans le couloir. Des portes Ă©taient ouvertes, le corps mĂ©dical semblaient chercher quelque chose... ou quelqu'un. La jeune femme lança un dernier sourire au garçon. Et disparu dans le couloir, en direction inverse du brouhaha. Direction sortie de secours afin de transplaner Ă l'extĂ©rieur. Dragomir OrtonPoufsouffle Re [Ste-Mangouste] Salles de soinDragomir Orton, le Mer 20 Sep - 1302 Dragomir reçut une gifle en plein visage. Bien sur que non, elle n'avait pas besoin d'un infirme incompĂ©tent. Au fond de lui il s'Ă©tait abrogĂ© un infime espoir qu'elle le contredise, qu'elle lui annonce qu'il aurait son utilitĂ© et que c'est pour cela qu'elle Ă©tait venue. Mais Ă quoi bon se leurrer? Soudain le ton changea, elle plongea ses yeux de glace dans ceux du garçon. Dragomir les trouvait magnifiques et lĂ©gèrement envoutants. Chaque iris Ă©tait comme une perle d’aigue-marine avec en son centre un onyx sombre. La passion pour la joaillerie du français n'en Ă©tait qu'accrue. Bon nombre de personne avaient de beaux yeux et de beaux bijoux. Mais avoir des yeux rendant terne n'importe quelle pierre Ă©tait un don fait par la nature, un Ă©merveillement. Perdu dans le poème de ses iris, Dragomir entendu sa voie, J'ai simplement besoin d'une personne croyant que nous pouvons changer les choses. Et qui le dĂ©sire de tout son cĹ“ur. Et vous faites parti de ces personnes M. Orton. Dragomir venait de saisir la nuance. Elle n'avait pas besoin de l'infirme, elle avait besoin de l'âme qu'il retenait prisonnier. Des larmes de joies lui Ă©chappèrent. il pris les galions d'un main tremblante et hocha fĂ©brilement la tĂŞte Ă l'Ă©vocation d'un balai adaptĂ©. -Merci... Merci sourire et la dĂ©esse s'enfuit, comme un doux rĂŞve. Un guĂ©risseur entra, en est elle?!-Qui donc? Dragomir tentait tant bien que mal de masquer son repartit en jurant. Le français Ă©clata de rire. Soudain la poignĂ©e de galion se fit chaude. Il la tria et trouva une pièce brulante. Dessus Ă©tait Ă©crit en lettre de feu. Bonne chanceDes larmes dans les yeux, un papillon dans le cĹ“ur, Dragomir embrassa la pièce avait une raison de du RP, un gros merci Ă Laulau, suite Josephine CampbellGryffondor Re [Ste-Mangouste] Salles de soinJosephine Campbell, le Jeu 1 Mar - 2107 PV LouisLA de Lala-ChatEllana les avait fait transplanter jusqu’à St Mangouste juste après avoir retirĂ© la lame encore plantĂ©e dans la chaire de Louis. Jo avait dĂ» mettre ses mains dessus pour Ă©viter que le peu de sang qui lui restait ne s’échappe. Ils avaient atterri dans le hall de l’hĂ´pital oĂą des medicomages avaient pris en charge le jeune homme Ă genoux sur le sol, avec son drap plein de sang comme seul vĂŞtement Jo avait lâchĂ© Ă Ellana la voix encore chargĂ©e de sanglots - Je veux que tu ne l’avait pas regardĂ©. Elle ne pouvait pas. Elle Ă©tait bien trop blessĂ©e pour cela. Le sentiment de trahison Ă©tait quelque chose de nouveau pour elle et ça lui transperçait le cĹ“ur. Jamais elle n’aurait plus pensĂ© que sa petite sĹ“ur puisse lui faire autant de mal. Jamais. Elle avait fermĂ© les yeux, priant pour qu’elle fasse ce qu’elle lui demandait sans tenter de chercher une excuse ou donner une quelconque explication. Car il n’y avait rien que Jo aurait pu entendre. Absolument rien. Ellana connaissait son attachement pour Louis. Elle le savait...Elle rouvrit les yeux lorsqu’elle entendit le CRAC caractĂ©ristique du transplanage. Ellana Ă©tait ne voulaient pas qu’elle entre dans la pièce oĂą Louis avait Ă©tĂ© conduit. Ils ne voulaient pas non plus lui dire comment il allait. On lui avait demandĂ© comment cela Ă©tait arrivĂ©. Elle avait rĂ©pondu qu’elle ne savait pas, cherchant sĂ»rement encore Ă protĂ©ger la personne qui venait de lui faire du mal comme personne ne l'avait fait auparavant. Malheureusement, la rĂ©ponse ne convenait pas et elle avait bien remarquĂ© les regards suspects qu’on lui lançait. Ils allaient peut-ĂŞtre appeler les Aurors.. Mais pour le moment, elle s’en fichait. Tout ce qui importait, c’était Louis. Une gentille dame avait donnĂ© Ă Jo des vĂŞtements destinĂ©s normalement aux soignants et l’avait aidĂ©e Ă se dĂ©barrasser du sang qu’elle avait sur elle et depuis elle attendait, attendait, attendait. Cela faisait des heures que Jo attendait dans le couloir. Elle Ă©tait assise par terre contre le mur, les jambes repliĂ©es vers elle, face Ă la porte de la chambre oĂą tout se jouait, rongĂ©e par la peur et l'angoisse. Des gens rentraient, des gens sortaient. Ă€ chaque fois, Jo se levait, espĂ©rant qu’on veuille bien lui dire ce qu’il se passait, s’il Ă©tait vivant, s’il Ă©tait mort. Et Ă chaque fois, ses questions restaient sans puis, alors qu’elle n’y croyait plus, la gentille dame vint la voir et l’autorisa Ă entrer. Il n’y avait plus personne Ă l’intĂ©rieur. Il n’y avait plus que Louis, allongĂ© sur un lit, un bandage entourant sa poitrine et son bras. La pièce Ă©tait lĂ©gèrement Ă©clairĂ©e, il n’y avait pas un bruit. Jo se tourna alors vers la dame complètement paniquĂ©e. Elle n'eut pas le temps de lui poser la question, la dame lui dit tout de suite que le jeune garçon Ă©tait tirĂ© d’affaire. Il avait eu de la chance, s’ils Ă©taient arrivĂ©s quelques minutes plus tard, il ne serait sĂ»rement plus de ce pression retomba d’un coup et Jo Ă©clata en sanglots. Elle s’assit sur une chaise au bord du lit et prit la main de Louis dans les siennes et y dĂ©posa un baiser. Il dormait. Elle pouvait entendre sa respiration. Ses traits Ă©taient dĂ©tendus. Il avait reçu une potion pour dormir. Elle passa une main sur son visage et lui embrassa le front. Elle attendrait lĂ jusqu'Ă ce qu'il se rĂ©veille. Elle ne s'endormirait pas... MĂŞme si elle Ă©tait fatiguĂ©e, mĂŞme si la main chaude de Louis la rassurait, mĂŞme si sa respiration rĂ©gulière la berçait, mĂŞme si ses paupières devenaient de plus en plus lourdes, très lourdes. Louis VarikSerpentard Re [Ste-Mangouste] Salles de soinLouis Varik, le Ven 2 Mar - 1046 RĂ©cupĂ©rationUn vive douleur sur le flanc, une plaie bĂ©ante, une grimace. Un Ĺ“il s'ouvre, la vision est floue. Combien de temps cela fait-il? Une minute? Une heure? L’œil se referme...Des pas, des paroles, le sang s’arrĂŞte de couler, la douleur est de nouveau lĂ contrairement Ă l'Ă©nergie. Puis arrive le silence... Ce mĂŞme silence qui vous confronte aux mĂ©andres de votre esprit, celui qui vous perd et vous fait oublier le temps qui les rĂŞves... Ceux-ci Ă©taient doux, rĂ©confortants. MalgrĂ© le tumulte des Ă©vĂ©nements prĂ©cĂ©dents, c'Ă©tait la vision du sourire de JosĂ©phine, ses yeux bleus malicieux, son corps nu qui tentait tant bien que mal de s’échapper Ă la gĂŞne une fois le temps s'Ă©tait perdu, les secondes Ă©taient devenues des heures, ou c'Ă©tait l'inverse? Aucune importance! De la chaleur, enfin... Une main dans la sienne, une peau sensible et une douceur accompagnĂ©e d'un parfum connu... Jo!Les yeux s'ouvrent Ă nouveau et Louis distingua la silhouette de la belle brune Ă ses cĂ´tĂ©s, assise sur une chaise, sa main dans la s'Ă©carta, rejoignant comme il le pouvait le cĂ´tĂ© du lit. De son bras valide il entraĂ®na sa belle afin qu'elle le fixa Jo, ses yeux rougis par les larmes semblaient Ă©puisĂ©s, elle grimpa sur le lit d’hĂ´pital, prenant soin de ne pas toucher les pansements sur le corps de tĂŞte de la jeune fille vint se poser dans le creux de son Ă©paule, un bras sur son torse et une jambe par dessus son put sentir Ă nouveau la douceur de sa peau sur la sienne, son odeur rĂ©confortante et le bonheur de l'avoir dans ses bras. D'une vois faible, un doux sourire aux lèvres il lui murmura Ă l'oreille - Tu m'as manquĂ©, merci d'ĂŞtre ici, merci d'ĂŞtre toi...Un long soupir de soulagement,- Tu me raconteras?Sa respiration est calme, elle est lĂ , sur lui... Un nouveau sourire sur les lèvres...Les yeux se referment... Josephine CampbellGryffondor Re [Ste-Mangouste] Salles de soinJosephine Campbell, le Ven 2 Mar - 1630 ĂŠtre dans les bras de Louis Ă©tait le meilleur remède Ă tous les maux de la terre. Physiquement elle n’avait rien, ou quelques Ă©gratignures, vraiment rien de grave, mais son cĹ“ur Ă©tait Ă©corchĂ© Ă vif. Elle avait failli le perdre. Quelques heures plus tĂ´t, elle s’était rendu compte qu’elle Ă©tait tombĂ©e tout bonnement amoureuse de lui. La prise de conscience Ă©tait très rĂ©cente, mais cela faisait combien de temps finalement que cela couvait ? On ne pouvait pas s’attacher Ă une personne aussi rapidement si ?- Tu m’as manquĂ©, merci d’être ici, merci d’être toi…Elle inspira alors la peau de Louis qui Ă©tait sous son nez. S’il savait. Elle avait cru le perdre et elle s’était sentie perdue dans ce couloir Ă attendre qu’on veuille bien lui donner des nouvelles. Elle avait bien failli ne plus pouvoir sentir sa chaleur, ni se laisser bercer par sa respiration et ne plus ĂŞtre dans ses bras. Il n’y aurait plus eu de sourire, de tĂŞte ailleurs, de regard mutin, de baiser passionnĂ©, de vĂŞtement pliĂ© sur une chaise… non il n’y aurait plus eu tout cela. Elle avait eu très peu l’occasion d’y gouter et pourtant elle y avait pis gout. Elle ne se voyait pas ĂŞtre privĂ©e de cela dĂ©sormais. C’était devenu bien trop important Ă ses Tu me raconteras ?Elle hocha la tĂŞte en guise de rĂ©ponse. Elle savait qu’elle devrait le faire, mais elle n’en avait pas du tout envie. Elle ne voulait pas revivre tout cela. Elle avait le visage d’Ellana en tĂŞte, le sang… le dĂ©tachement de sa petite sĹ“ur face Ă toute cette horreur. La trahison, l’angoisse. Jo n’ajouta rien de plus. Elle Ă©tait tellement Ă fleur de peau qu’elle s’en sentait releva la tĂŞte lorsqu’elle entendit la respiration de Louis devenir de plus en plus rĂ©gulière. Il s’était endormi. Elle se mit alors sur un coude pour pouvoir le contempler avec plus de facilitĂ©. Elle passait ses doigts sur son visage, en l’effleurant Ă peine, comme si ce simple geste lui permettait d’enregistrer chaque dĂ©tail, chaque ligne de sa peau. Elle lui remit une mèche de cheveux derrière l’oreille et lui embrassa le front, le nez puis fini par les se pencha Ă son oreille et lui murmura - Ne me quitte plus jamaisPuis elle reposa la tĂŞte dans le creux de son bras et resserra son Ă©treinte. Il ne lui fallut pas beaucoup de temps pour s’endormir Ă son tour et le rejoindre dans les bras de du bĂ©bĂ© RP Loredana WildsmithMDJ-GestionnaireHarryPotter2005 Re [Ste-Mangouste] Salles de soinLoredana Wildsmith, le Mar 5 Juin - 2036 Pas de rĂ©ponse depuis plus d'un mois, me mp si pbQuand l'ombre frappeft. Daemon Stebbins - LA d' Elina♫Aviez-vous dĂ©jĂ vu auparavant une jeune femme de dix-sept ans courir dans la rue, Ă bout de souffle, se fichant de ce qui pouvait se passer autour d'elle ? Le genre de situation oĂą tu te donnais en spectacle sans le vouloir, parce que quelqu'un courir de la sorte n'est pas le genre de chose qui arrive tous les jours. Elle n'avait appris la nouvelle que le lendemain, très tĂ´t dans la journĂ©e, par une lettre signĂ©e Elina Peterson qui l'informait de la situation Daemon Ă©tait Ă Ste Mangouste après une agression et elle n'en avait pas su davantage malgrĂ© la panique, elle s'Ă©tait empressĂ©e de se rendre Ă Londres dès qu'elle en eut l'occasion. Malheureusement, dans la prĂ©cipitation, elle fut incapable de transplaner Ă l'endroit souhaitĂ© et se trouvait encore Ă un ou deux kilomètres de l'hĂ´pital sorcier de Ste Mangouste. C'Ă©tait la raison pour laquelle elle Ă©tait Ă bout de souffle tant la fatigue et la panique ne faisait pas bon mĂ©nage dans son corps. Elle sentait que ses jambes pouvaient lâcher Ă tout moment, qu'elle pouvait s'effondrer tant elle faisait des efforts pour parvenir Ă temps Ă destination. Pourquoi Ă©tait-elle si pressĂ©e ? Est-ce que courir allait arranger l'Ă©tat de Daemon ? Est-ce que ça allait le rendre plus joyeux ? Parce qu'elle se doutait bien qui ne devait pas avoir envie de rire Ă ce moment-lĂ . Avait-il simplement envie de la voir ?Jamais elle n'aurait pu penser que ce genre de chose lui arriverait. Elle Ă©tait le genre de personne Ă penser que cela n'arrivait qu'aux autres, qu'elle Ă©tait en sĂ©curitĂ© et qu'ils parviendraient toujours Ă se sortir du pĂ©trin ensemble. Ă€ force de le voir comme la huitième merveille du monde, elle s'Ă©tait créée inconsciemment un monde utopique, fermĂ© Ă clĂ© oĂą personne d'autre qu'eux ne pouvait pĂ©nĂ©trer. Il fallait qu'elle se rĂ©veille, la rĂ©alitĂ© Ă©tait tout autre et elle s'en rendrait compte bien assez tĂ´t, lorsqu'elle sera lâchĂ©e dans la nature, sans Poudlard pour la protĂ©ger. Elle entendait les moldus tentaient de lui demander ce qu'elle avait, ce qui se passait. Peut-ĂŞtre pensaient-ils qu'elle Ă©tait poursuivi par un voleur ou mĂŞme un psychopathe. Ils ne savaient pas après tout, qu'il n'Ă©tait pas bien compliquĂ© pour elle de s'en dĂ©barrasser. Ou peut-ĂŞtre que si, elle n'en savait rien, mais elle s'en fichait complètement Ă ce moment, tout ce qu'elle voulait, c'Ă©tait s'assurer qu'il aille bien, qu'il se souvienne de tout, qu'il soit conscient et qu'il ne soit pas trop blessĂ© surtout...Après des minutes qui lui semblaient ĂŞtre des heures, elle se trouvait enfin dans le hall de l'hĂ´pital, elle courut Ă l'accueil demander l'Ă©tage et le numĂ©ro de la chambre. Elle n'Ă©tait pas polie, ne dit ni Bonjour, ni s'il vous plait, ni merci, elle voulait simplement qu'on lui donne les rĂ©ponses qu'elle souhaitait. Sans plus attendre, elle se dirigea toujours d'un pas prĂ©cipitĂ© vers la chambre oĂą se trouvait son petit-ami. La panique Ă©tait telle qu'elle ne se sentait mĂŞme pas essoufflĂ©e. Elle se fichait de son Ă©tat Ă frappa doucement, mais n'attendit pas la rĂ©ponse avant d'ouvrir la porte avec une grande apprĂ©hension. Sa main tremblait sur la poignet et elle respirait un bon coup avant de lever les yeux vers lui. Son cĹ“ur s'arrĂŞta de battre un instant. Qu'est-ce qu'on lui avait fait ? Elle essayait d'ouvrir la bouche pour parler, mais aucun son ne sortait. Elle Ă©tait pĂ©trifiĂ©e, le voir comme ça Ă©tait presque au-dessus de ses forces. Elle tenait Ă lui plus qu'Ă sa propre vie Ă elle, comment accepter ce genre de vision digne d'un film dramatique oĂą les personnages principaux sont victimes de tous les malheurs possibles et s'avança malgrĂ© tout, ne voulant pas rester figĂ©e Ă le regarder comme s'il Ă©tait un animal en cage. Elle s'installa près de lui, prenant l'une de ses mains dans les siennes d'un geste dĂ©licat. Elle voulait qu'il sache qu'elle Ă©tait lĂ , qu'il n'Ă©tait pas seul. Est-ce que cela Ă©tait suffisant ? Peut-ĂŞtre bien que non mais elle ne voulait plus aller nul-part dĂ©sormais. Elle voulait rester lĂ jusqu'Ă sa sortie, parce qu'elle aurait l'impression de l'abandonner Ă chaque fois qu'elle le quitterait. Elle luttait pour ne pas pleurer, ça aurait Ă©tĂ© bien Ă©goĂŻste de sa part. Il fallait qu'elle soit forte pour lui, pour l'aider Ă se mains tremblaient encore, il devait probablement le sentir mĂŞme s'il Ă©tait actuellement endormi. Elle ouvrit la bouche et la seule chose qu'elle parvint Ă lui dire fut un Je t'aime », un murmure, ne pouvant parler plus fort tant elle se sentait faible en le voyant dans cet Ă©tat. L'arcade ouverte et de nombreux hĂ©matomes sur les parties de son corps qu'elle pouvait voir. Elle tentait d'imaginer l'horreur qu'il avait vĂ©cu, mais elle se doutait que quoiqu'elle puisse penser, c'Ă©tait sans doute bien pire... Daemon StebbinsGryffondor Re [Ste-Mangouste] Salles de soinDaemon Stebbins, le Mar 5 Juin - 2245 Quand l'ombre frappe...Loredana Sparks Daemon Stebbins“MĂŞme quand la blessure guĂ©rit, la cicatrice demeure.” - ♫♫♫ La douleur. J'avais l'impression qu'elle Ă©tait endormie et pourtant j'avais la sensation qu'elle Ă©tait proche si je me rĂ©veillais. Je voyais des images d'un corps malmenĂ©. J'Ă©tais spectateur d'un ĂŞtre masquĂ© frappant un autre Ă terre avec une violence magique que je n'aurais jamais pu concevoir. Je ne rĂ©alisais pas que c'Ă©tait moi. Ma conscience Ă©tait dĂ©tachĂ©e de mon ĂŞtre physique. Un moyen de cloisonner l'insoutenable Ă©preuve que je venais de passer mĂŞme si je n'en avais pas conscience. J'avais l'impression de flotter, de me mouvoir presque Ă la surface sans vraiment l'atteindre. Parce que j'Ă©tais paralysĂ©. Une peur se distillait encore dans mes veines. Un sentiment de danger qui me disait de rester cacher ainsi. Que quelqu'un me voulait du mal et que lĂ j'Ă©tais Ă l’abri. Bien sĂ»r, j'avais entendu plus d'une voix qui m'avaient appelĂ© pour m'appeler mĂŞme si elles m'Ă©taient complètement inconnues. J'avais perçu des mains, des rĂ©actions Ă©tranges de mon m'avait ensuite dĂ©placĂ©, tournĂ© encore et encore. On m'avait placĂ© sur le ventre. Une brĂ»lure intense s'Ă©tait fait ressentir sur mon dos. Je me sentais toujours cotonneux. Ma tĂŞte Ă©tait envahie par un groupe de hard rock qui avait Ă©lu domicile dans mon cerveau et jouait Ă s'en dĂ©chirer les membres et Ă se casser les cordes vocales. Ce qui provoquait une envie de vomir brutale. Pourtant rien ne se ne savais pas combien de temps, j’étais restĂ© ainsi. J'avais perçu diverses prĂ©sences et entendu diverses voix durant cet Ă©tat. Puis Ă nouveau le silence. De nouveaux des flashs se faisaient dans ma tĂŞte. J'Ă©tais toujours autant dĂ©tachĂ©. Combien de temps encore ? Combien encore j'allais rester Ă©tranger dans mon propre corps. Je sentais qu'on me prenait la main. J'entendais qui Ă©tait en train de faire battre plus fort mon cĹ“ur. Je ne les avais pas vraiment distinguĂ©s pourtant j'Ă©tais certain qu'ils Ă©taient primordiaux. J'avais envie de remonter...J'ouvrais une seconde les yeux. Tout Ă©tait flou. Je voyais quelqu'un penchait sur moi. Je clignais plusieurs fois des paupières. La mise au point se faisait lentement. - OĂą je suis ?Brusquement la douleur se rĂ©veillait dans tout mon ĂŞtre. J'avais la sensation de mourir. Je poussais un grognement. Je ne savais pas qui Ă©tait lĂ . Pourtant la chaleur de l'autre corps combattait celle de la souffrance. Mes yeux se refermaient Ă nouveau. Je tentais d'Ă©touffer le mal que j'Ă©prouvais. Mais ce n'Ă©tait pas une rĂ©ussite. Mon corps... J'avais l'impression que des milliers d'aiguilles me transperçaient Ă la fois...Ma main se crispait sur des doigts que je connaissais. Cependant j'Ă©tais incapable d'associer un nom parce que j'Ă©tais submergĂ© et que mon esprit ne parvenait pas Ă bruit de porte... Des gens rentraient rapidement et on s'occupait de mon corps crispĂ©...Code Daemon Loredana WildsmithMDJ-GestionnaireHarryPotter2005 Ste-MangousteLoredana Wildsmith, le Mar 5 Juin - 2334 Elle ne lui lâchait pas la main une seule seconde, voulant qu'il se rende compte de sa prĂ©sence. Elle faisait tout de mĂŞme en sorte de ne pas trop la serrer, ne sachant pas rĂ©ellement quelles parties de son corps Ă©taient douloureuses et lesquelles ne l'Ă©taient pas. Elle l'observait, l'air inquiet, elle sentait que ses mains Ă©taient froides Ă cause de la peur qui ne la quittait pas depuis qu'elle avait appris la nouvelle. Elle aurait tant aimĂ© enfreindre les règles et aller le chercher ce soir-lĂ , elle se sentait coupable de n'avoir rien pu faire. Elle devait probablement dormir sur ses deux oreilles au moment de l'agression. Non. Il ne fallait pas qu'elle s'accuse et qu'elle se laisse abattre. Il fallait qu'elle reste forte... pour ouvrait difficilement les yeux et Loredana voyait bien qu'il avait du mal Ă distinguer les formes. Elle eut l'impression qu'il ne la reconnaissait pas. Était-il amnĂ©sique ? Elle n'en savait rien. Quoiqu'il en soit, elle resterait lĂ mĂŞme s'il ne savait plus qui elle Ă©tait. Elle savait qu'au fond de lui, il s'en rappellerait. Ils Ă©taient coordonnĂ©s, deux aimants incapables de fonctionner l'un sans l'autre. DĂ©s le dĂ©part, ils avaient eu cette connexion, cette sensation de n'ĂŞtre bien que lorsqu'ils se retrouvaient tous les deux. Elle ne pouvait pas croire qu'elle resterait une inconnue pour lui, pas après tout ce qu'ils avaient Tu es Ă Ste Mangouste, mon amour, Ă l'hĂ´pital. Tu vas aller mieux, je te le voix tremblait, elle ne pouvait s'en empĂŞcher. Elle essayait d'ĂŞtre rassurante, mais le voir dans ce lit d'hĂ´pital Ă©tait bien plus difficile qu'elle ne l'aurait cru. Il avait mal, elle le voyait dans ses yeux, elle entendait ses grognements de douleur. Pire, elle avait l'impression de sentir sa douleur. Elle souffrait en mĂŞme temps que lui, mĂŞme si elle se doutait que pour lui, la douleur Ă©tait bien plus intense. Les doigts du sorcier serraient les siens et elle se contentait de caresser dĂ©licatement sa main. quelques MĂ©dicomages firent leur entrĂ©s dans la chambre et commencèrent Ă s'occuper de lui. Loredana grimaçait, se rendant bien compte que ce genre de geste faisait souffrir y a....des blessures graves ?L'un d'eux lui expliqua les blessures, mais n'entra pas davantage dans les dĂ©tails. Peut-ĂŞtre voulait-il que Daemon le lui dise lui-mĂŞme. Il avait donc plusieurs hĂ©matomes, des cĂ´tes cassĂ©s, probablement la cause de sa douleur actuelle, l'arcade ouverte et Ă©galement le dos, il avait perdu beaucoup de sang. Ă€ entendre cela, Loredana avait du mal Ă garder son calme et voulait poser pleins de questions, comme elle avait l'habitude de le faire. Cependant, elle prĂ©fĂ©ra se retenir, les laissant s'occuper de Daemon, l'obligeant Ă rompre le peu de contact qu'elle avait avec lui. Elle les regardait faire en restant sur ses gardes, comme si elle avait peur qu'ils aggravent la chose. Remarquant son inquiĂ©tude, un autre mĂ©dicomage lui demanda si elle Ă©tait de sa famille. Encore une fois, elle s'embrouillait dans ses paroles et sa voix Ă©tait toujours aussi Enfin non... On est ensemble quoi...Elle mit ses mains sur son visage, comme si la situation la dĂ©passait. Elle n'aimait pas le voir avoir mal de la sorte. Elle aurait voulu lui prendre sa douleur, prendre sa place, qu'il aille bien. Mais si cela avait Ă©tĂ© possible, il aurait probablement refusĂ©. Une fois qu'ils eut terminĂ© avec lui, les MĂ©dicomages les laissèrent seuls de nouveau, prĂ©cisant Ă Loredana qu'il avait tout de mĂŞme besoin de repos et qu'elle ne devrait pas rester longtemps. Elle avait acquiescĂ©, tout en sachant pertinemment qu'elle ne les Ă©couterait avait repris sa place initiale, la main de Daemon de nouveau dans les siennes. Cette fois-ci, elle pencha la tĂŞte et y dĂ©posa un baiser. Elle luttait encore et toujours pour retenir ses larmes et ne pas se sentir coupable, en Je prĂ©fĂ©rerais que ce soit moi plutĂ´t que toi, avait-elle chuchotĂ©, ignorant s'il avait entendu ou non ses paroles. Daemon StebbinsGryffondor Re [Ste-Mangouste] Salles de soinDaemon Stebbins, le Sam 9 Juin - 1924 Quand l'ombre frappe...Loredana Sparks Daemon Stebbins“MĂŞme quand la blessure guĂ©rit, la cicatrice demeure.” - ♫♫♫ Sainte Mangouste ? Puis des flashes s'invitaient dans mon esprit. Je voyais ma sortie de chez Barjow et Beurk. Puis il y avait eu cette sensation d'ĂŞtre Ă©piĂ© alors que je rentrais Ă Poudlard. Alors que je commençais Ă me souvenir, la douleur me rattrapait Ă nouveau. Je tentais de contenir ma rĂ©action parce que je ne dĂ©sirais pas plus inquiĂ©ter ma petite amie qui l'Ă©tait dĂ©jĂ suffisamment. MĂŞme si je n'Ă©tais pas en Ă©tat de rĂ©flĂ©chir un pourquoi hantait mon esprit. Avais-je Ă©tĂ© dĂ©couvert ? Non ma cleptomane ne l'aurait pas permis. Ou alors je me trompais sur le compte de MhhhJ'avais tentĂ© de bouger pour diminuer la pression. Très mauvaise idĂ©e. Une onde Ă©lectrique parcourait la totalitĂ© de mon corps de la pointe des pieds jusqu'Ă la racine de mes cheveux. La grimace, cette fois, Ă©tait visible. Sa voix avait Ă©tĂ© tremblante et j'Ă©tais en colère qu'elle me voit de la sorte. Parce que je ne voulais pas lui montrer ce genre d'image. Non parce que j'avais peur d'ĂŞtre faible devant elle. Mais parce que je ne supportais pas de voir son regard si triste par ma Mes parents ?Puis les mĂ©dicomages arrivèrent pour m'osculter. L'un d'entre eux lui donnait quelques dĂ©tails. Mais j'Ă©tais heureux qu'il ne rĂ©vèle pas tout. Je prĂ©fĂ©rais la mĂ©nager car la connaissant, je savais qu'elle se culpabiliserait. Je me concentrais toujours pour tenter de garder ma concentration. * Comme vas-tu tenir si Ă peine en touchant tu grimaces comme un enfant. C'est de cette façon que tu vas la rassurer.*Cela faisait un moment que je n'avais pas entendu ma voix intĂ©rieure. Depuis ce jour Ă la cabane hurlante lorsque Loredana m'avait obligĂ© Ă faire face Ă mes sentiments. Elle avait raison. Mais je devais ĂŞtre rĂ©aliste ce n'Ă©tait pas de petites Ă©gratignures. Un autre flash me traversa le cerveau. Me rappelant l'impression d'ĂŞtre dĂ©coupĂ© en deux en une seconde. Un autre sentiment refaisait aussi. La peur... Elle revenait en vague de plus en plus violente et d'autres flashes... Les coups... La panique...Mon cĹ“ur se mettait Ă tambouriner dans ma poitrine. Mes mains s'agrippaient au lit. Plus je bougeais plus je souffrais. Et lĂ les cris ont explosĂ© la barrière de mes lèvres. Je n'Ă©tais plus vraiment lĂ , j'Ă©tais prisonnier de mon esprit. Je donnais l'impression d'ĂŞtre un fou Ă©chappĂ© de l'asile. Un mĂ©dicomage avait voulu faire sortir Loredana mais tĂŞtu comme elle l'Ă©tait, elle avait refusĂ©. Puis on m'a donnĂ© un truc qui m'avait fait revenir Ă la rĂ©alitĂ© de l'instant. J'entendais la voix d'une femme qui me rĂ©pĂ©tait que j'Ă©tais Ă l'hĂ´pital en sĂ©curitĂ©. Que personne ne viendrait me faire du mal. Mon dos s'Ă©tait rĂ©ouvert et je sentais le liquide chaud et poisseux glissait lentement le long de mon Ă©chine. La peur Ă©tait sur mon visage, incrustĂ© comme un masque de carnaval. Puis l'image de l'ombre avait de nouveau disparu. Le produit faisait effet en quelques calme revenait dans la pièce. La crise passait, les mĂ©dicomages s'Ă©taient en allĂ©s. Laissant ma douce et moi seuls. Elle Ă©tait revenue se loger prĂŞt de moi. J'avais honte de moi. Je n'osais pas croiser son regard. Je ne voulais pas voir sa pitiĂ© dans ses prunelles. Le baiser aurait dĂ» m'apaiser mais ce ne fut pas le cas. Il me semblait acide. Certainement mon Ă©tat d’esprit devait jouer dessus. Puis elle avait lâchĂ© ses mots. Qui m'avaient provoquĂ© une douleur pire que celle de mes Ne dis plus jamais colère avait Si cela avait Ă©tĂ© toi... Je crois que j'aurai couru Ă la recherche du coupable...Puis soudain la peur se prĂ©sentait de nouveau en moi. Pourtant je ne voulais pas me laisser submerger...Code Daemon Re [Ste-Mangouste] Salles de soinContenu sponsorisĂ©, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum
Cet article liste les différentes expressions et proverbes du monde des sorciers. Interjections[] Étonnement[] Mille Gorgones[1] Mille milliards de gargouilles galopantes[2] Nom d'un chaudron[3] Nom d'un dragon[4] Nom d'une gargouille[1] Nom d'un hibou[5] Nom d'un hippogriffe[6] Nom d'une licorne[5] Nom d'un vampire[7] Par la barbe de Merlin[8] Par les glandes de Merlin[9] Par le caleçon de Merlin[9] Sac à gargouilles[10] Sac à méduses[7] Soulagement[] Dumbledore soit loué[11] Loué soit Paracelse[5] Provocation[] Va te faire cuire une bouse de dragon[12] Idiotismes[] Avoir de la bouse de dragon à la place du cerveau[13] Casser la baguette de quelqu'un[14] Finir avec une paire de trolls[15] Jouer comme de la bouse de dragon[16] Mettre la charrue avant les hippogriffes[17] Monter sur ses grands hippogriffes[18] Prendre le poney de Catogan[19] S'entendre comme chaudrons en foire[20] Se payer la baguette de quelqu'un[21] Être un Dorcus[22] Attends d'avoir vu tes BUSE avant de les compter[23] Baguette de Sureau, toujours un fléau[24] Le chat est entré dans la cage aux lutins[25] Les dragons n'acceptent pas les excuses[26] Maléfice du crépuscule à minuit sera nul[24] Ne dis jamais non à un troll[26] Quand la potion est tirée, il faut la boire[25] Qui doit voyager loin ira plus vite avec le saule.[27] Quitte à être pendu, mieux vaut que ce soit pour avoir volé un dragon plutôt qu'un mouton[25] Si lui a une baguette en chêne et elle une baguette en houx, Les marier l'un à l'autre serait fou[28] Sorcière qui en mai naquit aura un Moldu pour mari[24] Le temps c'est des Gallions[29] Métaphores[] Certaines expressions relevées dans les œuvres de la saga se rapprochent plus d'une métaphore classique que d'une expression figée C'est un vrai chaudron ici[30] Les champignons vénéneux ne deviennent jamais comestibles[31] Le feu est allumé mais le chaudron est vide[20] Perdre une Noise pour trouver un Gallion[2] Travailler comme un elfe de maison[32] Références[] ↑ 1,0 et 1,1 Réf. Le gardien des Clés ↑ 2,0 et 2,1 Réf. Le centaure et le cafard ↑ Réf. Nicolas Flamel ↑ Réf. Maugrey Fol Œil ↑ 5,0 5,1 et 5,2 Réf. Les Animaux fantastiques film ↑ Réf. Les Animaux Fantastiques Enquêtes dans le Monde des Sorciers ↑ 7,0 et 7,1 Réf. Le Chemin de Traverse ↑ Réf. Occlumancie ↑ 9,0 et 9,1 Réf. La goule en pyjama ↑ Réf. La Marque des Ténèbres ↑ Réf. Harry Potter et l'enfant maudit acte 2, scène 9 ↑ Réf. À bord du Poudlard Express ↑ Réf. L'œil du serpent ↑ Réf. Harry Potter et la Coupe de Feu film ↑ Réf. La tâche inattendue ↑ Réf. Felix Felicis ↑ Réf. Le récit de Hagrid ↑ Réf. In memoriam ↑ Pottermore Le chevalier de Catogan ↑ 20,0 et 20,1 Réf. Vie et mensonges d'Albus Dumbledore ↑ Réf. Les sept Potter ↑ Pottermore La Sorcellerie en Amérique dans les années 1920 ↑ Réf. Horace Slughorn ↑ 24,0 24,1 et 24,2 Réf. Le Conte des trois frères ↑ 25,0 25,1 et 25,2 Réf. Crises de bec ↑ 26,0 et 26,1 Réf. Harry Potter et le prisonnier d'Azkaban jeu ↑ Réf. Pottermore ↑ Réf. Les Contes de Beedle le Barde réel ↑ Réf. 12, square Grimmaurd ↑ Réf. Norbert le dragon ↑ Réf. Le professeur Ombrage ↑ Réf. Les Sortilèges Impardonnables
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