Letexte breton, sur la même musique, Ville de Lothey > Notre Région "La Bretagne" Centerblog. Articles; Blogs; Images; Partager sur Facebook Partager sur Twitter. Rechercher. Gérer mon blog. Ajouter en ami. A propos de ce blog. Nom du blog : villedelothey Description du blog : La vie de la petite commune de Lothey en Bretagne. Catégorie : Blog Historique Fondée par Alan Al Louarn et Kerlann à Yerres (région parisienne) en 1947 [1], l'association Emglev an Tiegezhioù n'a été déclarée que dans les années 70 à Nantes. Ses autres membres les plus actifs ont été Youenn Olier, Youenn Souffes-Després, Job Morvan (président en 1970), Ivona Martin. Toutes les activités se font BroNaoned. Pays de Nantes : Marzan (*Marzhan) pajenn bet digoret d'an 10t a viz Mezheven 2013 : page ouverte le 10 juin 2013 * forum du site Marikavel : Academia Celtica : dernière mise à jour : 16/06/2021 20:50:01. Définition: commune de la Bretagne historique, en Pays de Nantes / Bro Naoned; comté et évêché de Nantes.. Aujourd'hui dans la région administrative non Lorsde la Coupe de France de Football en mai 2009, le Conseil régional de Bretagne tente de mettre à l’honneur le « Bro gozh ma zadoù »3, cet hymne précisément. Après quelques négociations avec la « Fédération française de Football », puisqu’il n’existe qu’un hymne national en France, il est acquis que ce chant sera joué sur la pelouse par deux bagadoù (ensemble BroGozh Ma Zadoù”. 3,90 €. Les 2 cassettes pédagogiques pour apprendre les airs: 4,60 €. Envoi possible des enregistrements par internet. Textes en breton simple pour débutants. Présentation du vocabulaire, avec notes grammaticales et questions. ERWAN LAGADEG, SONER PIANO. CTbg. Une nouvelle de Wikinews, la source d'informations que vous pouvez écrire. Aller à la navigation Aller à la rechercheDernières nouvelles[modifier modifier le wikicode] Vous pouvez également consulter les articles suivants sur les autres projets Wikimedia Ressources multimédia sur Commons. Article sur Wikipédia. 29 avril 2014 Coupe de France de football 2013-2014 le Bro gozh ma zadoù chanté en ouverture de la finale Pages dans la catégorie Bro gozh ma zadoù » Outils Arborescence de la catégorie • Chercher les images dans cette catégorieRecherches Recherche interne • avec CatScan • par date d'entrée Cette catégorie contient l'article suivant. C Coupe de France de football 2013-2014 le Bro gozh ma zadoù chanté en ouverture de la finale Récupérée de » Catégories ChansonBretagneCatégorie cachée Pages utilisant DynamicPageList Ni, Breizhiz a galon, karomp hon gwir Vro! Brudet eo an Arvor dre ar bed tro-do. Dispont kreiz ar brezel, hon tadoù ken mad, A skuilhas eviti o gwad. O Breizh, ma Bro, me 'gar ma Bro. Tra ma vo mor 'vel mur 'n he zro. Ra vezo digabestr ma Bro ! La suite des paroles ci-dessous Breizh, douar ar Sent kozh, douar ar Varzhed, N'eus bro all a garan kement 'barzh ar bed, Pep menez, pep traonienn, d'am c'halon zo kaer, Enne kousk meur a Vreizhad taer ! O Breizh, ma Bro, me 'gar ma Bro. Tra ma vo mor 'vel mur 'n he zro. Ra vezo digabestr ma Bro ! Ar Vretoned 'zo tud kalet ha kreñv; N'eus pobl ken kaloneg a zindan an neñv, Gwerz trist, son dudius a ziwan eno, O! pegen kaer ec'h out, ma Bro! O Breizh, ma Bro, me 'gar ma Bro. Tra ma vo mor 'vel mur 'n he zro. Ra vezo digabestr ma Bro ! Mar d'eo bet trec'het Breizh er brezelioù braz, He yezh a zo bepred ken beo ha bizkoazh, He c'halon birvidik a lamm c'hoazh 'n he c'hreiz, Dihunet out bremañ, ma Breizh ! Nous Bretons de cœur, nous aimons notre vrai pays ! L'Arvor est renommée à travers le monde. Sans peur au cœur de la guerre, nos ancêtres si bons Versèrent leur sang pour elle. La suite des paroles ci-dessous Ô Bretagne, mon pays, que j'aime mon pays Tant que la mer sera comme un mur autour d'elle. Sois libre, mon pays ! Bretagne, terre des vieux Saints, terre des Bardes, Il n'est d'autre pays au monde que j'aime autant ; Chaque montagne, chaque vallée est chère dans mon cœur. En eux dorment plus d'un Breton héroïque ! Ô Bretagne, mon pays, que j'aime mon pays Tant que la mer sera comme un mur autour d'elle. Sois libre, mon pays ! Les Bretons sont des gens durs et forts ; Aucun peuple sous les cieux n'est aussi ardent ; Complainte triste ou chant plaisant s'éclosent en eux. Oh ! Combien tu es belle, ma patrie ! Ô Bretagne, mon pays, que j'aime mon pays Tant que la mer sera comme un mur autour d'elle. Sois libre, mon pays ! Si autrefois Bretagne, tu as fléchi durant les guerres, Ta langue est restée vivante à jamais, Son cœur ardent tressaille encore pour elle. Tu es réveillée maintenant ma Bretagne ! » Les internautes qui ont aimé "Brittany National Anthem - Bro gozh ma zadoù" aiment aussi Cette fois, ça y est, le Bro goz » rhabillé en orthographe surunifiée Bro gozh ma zadoù » est devenu l’hymne officiel de la Bretagne. Hymne officiel hymne national. Ainsi la Bretagne devient-elle officiellement une nation. Le vœu des séparatistes de Breiz Atao est donc exaucé, et ce par le conseil régional socialiste où les autonomistes donnent désormais le ton. L’hymne a aussi été mis au supposé goût du jour un CD distribué à des milliers et des milliers d’exemplaires indiquera comment les élèves des écoles devront chanter leur hymne. Les paroles, d’un nationalisme bêlant, sont indigentes mais la polémique lancée à ce sujet par l’autonomiste Nil Caouissin élu UDB qui invitait à rafraîchir» ces paroles poussiéreuses » a été jugée déplacée. Avec cette version réarrangée et modernisée, la Région Bretagne a décidé d’officialiser le “Bro goz” et d’en faire un outil de cohésion identitaire et de communication territoriale », est-il déclaré. Cohésion identitaire il s’agit bien de fabriquer une identité formant bloc pour préparer les Bretons à l’autonomie appelée par le lobby patronal. Que n’ont-ils été consultés sur ce choix opéré en leur nom ! Et que ne leur rappelle-t-on que cet hymne est un plagiat dû à l’une des personnalités les plus ignobles du mouvement nationaliste breton, le druide antisémite François Jaffrenou autobaptisé Taldir » Front d’acier. Résolument pronazi, ce délateur condamné à la Libération, reçut le soutien du réseau druidique gallois activé par Yann Fouéré alors en fuite à la suite de sa condamnation aux travaux forcés à perpétuité la délégation galloise qui se rendit en France en 1947 réussit à peser sur le sort de nationalistes bretons qu’elle fit passer pour d’innocentes victimes – ainsi Taldir, qui finit par être gracié, son fils Gildas reprenant le combat aux côtés de Fouéré grâce à la filière de faux passeports mise au point pour permettre aux nationalistes les plus compromis de s’enfuir au pays de Galles et en Irlande. Le druide Servat pour chanter l’hymne du druide Taldir sous couvert de cohésion, la glu nationaliste se déverse à flots. Ce contenu a été publié dans Au fil des jours. Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien. Error 403 Guru Meditation XID 702995309 Varnish cache server Fév 24 2020 1920-2020 – 100 ans d’engagements communistes en Finistère. 5/ Fernand Jacq 1908-1941 Né à Granville Manche le 12 janvier 1908, Fernand Jacq est issu d’une famille de fonctionnaires père douanier, mère employée des PTT. Ses parents quittent peu après sa naissance la Normandie pour la Bretagne et Fernand grandit en Finistère, dans la petite commune de Pleyber-Christ. Élève studieux et brillant malgré une santé fragile, il s’oriente vers des études de médecine et sort diplômé de la faculté de Rennes, ville où il rencontre sa femme. En 1933, il revient dans le Finistère, d’abord à Querrien, puis s’installe au Huelgoat comme médecin, terminant sa thèse de doctorat en médecine en 1934. Communiste, sa mère écrit en 1945 dans une brève biographie de son fils, qu’elle l’interrogea avant guerre sur son engagement politique. Il lui répondit Parce que j’ai eu faim ! et que je travaille pour qu’il n’y ait plus de misères ». En effet, dès 1930, Fernand Jacq adhère au Parti Communiste Français alors qu’il est étudiant à Rennes. Il devient conseiller municipal au Huelgoat en 1935, puis participe à sa restructuration après son interdiction en septembre 1939. Il fut élu municipal à Huelgoat de 1935 à 1939. En 1935, la liste communiste aux municipales, composée de huit artisans, quatre cultivateurs, un instituteur et deux retraités, avait devancé la liste SFIO, obtenant ainsi trois élus. En 1937, Fernand Jacq était candidat du PCF aux cantonales à Huelgoat ; il se désista en faveur de Pierre Blanchard SFIO, élu au second tour avec 55 % des voix face au radical François Le Dilasser. Fernand Jacq était en même temps secrétaire de la section de Huelgoat, membre du comité régional du PCF. L’arrivée de la guerre Lorsque la guerre éclate, Fernand Jacq est contrarié de n’être pas mobilisé. Il est réformé pour raison de santé mais adresse un courrier au préfet du Finistère par lequel il demande d’être incorporé dans un régiment quelconque. Il souhaite, d’après le témoignage de sa mère, être aux côtés de ses camarades dans le combat. Toutefois, sa demande est rejetée et il est contraint d’attendre l’arrivée des Allemands au Huelgoat. A l’arrivée des troupes d’occupation à Pont-Aven, commune de résidence de ses parents, un notaire menace et rappelle les engagements politiques de Fernand Jacq au père de ce dernier. Il déclare espérer que le médecin sera bientôt fusillé. La famille vit alors dans une inquiétude perpétuelle. Le médecin est en effet déchu de son mandat politique par le Gouvernement de Vichy. Le médecin est empêché par les Allemands et sa mairie collaboratrice de circuler en voiture dès la fin 1940 il n’a pas de bons d’essence pour ses déplacements. » Qu’importe, il est allé de village en village, à pied ou à bicyclette, dans la boue ou la neige, apporter aux malades soins et réconfort moral. Sensible au courage quotidien des paysans des Monts d’Arrée arrachant à une terre ingrate une maigre subsistance, il en est aimé à cause de sa simplicité et de sa générosité » Fernand Grenier. Naturellement, Fernand Jacq rejoint la Résistance en adhérant en 1941 au Front national de lutte pour la libération et l’indépendance de la France. Il procède à de nombreux recrutements et est l’un des organisateurs des premiers groupes de FTP Francs-Tireurs et Partisans dans le Finistère. En juin de la même année, il est désigné comme responsable départemental du Service Sanitaire et réussit rapidement à mettre sur pied les éléments d’une organisation qui rend de grands services à la Résistance. Arrestation et internement Fernand Jacq est arrêté le 3 juillet 1941, probablement victime d’une des innombrables lettres de délation envoyées aux autorités sous l’Occupation. Il est immédiatement conduit dans le camp d’internement de Choisel, à Châteaubriant Loire-Inférieure, section politique, baraque 7. Voici son témoignage le lendemain de son arrivée correspondance à ses parents Dans les lettres suivantes adressées à sa famille, le Docteur Jacq ne renie jamais ses engagements et redit sa fierté de partager le sort de millions d’Hommes, d’être enfermé à Choisel au milieu de camarades constituant l’élite de la France ». Il écrit aussi Il y a plus d’intelligence ici que dans n’importe quel lycée de France et nous vivons dans l’attente d’un avenir que nous sentons très proche, avec la certitude de la victoire ». Toutes ses lettres dénotent d’une grande foi en l’avenir et la victoire finale du camp de la Liberté. L’abattement n’est donc pas de mise et Fernand Jacq est très actif dans le camp. Il dispense durant sa captivité des cours de breton pour les autres otages du camp et met en place une chorale bretonne. Côté population, il faut aller chercher dans la correspondance préfectorale pour mesurer l’émoi suscité par l’arrestation du médecin. En décembre 1941, en effet, deux courriers du Sous-Préfet de Châteaulin sont transmis à son supérieur direct, le Préfet du Finistère. Il demande la grâce du Docteur Jacq, assortie d’une mesure d’éloignement du département. La raison de cette démarche volontariste du Sous-Préfet transparaît clairement dans ses écrits. La population … commence à le Fernand Jacq considérer comme un héros ». La libération par les autorités à la période de Noël … dissipera définitivement le malaise dont j’ai pu être témoin depuis quelques semaines au cours de mes tournées dans la région susvisée ». L’arrestation de Fernard Jacq choque donc bien la population du Huelgoat, à tel point que le Sous-Préfet de Châteaulin semble craindre que son maintien en détention ne constitue un danger dans le rapport des autorités avec la population locale. Cette initiative du Sous-Préfet restera toutefois lettre morte, intervenant trop tardivement Dernière lettre de condamné de Fernand Jacq -document archives Départementales du Finistère Les Neuf de la Blisière En effet, à la suite d’attentats à Paris, les Allemands décident de fusiller 100 otages ; neuf seront pris dans le camp de Choisel. Parmi eux figure Fernand Jacq. Vers midi, le 15 décembre 1941, les feldgendarmes conduisent les neuf otages en plein cœur de la forêt de Juigné, au bord de l’étang de La Blisière où ils sont exécutés aux alentours de 15 heures. Au moment du départ des otages pour le lieu de l’exécution, les prisonniers du camp de Choisel s’étaient mis à entonner la Marseillaise, certains chantèrent le Bro gozh ma zadoù hymne national breton, d’autres enfin entonnèrent l’Internationale en breton. L’espoir et la résistance à l’oppression ne quitta pas ces hommes comme en témoigne encore la dernière lettre de Fernand Jacq, lettre d’adieux rédigée à ses parents le jour même de l’exécution. Fernand Jacq ne manque d’ailleurs pas de rappeler dans cet écrit que lui et ses camarades ne sont pas les premières victimes de l’occupant au camp de Choisel et commémore les fusillés du 22 octobre 1941. Ce jour là, en représailles à l’assassinat du commandant de Nantes, le Feldkommandant Fritz Holtz, les Allemands avaient fusillés 27 détenus du camp de Choisel dont le jeune Guy Môquet 17 ans. L’émotion est grande à la mort du médecin du Huelgoat. Les premiers témoignages d’afflictions des proches de la famille en attestent bien sûr, mais c’est à la libération qu’on mesurera l’impact qu’eurent ces exécutions arbitraires de civils parmi la population française. Médecin de campagne, médecin des pauvres, profondément humaniste, Fernand Jacq était considéré comme une sorte de saint laïc » à Huelgoat, dans la montagne rouge de l’Arrée. Au camp de Châteaubriant, il avait ouvert des cours de breton et monté un groupe de chant choral. Il était très estimé dans toute la région d’Huelgoat où il fit campagne pour le développement de l’hygiène. Acquise aux communistes dès 1921, la mairie du Huelgoat fut marquée par la dissidence de Corentin Le Floch ancien SFIO et PCF, avant de devenir le fief d’Alphonse Penven entre 1945 et 1989. Selon Pierre Guyomarh, ancien FTP, cité par Fernand Grenier Ceux de Châteaubriant, la mort de Fernand Jacq va susciter une vive recrudescence de l’activité patriotique dans tout le Finistère et fera lever de nombreux combattants décidés à venger Jacq et à chasser l’envahisseur ». Extrait de l’ultime message de Fernand Jacq La mort naturelle libère l’humanité de ses fragments usés; la mort violente donne par réaction une énergie nouvelle à cette humanité. Toute ma vie, j’ai lutté contre la guerre et pour une vie meilleure, pour le progrès. Les morts sont de grands convertisseurs. Ma mort sera utile… » Fernand Jacq après l’exécution des 27 otages communistes et cégétistes à Châteaubriant le 22 octobre 1941 avait refusé, au camp de Choisel, avec la grande majorité des 700 détenus seuls 20 firent exception, de signer une déclaration d’allégeance à Pétain qui aurait pu le sortir des listes d’otages potentiels à fusiller en cas d’attentat contre les troupes d’occupation allemandes. Il est fusillé le 15 décembre alors qu’il n’a que 32 ans avec un autre docteur, Louis Babin, l’instituteur Paul Baroux, le charpentier Maurice Pillet, le secrétaire de la fédération CGT des Produits Chimiques René Perrouault, Adrien Agnès, agent technique, les métallos Raoul Gosset et Georges Vigor, le jeune ouvrier Georges Thoretton. Quand son nom est prononcé pour l’appel des condamnés, Fernand Jacq travaille à une étude avec les médecins Ténine et Pesqué sur la médecine sociale. Les neuf appelés sont amenés devant le bureau. Ils sont aussitôt enchaînés. Ils montent dans les camions, la tête haute. Le 22 octobre se renouvelle avec la même émotion. La Marseillaise » éclate puis le Chant du Départ ». Tout le camp chante avec eux, jusqu’à ce que disparaissent au tournant de la route les deux véhicules… C’est aux abords de la forêt de Juigné, en un lieu enchanteur, La Blisière, que le crime va être consommé ». Les Allemands, rapporte le grand résistant communiste Fernand Grenier dans Ceux de Châteaubriant voulaient éviter de faire traverser Châteaubriant aux condamnés pour les emmener à la sablière comme les 27 fusillés du 22 octobre tant l’émotion était grande dans la ville de Loire-Inférieure après ce crime. Ils avait décidé d’assassiner au fond d’un bois, loin de toute agglomération. Les 9 condamnés à mort communistes furent attachés aux arbres dans la forêt. Le crépitement des balles fut entendu des fermes proches. Le même jour, Gabriel Péri tombe au Mont Valérien et Lucien Sampaix, secrétaire général de la rédaction de l’Humanité, à Caen. Sources Ceux de Châteaubriant, Fernand Grenier éditions sociales, 1961

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